Les passerrelles existent mais les citoyens prennent des risques énormes, quotidiennement, en traversant les routes et parfois même les autoroutes, pour certains d'entre eux. Les passerrelles existent mais les citoyens prennent des risques énormes, quotidiennement, en traversant les routes et parfois même les autoroutes, pour certains d'entre eux. La wilaya d‘Alger a démarré la réalisation de plusieurs passerelles au niveau de la capitale. Ces passerelles restent toutefois insuffisantes, vu les accidents qui se produisent quotidiennement, particulièrement au niveau des voies rapides: Ruisseau, Triolet, Ben Aknoun... On a déploré encore deux décès la semaine dernière, le premier au niveau de Ruisseau où une personne a trouvé la mort en traversant la voie rapide, «l‘absence d‘une passerelle dans notre quartier nous oblige à traverser la voie rapide sans avoir, hélas d‘autre choix», nous diront les habitants de ce quartier. «Nous avons malheureusement dénombré plusieurs accidents en cet endroit où les citoyens traversent la route en prenant le risque de se faire heurter par un véhicule», nous a affirmé un élément de la Protection civile lors d‘une intervention dont nous avons été témoins. Plusieurs récriminations ont été entendues à ce propos: absence totale de passerelles, mauvais emplacement ou mauvaise réalisation de celles qui existent déjà. «Les passerelles existantes sont mal adaptées pour les personnes âgées et il n‘est pas du tout évident de monter ces marches, sans même béneficier des mesures de sécurité nécessaires, qui pourraient nous rassurer, en empuntant ces passages», témoigne une vieille dame abordée à Bir-Mourad-Raïs. Les citoyens prennent des risques énormes, quotidiennement, en traversant les routes et parfois même les autoroutes, pour certains d‘entre eux. Du côté de Ben Aknoun, le même problème se pose, des gens traversent l‘autoroute pour aller de la rue Doudou-Mokhtar à l‘arrêt de bus de l‘ITFC, une solution dangereuse mais pourtant la seule. «Nous n‘avons pas le choix, pour aller de la rue Doudou-Mokhtar à l‘arrêt de l‘ITFC, nous devons faire un grand détour, aussi les personnes pressées préfèrent prendre ce risque plutôt que de perdre du temps», nous dira un jeune homme rencontré sur place. D‘autres raisons empêchent également les Algérois d‘emprunter certaines passerelles: l‘insécurité qui y régne pour certaines, un de ces endroits est squatté par des S.D.F., et des délinquants, aussi les gens ont-ils peur de se faire agresser, «nous évitons cette passerelle parce qu‘elle n‘est pas sécurisée, il y a des clochards qui dorment sur les lieux, de ce fait on a peur d‘y passer, et parfois ce sont eux-mêmes qui nous en interdisent le passage», nous dira une personne rencontrée sur place. L‘emplacement de certaines passerelles est également mal étudié et ne répond nullement à l‘attente des citoyens, «la passerelle est située loin des arrêts de bus, c‘est le cas de celle de Bir-Mourad-Raïs, qui est située trop loin de ces points-là, de ce fait les citoyens préfèrent traverser la route pour ne pas perdre de temp», c‘est ce que nous ont affirmé des habitués de cet itinéraire. Vivement donc que les autorités se penchent sur ce problème et épargnent ainsi bien de drames. La wilaya d‘Alger a démarré la réalisation de plusieurs passerelles au niveau de la capitale. Ces passerelles restent toutefois insuffisantes, vu les accidents qui se produisent quotidiennement, particulièrement au niveau des voies rapides: Ruisseau, Triolet, Ben Aknoun... On a déploré encore deux décès la semaine dernière, le premier au niveau de Ruisseau où une personne a trouvé la mort en traversant la voie rapide, «l‘absence d‘une passerelle dans notre quartier nous oblige à traverser la voie rapide sans avoir, hélas d‘autre choix», nous diront les habitants de ce quartier. «Nous avons malheureusement dénombré plusieurs accidents en cet endroit où les citoyens traversent la route en prenant le risque de se faire heurter par un véhicule», nous a affirmé un élément de la Protection civile lors d‘une intervention dont nous avons été témoins. Plusieurs récriminations ont été entendues à ce propos: absence totale de passerelles, mauvais emplacement ou mauvaise réalisation de celles qui existent déjà. «Les passerelles existantes sont mal adaptées pour les personnes âgées et il n‘est pas du tout évident de monter ces marches, sans même béneficier des mesures de sécurité nécessaires, qui pourraient nous rassurer, en empuntant ces passages», témoigne une vieille dame abordée à Bir-Mourad-Raïs. Les citoyens prennent des risques énormes, quotidiennement, en traversant les routes et parfois même les autoroutes, pour certains d‘entre eux. Du côté de Ben Aknoun, le même problème se pose, des gens traversent l‘autoroute pour aller de la rue Doudou-Mokhtar à l‘arrêt de bus de l‘ITFC, une solution dangereuse mais pourtant la seule. «Nous n‘avons pas le choix, pour aller de la rue Doudou-Mokhtar à l‘arrêt de l‘ITFC, nous devons faire un grand détour, aussi les personnes pressées préfèrent prendre ce risque plutôt que de perdre du temps», nous dira un jeune homme rencontré sur place. D‘autres raisons empêchent également les Algérois d‘emprunter certaines passerelles: l‘insécurité qui y régne pour certaines, un de ces endroits est squatté par des S.D.F., et des délinquants, aussi les gens ont-ils peur de se faire agresser, «nous évitons cette passerelle parce qu‘elle n‘est pas sécurisée, il y a des clochards qui dorment sur les lieux, de ce fait on a peur d‘y passer, et parfois ce sont eux-mêmes qui nous en interdisent le passage», nous dira une personne rencontrée sur place. L‘emplacement de certaines passerelles est également mal étudié et ne répond nullement à l‘attente des citoyens, «la passerelle est située loin des arrêts de bus, c‘est le cas de celle de Bir-Mourad-Raïs, qui est située trop loin de ces points-là, de ce fait les citoyens préfèrent traverser la route pour ne pas perdre de temp», c‘est ce que nous ont affirmé des habitués de cet itinéraire. Vivement donc que les autorités se penchent sur ce problème et épargnent ainsi bien de drames.