Les passerelles, malheureusement, sont devenues «des marchés» où tout se vend et s'achète au vu et au su de tout le monde. Une de ces passerelles,située à Alger centre,suffit à elle seule à illustrer cette situation. Cette dernière est devenu un petit «super marché» à ciel ouvert. Les passerelles, malheureusement, sont devenues «des marchés» où tout se vend et s'achète au vu et au su de tout le monde. Une de ces passerelles,située à Alger centre,suffit à elle seule à illustrer cette situation. Cette dernière est devenu un petit «super marché» à ciel ouvert. Les marchés informels se diversifient, dans la capitale,ils sont présents partout, même dans les endroits les plus insolites. Il n'y a pas que les trottoirs, les ruelles, ou les escaliers des quartiers de La Casbah d'Alger et de Bab El Oueb,à être touchés par ce phénomène. En effet même les passerelles, malheureusement, sont devenues «des marchés» où tout se vend et s'achète au vu et au su de tout le monde. Les exemples ne manquent pas dans la capitale. Une de ces passerelles, située à Alger centre,suffit à elle seule à illustrer cette situation. Il s'agit de la passerelle reliant la rue des Libérés à la station de bus du 2-Mai. Cette dernière, depuis des années déjà, est devenu un petit «super marché» à ciel ouvert où les éventuels clients peuvent tout trouver en passant par le tabac, vêtements, sous-vêtements, produits alimentaires et plein d'autres petits articles pouvant intéresser tout le monde. Bien que cela se passe en plein cœur d'Alger, les autorités concernées considèrent ce fait comme «une chose normale et ordinaire». «On sait que la lutte contre ces marchés informels et leur éradication de manière définitive est une opération rude et difficile, mais ce n'est pas une raison pour rester indifférent à ce qui se passe sur cette passerelle confisquée aux piétons. C'est inadmissible!», déplore le gérant d'un kiosque situé à la rue Med-Bourahla. Plusieurs passerelles et tunnels à Alger ont connu un sort similaire. A titre d'exemple, le tunnel qui mène de l'arrêt de bus de Belcourt vers le boulevard Rouchai-Boualem et Mohamed Belouizdad, est transformé, actuellement,en un vrai marché couvert, où s'écoulent même des appareils électro- ménagers. Les usagers de ces passerelles et de ces tunnels ne sont pas tous, en fait, du même avis que le commerçant cité plus haut. Certains citoyens trouvent dans ce squat un aspect de sécurité. Plusieurs citoyens font remarquer «Auparavant, cette passerelle était inaccessible. Elle était le terrain privilégié des agresseurs. Mais depuis que ces jeunes y pratiquent leur commerce, ce n'est plus le cas, on peut circuler en toute tranquillité et confiance». Le constat de ces piétons parait insensé mais il reflète la réalité que vit l'Algérois quotidiennement. Avec l'absence de sécurité dans de tels passages, les risques sont réels. Peut-être cela devrait-il faire réagir les autorités locales, comme le suggère un des citoyens lequel propose d'installer un, deux ou même trois kiosques sur chaque passerelle. Les marchés informels se diversifient, dans la capitale,ils sont présents partout, même dans les endroits les plus insolites. Il n'y a pas que les trottoirs, les ruelles, ou les escaliers des quartiers de La Casbah d'Alger et de Bab El Oueb,à être touchés par ce phénomène. En effet même les passerelles, malheureusement, sont devenues «des marchés» où tout se vend et s'achète au vu et au su de tout le monde. Les exemples ne manquent pas dans la capitale. Une de ces passerelles, située à Alger centre,suffit à elle seule à illustrer cette situation. Il s'agit de la passerelle reliant la rue des Libérés à la station de bus du 2-Mai. Cette dernière, depuis des années déjà, est devenu un petit «super marché» à ciel ouvert où les éventuels clients peuvent tout trouver en passant par le tabac, vêtements, sous-vêtements, produits alimentaires et plein d'autres petits articles pouvant intéresser tout le monde. Bien que cela se passe en plein cœur d'Alger, les autorités concernées considèrent ce fait comme «une chose normale et ordinaire». «On sait que la lutte contre ces marchés informels et leur éradication de manière définitive est une opération rude et difficile, mais ce n'est pas une raison pour rester indifférent à ce qui se passe sur cette passerelle confisquée aux piétons. C'est inadmissible!», déplore le gérant d'un kiosque situé à la rue Med-Bourahla. Plusieurs passerelles et tunnels à Alger ont connu un sort similaire. A titre d'exemple, le tunnel qui mène de l'arrêt de bus de Belcourt vers le boulevard Rouchai-Boualem et Mohamed Belouizdad, est transformé, actuellement,en un vrai marché couvert, où s'écoulent même des appareils électro- ménagers. Les usagers de ces passerelles et de ces tunnels ne sont pas tous, en fait, du même avis que le commerçant cité plus haut. Certains citoyens trouvent dans ce squat un aspect de sécurité. Plusieurs citoyens font remarquer «Auparavant, cette passerelle était inaccessible. Elle était le terrain privilégié des agresseurs. Mais depuis que ces jeunes y pratiquent leur commerce, ce n'est plus le cas, on peut circuler en toute tranquillité et confiance». Le constat de ces piétons parait insensé mais il reflète la réalité que vit l'Algérois quotidiennement. Avec l'absence de sécurité dans de tels passages, les risques sont réels. Peut-être cela devrait-il faire réagir les autorités locales, comme le suggère un des citoyens lequel propose d'installer un, deux ou même trois kiosques sur chaque passerelle.