Le coordinateur de cette commission, l'ex-ministre de la Justice, Mohamed Teguia, a présidé la cérémonie d'installation à laquelle ont assisté les représentants des partis politiques agréés et ceux des 6 candidats à la présidentielle. Le coordinateur de cette commission, l'ex-ministre de la Justice, Mohamed Teguia, a présidé la cérémonie d'installation à laquelle ont assisté les représentants des partis politiques agréés et ceux des 6 candidats à la présidentielle. Avec l'installation, hier au siège de l'APW d'Alger, de la commission politique nationale de surveillance de l'élection présidentielle, l'Algérie a franchi une autre étape dans le processus devant conduire au rendez vous du 9 avril prochain. C'est, comme attendu, le coordinateur de cette commission, l'ex-ministre de la Justice, Mohamed Teguia, qui a présidé la cérémonie d'installation à laquelle ont assisté les représentants des partis politiques agréés et ceux des 6 candidats à la présidentielle. «Nous allons fournir les garanties fondamentales pour la liberté du scrutin et sa transparence du début du processus jusqu'à sa fin et ce, en vue d'éviter les dépassements», a indiqué Teguia dans une déclaration à la presse en marge de la cérémonie d'installation de la commission. Considérant que la présence des observateurs internationaux est un facteur à même de consolider la transparence de l'élection, Teguia dira que la commission reste ouverte aux représentants de tous les partis politiques agréés. Il fait sans doute allusion aux partis qui se sont prononcés contre la participation à cette élection. Dans son intervention devant les membres de la commission un peu plus tôt, Teguia a balayé, d'un revers de main, toutes les supputations et autres affirmations selon lesquelles «les jeux sont faits» et qu'il n'y a aucune garantie de transparence dans cette élection présidentielle. Appelant les citoyennes et les citoyens à aller aux urnes pour accomplir leur devoir, Teguia dira qu'il «faut évacuer les suspicions et les craintes car il y a de solides et efficaces garanties pour préserver ces élections de toutes les déviations». Il citera, à ce titre, les dispositions constitutionnelles et juridiques, la directive du Président de la république, la création de la commission politique de surveillance de l'élection présidentielle ainsi que d'autres mesures prises par le gouvernement pour «assurer la transparence du scrutin et la neutralité de l'administration». Il a rappelé les missions de la commission qui, a-t-il soutenu, consistent, notamment, à «veiller au bon déroulement de l'élection, dans toutes ses étapes, dans le cadre du processus démocratique». Il a aussi rappelé que les membres de la commission et dans le cadre de leurs prérogatives effectueront des visites sur le terrain pour superviser le bon déroulement de l'ensemble de l'opération électorale et ce, conformément aux dispositions de la loi et de la réglementation en vigueur. Selon le coordinateur de la commission, ces sorties sur le terrain vont aussi permettre de s'assurer des conditions de préparation des élections. La commission, créée par décret présidentiel le 7 février dernier, a procédé hier en fin d'après-midi, à l'adoption de son règlement intérieur. K. H. Avec l'installation, hier au siège de l'APW d'Alger, de la commission politique nationale de surveillance de l'élection présidentielle, l'Algérie a franchi une autre étape dans le processus devant conduire au rendez vous du 9 avril prochain. C'est, comme attendu, le coordinateur de cette commission, l'ex-ministre de la Justice, Mohamed Teguia, qui a présidé la cérémonie d'installation à laquelle ont assisté les représentants des partis politiques agréés et ceux des 6 candidats à la présidentielle. «Nous allons fournir les garanties fondamentales pour la liberté du scrutin et sa transparence du début du processus jusqu'à sa fin et ce, en vue d'éviter les dépassements», a indiqué Teguia dans une déclaration à la presse en marge de la cérémonie d'installation de la commission. Considérant que la présence des observateurs internationaux est un facteur à même de consolider la transparence de l'élection, Teguia dira que la commission reste ouverte aux représentants de tous les partis politiques agréés. Il fait sans doute allusion aux partis qui se sont prononcés contre la participation à cette élection. Dans son intervention devant les membres de la commission un peu plus tôt, Teguia a balayé, d'un revers de main, toutes les supputations et autres affirmations selon lesquelles «les jeux sont faits» et qu'il n'y a aucune garantie de transparence dans cette élection présidentielle. Appelant les citoyennes et les citoyens à aller aux urnes pour accomplir leur devoir, Teguia dira qu'il «faut évacuer les suspicions et les craintes car il y a de solides et efficaces garanties pour préserver ces élections de toutes les déviations». Il citera, à ce titre, les dispositions constitutionnelles et juridiques, la directive du Président de la république, la création de la commission politique de surveillance de l'élection présidentielle ainsi que d'autres mesures prises par le gouvernement pour «assurer la transparence du scrutin et la neutralité de l'administration». Il a rappelé les missions de la commission qui, a-t-il soutenu, consistent, notamment, à «veiller au bon déroulement de l'élection, dans toutes ses étapes, dans le cadre du processus démocratique». Il a aussi rappelé que les membres de la commission et dans le cadre de leurs prérogatives effectueront des visites sur le terrain pour superviser le bon déroulement de l'ensemble de l'opération électorale et ce, conformément aux dispositions de la loi et de la réglementation en vigueur. Selon le coordinateur de la commission, ces sorties sur le terrain vont aussi permettre de s'assurer des conditions de préparation des élections. La commission, créée par décret présidentiel le 7 février dernier, a procédé hier en fin d'après-midi, à l'adoption de son règlement intérieur. K. H.