La décision prise ,de manière unilatérale,par le président du club bordjien, reflète en effet toute l'anarchie qui gangrène le football algérien. Toutes les tentatives visant à ramener les dirigeants du CABBA à de meilleurs sentiments sont malheureusement restées vaines. La décision prise ,de manière unilatérale,par le président du club bordjien, reflète en effet toute l'anarchie qui gangrène le football algérien. Toutes les tentatives visant à ramener les dirigeants du CABBA à de meilleurs sentiments sont malheureusement restées vaines. Le derby promoteur des Hauts-Plateaux devant opposer, lundidernier, l'ESSau CABBA au stade du 8 -Mai-45, n'a finalement pas eu lieu. Les dirigeants de l'équipe visiteuse ont dû rebrousser chemin avant même de franchir la porte des vestiaires, arguant l'agression de l'équipe par des supporters. La décision prise de manière unilatérale par le président du club bordjien, reflète en effet toute l'anarchie qui gangrène le football algérien. Toutes les tentatives visant à ramener les dirigeants du CABBA à de meilleurs sentiments sont malheureusement restées vaines. Le président de la FAF, M.Raouraoua aurait même tenté une médiation entre les deux antagonistes en décidant de retarder la rencontre d'une heure. Une solution qui aurait reçu l'aval du président de l'Entente de Sétif mais qui se serait heurtée à une fin de non recevoir de la part du président Bouda. En réaction à cette défection pour le moins surprenante du CABBA, le boss Serrar a déclaré «quand bien même il y aurait eu agression, il appartenait aux dirigeants du club voisin de présenter le cas au commissaire du match, seul habilité à prendre les décisions tel que le stipule le réglement en vigueur». De son côté, Benouza a laissé entendre qu'à l'intérieur du stade, toutes les conditions pour un bon déroulement de la partie étaient réunies. Selon le délégué du match Baghoura, qui aurait été malmené par l'un des dirigeants du CABBA, l'attitude des visiteurs demeure pour le moins incompréhensible. Plus grave encore sont les déclarations à chaud sur les ondes de Radio El Hidhab du président Salah Bouda lequel a comparé l'attitude des Sétifiens à celle des «Israéliens». Un écart de langage aux conséquences préjudiciables pour l'avenir des relations entre voisins, estime-t-on du côté de Aïn Fouara,et qui pourrait faire tache d'huile dans les prochains jours. Nous apprenons à ce titre, qu'une plainte à l'encontre du président Salah Bouda, ne devrait pas tarder à être déposée. Affaire à suivre… Le derby promoteur des Hauts-Plateaux devant opposer, lundidernier, l'ESSau CABBA au stade du 8 -Mai-45, n'a finalement pas eu lieu. Les dirigeants de l'équipe visiteuse ont dû rebrousser chemin avant même de franchir la porte des vestiaires, arguant l'agression de l'équipe par des supporters. La décision prise de manière unilatérale par le président du club bordjien, reflète en effet toute l'anarchie qui gangrène le football algérien. Toutes les tentatives visant à ramener les dirigeants du CABBA à de meilleurs sentiments sont malheureusement restées vaines. Le président de la FAF, M.Raouraoua aurait même tenté une médiation entre les deux antagonistes en décidant de retarder la rencontre d'une heure. Une solution qui aurait reçu l'aval du président de l'Entente de Sétif mais qui se serait heurtée à une fin de non recevoir de la part du président Bouda. En réaction à cette défection pour le moins surprenante du CABBA, le boss Serrar a déclaré «quand bien même il y aurait eu agression, il appartenait aux dirigeants du club voisin de présenter le cas au commissaire du match, seul habilité à prendre les décisions tel que le stipule le réglement en vigueur». De son côté, Benouza a laissé entendre qu'à l'intérieur du stade, toutes les conditions pour un bon déroulement de la partie étaient réunies. Selon le délégué du match Baghoura, qui aurait été malmené par l'un des dirigeants du CABBA, l'attitude des visiteurs demeure pour le moins incompréhensible. Plus grave encore sont les déclarations à chaud sur les ondes de Radio El Hidhab du président Salah Bouda lequel a comparé l'attitude des Sétifiens à celle des «Israéliens». Un écart de langage aux conséquences préjudiciables pour l'avenir des relations entre voisins, estime-t-on du côté de Aïn Fouara,et qui pourrait faire tache d'huile dans les prochains jours. Nous apprenons à ce titre, qu'une plainte à l'encontre du président Salah Bouda, ne devrait pas tarder à être déposée. Affaire à suivre…