Le Conseil constitutionnel déclare avoir enregistré que certains candidats ayant déposé des dossiers incomplets ont tenté de les compléter après expiration du délai légal, soit au-delà du 23 février 2009 après minuit. Le Conseil constitutionnel déclare avoir enregistré que certains candidats ayant déposé des dossiers incomplets ont tenté de les compléter après expiration du délai légal, soit au-delà du 23 février 2009 après minuit. Le Conseil constitutionnel a délibéré dans ses séances du 24 février au 02 mars 2009 et a rendu public, lundi tard dans la soirée, la liste des candidats à l'élection du président de la République arrêtée, suivant l'ordre alphabétique arabe de leurs noms, comme suit : M. Bouteflika Abdelaziz, M. Touati Moussa, Mme Hanoune Louiza, M. Rebaine Ali Fawzi, M. Mohand Oussaid Belaid, M. Younsi Mohammed Jahid. Dans un communiqué, diffusé le même jour, le Conseil constitutionnel rappelle qu'il a enregistré le dépôt, par les candidats eux-mêmes, de 13 dossiers de candidature auprès de son greffe à l'expiration du délai légal de dépôt des dossiers de candidatures à l'élection du président de la République fixé au lundi 23 février 2009 à minuit. L'institution présidée par Boualem Bessaïeh rappelle également qu'elle « a reçu tous les candidats et a accepté le dépôt de l'ensemble des dossiers, fussent-ils incomplets avant de procéder à leur vérification et de s'assurer de leur validité ». Néanmoins, remarque le Conseil constitutionnel, si la plupart des candidats ont accompagné leurs dossiers de candidature de formulaires de souscription de signatures d'électeurs ou d'élus, ou des deux à la fois, il constate, toutefois, que des candidats ont déposé un nombre de souscriptions largement en deçà du seuil minimal exigé par la loi. Dans ce contexte, le Conseil constitutionnel déclare avoir enregistré que certains candidats ayant déposé des dossiers incomplets ont tenté de les compléter après expiration du délai légal, soit au-delà du 23 février 2009 après minuit, ce qui est en contradiction absolue avec l'article 158 de la loi électorale. Soucieux également d'entourer l'opération de contrôle des souscriptions de signatures de la transparence et de l'efficacité nécessaires et en vue de lui conférer toute la crédibilité, le Conseil constitutionnel a assuré avoir « fait appel à des magistrats et à des conseillers de la Cour suprême et du Conseil d'Etat pour l'assister dans la vérification de la validité des souscriptions de signatures », se félicitant quant aux bonnes conditions dans lesquelles s'est déroulée l'opération de contrôle des signatures qui a été empreinte de transparence et du strict respect des dispositions constitutionnelles et législatives applicables aux conditions de candidature à la magistrature suprême de l'Etat. S.B. Le Conseil constitutionnel a délibéré dans ses séances du 24 février au 02 mars 2009 et a rendu public, lundi tard dans la soirée, la liste des candidats à l'élection du président de la République arrêtée, suivant l'ordre alphabétique arabe de leurs noms, comme suit : M. Bouteflika Abdelaziz, M. Touati Moussa, Mme Hanoune Louiza, M. Rebaine Ali Fawzi, M. Mohand Oussaid Belaid, M. Younsi Mohammed Jahid. Dans un communiqué, diffusé le même jour, le Conseil constitutionnel rappelle qu'il a enregistré le dépôt, par les candidats eux-mêmes, de 13 dossiers de candidature auprès de son greffe à l'expiration du délai légal de dépôt des dossiers de candidatures à l'élection du président de la République fixé au lundi 23 février 2009 à minuit. L'institution présidée par Boualem Bessaïeh rappelle également qu'elle « a reçu tous les candidats et a accepté le dépôt de l'ensemble des dossiers, fussent-ils incomplets avant de procéder à leur vérification et de s'assurer de leur validité ». Néanmoins, remarque le Conseil constitutionnel, si la plupart des candidats ont accompagné leurs dossiers de candidature de formulaires de souscription de signatures d'électeurs ou d'élus, ou des deux à la fois, il constate, toutefois, que des candidats ont déposé un nombre de souscriptions largement en deçà du seuil minimal exigé par la loi. Dans ce contexte, le Conseil constitutionnel déclare avoir enregistré que certains candidats ayant déposé des dossiers incomplets ont tenté de les compléter après expiration du délai légal, soit au-delà du 23 février 2009 après minuit, ce qui est en contradiction absolue avec l'article 158 de la loi électorale. Soucieux également d'entourer l'opération de contrôle des souscriptions de signatures de la transparence et de l'efficacité nécessaires et en vue de lui conférer toute la crédibilité, le Conseil constitutionnel a assuré avoir « fait appel à des magistrats et à des conseillers de la Cour suprême et du Conseil d'Etat pour l'assister dans la vérification de la validité des souscriptions de signatures », se félicitant quant aux bonnes conditions dans lesquelles s'est déroulée l'opération de contrôle des signatures qui a été empreinte de transparence et du strict respect des dispositions constitutionnelles et législatives applicables aux conditions de candidature à la magistrature suprême de l'Etat. S.B.