Cité 1010 logements (Bachedjerrah) : Un espace vert transformé en décharge sauvage Une décharge sauvage sur un espace vert attenant à la cité 1010 Logements, dans la commune de Bachedjerrah, entache cette agglomération et indigne les résidants. Cette décharge ne semble pas préoccuper pour autant les services de l'APC, bien qu'elle soit située sur le côté donnant sur la voie publique. Selon les habitants, cet espace est devenu, ces deux dernières années, un vrai dépotoir à ciel ouvert. En plus des ordures et autres détritus, il y est également signalé la présence incommodante d'herbes sauvages. Selon les habitants, aucune opération d'entretien ou d'arrachage des herbes sauvages n'ont été effectuées par les services de la commune. Cependant, ce qui attire l'attention dans cette cité populaire, c'est qu'au sein des îlots, les habitants veillent remarquablement sur l'entretien des jardins et la propreté des lieux. Ce qui a fait dire à l'un de nos interlocuteurs que les citoyens « font preuve de civisme et de sens de responsabilité, contrairement à l'autorité locale qui ne semble pas beaucoup se soucier de l'état du paysage urbain ». Aussi, les habitants de la cité 1010 Logements se plaignent de la qualité du ramassage assuré par l'Epic Netcom. Outre l'irrégularité dans le ramassage des déchets ménagers, les habitants affirment que souvent les agents de l'établissement public de nettoyage abandonnent une partie des ordures sur place. Passerelle de Tafourah (Alger Centre) : Des escaliers dangereux Des usagers de la passerelle menant de l'Ecole supérieure de commerce vers la station de Tafourah, dans la commune d'Alger-Centre, se plaignent de l'état des escaliers, tellement usés qu'ils sont devenus glissants et dangereux. Il est à relever que cette passerelle est l'une des plus fréquentées de la wilaya d'Alger, et sa réhabilitation devrait constituer une priorité pour les autorités concernées. Cela, d'autant plus que plusieurs accidents y ont été enregistrés. La plupart des victimes sont des femmes. Des citoyens indiquent que cette situation dure depuis plusieurs années et ils se demandent pourquoi les autorités concernées ne daignent pas procéder à la réfection des marches.