La Chaîne Qatari, Al djazira, a présenté récemment une demande aux autorités de notre pays en vue de la réouverture de son bureau à Alger, fermé depuis juin 2004. Cette demande, accompagné d'un dossier «colossal», a été déposée au niveau du secrétariat d'Etat auprès du Premier ministre chargé de la communication, et dans laquelle les responsables de cette chaîne Qatari ont insisté sur le fait qu'ils souhaitent que cette réouverture se fasse «avant la tenue de l'élection présidentielle d'avril prochain». Dans une déclaration à la presse en marge d'une visite de travail à Mila, le secrétaire d'Etat auprès du Premier ministre chargé de la communication, avait affirmé que ses services s'attelle actuellement à «l'étude du dossier sollicitant l'ouverture de ce bureau» sans pour autant donner davantage de précision sur la décision qui en découlera. Le bureau d'El Djazira dans notre pays est, rappelons-le, suspendu depuis juin 2004, suite à des déclarations jugées «calomnieuse» diffusées par la chaîne à propos d'une prétendue «mauvaise gestion, à tous les niveaux en Algérie», en usant de propos sans ménagement à l'égard des autorités. Pis encore, la chaîne s'était même permise à l'issue de la diffusion d'un documentaire- reportage sur le terrorisme en Algérie, de montrer le drapeau algérien «déchiré et en lambeaux». «C'est impardonnable», avait commenté à l'époque, M. Ahmed Ouyahia, alors Chef du gouvernement. En perspective justement de la couverture médiatique de l'élection présidentielle d'avril prochain, une cinquantaine de demandes d'accréditation ont été déposées jusqu'à présent au niveau du secrétariat d'Etat chargé de la communication, par des médias étrangers. Selon une source proche de ce département, ces journalistes émanent de prés d'une dizaine de pays dont la majorité est européenne M. Mihoubi avait, à ce propos, fait part de la détermination des pouvoirs publics à faciliter le travail des envoyés spéciaux de la presse étrangère lors de cette élection. A cet effet, M. Azzedine Mihoubi, avait annoncé qu'un «travail de coordination» s'effectue avec les ambassades et les représentations étrangères accréditées à Alger dans le but de faciliter la mission des médias étrangers. Mettant en exergue la volonté de son département de garantir une «large couverture médiatique» du scrutin, le membre du gouvernement a affirmé dans ce sens que «les préparatifs se déroulent de manière intense au niveau de la commission nationale chargée de la préparation de l'élection présidentielle particulièrement au niveau de la sous-commission chargée de la communication». En 2004, faut-t-il le rappeler, pas moins de 160 journalistes étrangers de la presse écrite et audiovisuelle, entre correspondants et envoyés spéciaux, ont fait le déplacement pour des reportages sur l'avant et l'après élection présidentielle. Ces journalistes étaient venus de plus de 25 pays pour couvrir l'évènement et s'étaient alors déclarés «très satisfaits» de leurs conditions de travail. Contrairement aux précédentes années, où les journalistes étrangers étaient escortés dès leur arrivée sur le tarmac de l'aéroport international Houari Boumediene, par des agents de sécurité, en 2004, l'ensemble des reporters étrangers avaient signé des décharges au niveau de leurs chancelleries respectives, pour renoncer à une quelconque escorte sécuritaire. La Chaîne Qatari, Al djazira, a présenté récemment une demande aux autorités de notre pays en vue de la réouverture de son bureau à Alger, fermé depuis juin 2004. Cette demande, accompagné d'un dossier «colossal», a été déposée au niveau du secrétariat d'Etat auprès du Premier ministre chargé de la communication, et dans laquelle les responsables de cette chaîne Qatari ont insisté sur le fait qu'ils souhaitent que cette réouverture se fasse «avant la tenue de l'élection présidentielle d'avril prochain». Dans une déclaration à la presse en marge d'une visite de travail à Mila, le secrétaire d'Etat auprès du Premier ministre chargé de la communication, avait affirmé que ses services s'attelle actuellement à «l'étude du dossier sollicitant l'ouverture de ce bureau» sans pour autant donner davantage de précision sur la décision qui en découlera. Le bureau d'El Djazira dans notre pays est, rappelons-le, suspendu depuis juin 2004, suite à des déclarations jugées «calomnieuse» diffusées par la chaîne à propos d'une prétendue «mauvaise gestion, à tous les niveaux en Algérie», en usant de propos sans ménagement à l'égard des autorités. Pis encore, la chaîne s'était même permise à l'issue de la diffusion d'un documentaire- reportage sur le terrorisme en Algérie, de montrer le drapeau algérien «déchiré et en lambeaux». «C'est impardonnable», avait commenté à l'époque, M. Ahmed Ouyahia, alors Chef du gouvernement. En perspective justement de la couverture médiatique de l'élection présidentielle d'avril prochain, une cinquantaine de demandes d'accréditation ont été déposées jusqu'à présent au niveau du secrétariat d'Etat chargé de la communication, par des médias étrangers. Selon une source proche de ce département, ces journalistes émanent de prés d'une dizaine de pays dont la majorité est européenne M. Mihoubi avait, à ce propos, fait part de la détermination des pouvoirs publics à faciliter le travail des envoyés spéciaux de la presse étrangère lors de cette élection. A cet effet, M. Azzedine Mihoubi, avait annoncé qu'un «travail de coordination» s'effectue avec les ambassades et les représentations étrangères accréditées à Alger dans le but de faciliter la mission des médias étrangers. Mettant en exergue la volonté de son département de garantir une «large couverture médiatique» du scrutin, le membre du gouvernement a affirmé dans ce sens que «les préparatifs se déroulent de manière intense au niveau de la commission nationale chargée de la préparation de l'élection présidentielle particulièrement au niveau de la sous-commission chargée de la communication». En 2004, faut-t-il le rappeler, pas moins de 160 journalistes étrangers de la presse écrite et audiovisuelle, entre correspondants et envoyés spéciaux, ont fait le déplacement pour des reportages sur l'avant et l'après élection présidentielle. Ces journalistes étaient venus de plus de 25 pays pour couvrir l'évènement et s'étaient alors déclarés «très satisfaits» de leurs conditions de travail. Contrairement aux précédentes années, où les journalistes étrangers étaient escortés dès leur arrivée sur le tarmac de l'aéroport international Houari Boumediene, par des agents de sécurité, en 2004, l'ensemble des reporters étrangers avaient signé des décharges au niveau de leurs chancelleries respectives, pour renoncer à une quelconque escorte sécuritaire.