Plus de 300 camions (semi-remorques) se rendent quotidiennement au port empruntant la seule voie qui mène à ce dernier, enjambant l'unique pont de Oued Allala. De nuit comme de jour, l'accès au port est devenu une gageure pour ces centaines de camions pleins à craquer. Plus de 300 camions (semi-remorques) se rendent quotidiennement au port empruntant la seule voie qui mène à ce dernier, enjambant l'unique pont de Oued Allala. De nuit comme de jour, l'accès au port est devenu une gageure pour ces centaines de camions pleins à craquer. Tandis que le port de Ténès connaît une nette progression en matière de trafic, les infrastructures de base demeurent quant à elles inchangées. Cela se répercute bien évidemment sur les opérations de manutention. Il faut dire que cet ancien port, situé à une centaine de kilomètres de celui d'Alger et à une cinquantaine de km du chef-lieu de wilaya, enregistre une évolution appréciable en matière d'import-export. Selon le PDG de cette entreprise portuaire M. Khaldi El-Hamri « on prévoit un trafic de l'ordre de 700.000 t pour cette année, soit une évolution de 42% par rapport à l'année précédente ». Les produits importés sont le bois, les céréales, les minerais, l'ammonitrade et le fer à béton. Ceux exportés sont généralement les déchets ferreux. Toutefois, selon notre interlocuteur, ce regain d'activités pose un problème de circulation. En effet, plus de 300 camions (semi-remorques) se rendent quotidiennement au port empruntant la seule voie qui mène à ce dernier, enjambant l'unique pont de Oued Allala. De nuit comme de jour, l'accès au port est devenu une gageure pour ces centaines de camions pleins à craquer, particulièrement de déchets ferreux. L'unique chaussée qui part de la ville de Ténès vers le port est devenue trop exigue pour contenir le flux incessant de ces engins .D'où l'urgence selon notre interlocuteur de mettre en place un nouveau plan de circulation qui devra atténuer la pression sur le port. A cela s'ajoutent les capacités de manutention et d'accostage des bateaux. A ce sujet, il est à noter que les travaux de réalisation du quai sud initiées lors de la visite présidentielle en 2007 traînent toujours, accusant un retard considérable. On estime à 42% le taux d'avancement des travaux. A cela s'ajoute le dragage du bassin, qui tarde à être réalisé et qui est devenu une priorité absolue, pour pouvoir faire accoster des navires de gros tonnage. Actuellement, le tirant d'eau est par endroits, d'environ 7 mètres. Toutefois, les dirigeants de cette infrastructure portuaire demeurent optimistes quant à la prise en charge de leurs préoccupations et ce, à la suite de la visite récente du ministre des Transports qui a déclaré : « Nous devons réhabiliter le port de Ténès pour pouvoir l'exploiter à bon escient,ce qui permettra de désengorger celui d'Alger d'une part et répondre d'autre part aux préoccupations des opérateurs économiques de la région.» Tandis que le port de Ténès connaît une nette progression en matière de trafic, les infrastructures de base demeurent quant à elles inchangées. Cela se répercute bien évidemment sur les opérations de manutention. Il faut dire que cet ancien port, situé à une centaine de kilomètres de celui d'Alger et à une cinquantaine de km du chef-lieu de wilaya, enregistre une évolution appréciable en matière d'import-export. Selon le PDG de cette entreprise portuaire M. Khaldi El-Hamri « on prévoit un trafic de l'ordre de 700.000 t pour cette année, soit une évolution de 42% par rapport à l'année précédente ». Les produits importés sont le bois, les céréales, les minerais, l'ammonitrade et le fer à béton. Ceux exportés sont généralement les déchets ferreux. Toutefois, selon notre interlocuteur, ce regain d'activités pose un problème de circulation. En effet, plus de 300 camions (semi-remorques) se rendent quotidiennement au port empruntant la seule voie qui mène à ce dernier, enjambant l'unique pont de Oued Allala. De nuit comme de jour, l'accès au port est devenu une gageure pour ces centaines de camions pleins à craquer, particulièrement de déchets ferreux. L'unique chaussée qui part de la ville de Ténès vers le port est devenue trop exigue pour contenir le flux incessant de ces engins .D'où l'urgence selon notre interlocuteur de mettre en place un nouveau plan de circulation qui devra atténuer la pression sur le port. A cela s'ajoutent les capacités de manutention et d'accostage des bateaux. A ce sujet, il est à noter que les travaux de réalisation du quai sud initiées lors de la visite présidentielle en 2007 traînent toujours, accusant un retard considérable. On estime à 42% le taux d'avancement des travaux. A cela s'ajoute le dragage du bassin, qui tarde à être réalisé et qui est devenu une priorité absolue, pour pouvoir faire accoster des navires de gros tonnage. Actuellement, le tirant d'eau est par endroits, d'environ 7 mètres. Toutefois, les dirigeants de cette infrastructure portuaire demeurent optimistes quant à la prise en charge de leurs préoccupations et ce, à la suite de la visite récente du ministre des Transports qui a déclaré : « Nous devons réhabiliter le port de Ténès pour pouvoir l'exploiter à bon escient,ce qui permettra de désengorger celui d'Alger d'une part et répondre d'autre part aux préoccupations des opérateurs économiques de la région.»