D'habitude, la flambée des prix a un rapport étroit avec les occasions religieuses (Ramadhan, Aïd…), mais ce qu'on constate actuellement sort un peu de l'ordinaire. Une petite virée au marché des fruits et légumes nous a permis de constater de visu l'ampleur de la souffrance du citoyen en général, du fonctionnaire et du sans revenu en particulier. Ainsi, le poivron est cédé à 150 DA le kg, les petits pois à 100 DA, la courgette à 90 DA, la salade et les artichauts à 80 DA, la tomate à 70 DA etc. Côté fruits, les oranges sont vendues à 120 DA, les pommes oscillent entre 150 et 180 DA et la liste est longue. Bref, tout est devenu intouchable dans une période où le froid oblige les familles à consommer davantage. Cette montée vertigineuse des prix n'a pas épargné la viande et les œufs qui ont atteint des prix qui dépassent l'entendement. Ces derniers sont cédés à 12 DA l'unité. La majorité des gestionnaires des cantines scolaires les ont rayés de leurs bons de commande. Enfin, il est important de noter que cette flambée des prix intervient dans une période caractérisée par une hausse des factures de consommation d'eau et surtout d'électricité et gaz. D'habitude, la flambée des prix a un rapport étroit avec les occasions religieuses (Ramadhan, Aïd…), mais ce qu'on constate actuellement sort un peu de l'ordinaire. Une petite virée au marché des fruits et légumes nous a permis de constater de visu l'ampleur de la souffrance du citoyen en général, du fonctionnaire et du sans revenu en particulier. Ainsi, le poivron est cédé à 150 DA le kg, les petits pois à 100 DA, la courgette à 90 DA, la salade et les artichauts à 80 DA, la tomate à 70 DA etc. Côté fruits, les oranges sont vendues à 120 DA, les pommes oscillent entre 150 et 180 DA et la liste est longue. Bref, tout est devenu intouchable dans une période où le froid oblige les familles à consommer davantage. Cette montée vertigineuse des prix n'a pas épargné la viande et les œufs qui ont atteint des prix qui dépassent l'entendement. Ces derniers sont cédés à 12 DA l'unité. La majorité des gestionnaires des cantines scolaires les ont rayés de leurs bons de commande. Enfin, il est important de noter que cette flambée des prix intervient dans une période caractérisée par une hausse des factures de consommation d'eau et surtout d'électricité et gaz.