L'accent a été mis sur la nécessité de créer un établissement algérien des greffes et de bio médecine dont le rôle est de développer et de contrôler la greffe des organes de tissus et de cellules avec en parallèle une banque d'organes. L'accent a été mis sur la nécessité de créer un établissement algérien des greffes et de bio médecine dont le rôle est de développer et de contrôler la greffe des organes de tissus et de cellules avec en parallèle une banque d'organes. Les participants à la Journée scientifique d'information et de sensibilisation sur la greffe rénale à partir du donneur cadavérique ont souligné, jeudi à Blida, la nécessité de faire amender la loi limitant le don d'organes aux seuls membres de la famille du 1er degré, l'enrichir et l'étendre aux autres membres de la famille et d'établir la carte du donneur. S'agissant des aspects liés à la religion et à la sensibilisation du grand public, les intervenants ont mis l'accent sur la nécessité de vulgariser, à travers les mosquées, la fatwa autorisant le prélèvement des organes à partir des cadavres, de concevoir et de lancer des campagnes d'information et de sensibilisation des citoyens sur le don d'organes à travers les médias. Sur le plan médical, l'accent a été mis sur la nécessité de créer un établissement algérien des greffes et de bio médecine dont le rôle est de développer et de contrôler la greffe des organes de tissus et de cellules avec en parallèle une banque d'organes. La création du poste de coordinateur de greffe au sein des hôpitaux greffeurs, la formation médicale, paramédical, relationnelle des différents acteurs de la greffe rénale ont été mis en exergue au terme des travaux. La mise en place d'un fichier national de donneurs volontaires de leur vivant accompagnés de toutes les informations nécessaires ont constitué, entre autres, les recommandations adoptées par les participants à cette journée. Organisée par l'association des hémodialyses "Sidi-El-Kebir" de Blida, cette rencontre a été marquée par la présentation de plusieurs communications suivies de débats autour de ce thème. "La greffe rénale en Algérie, état des lieux et perspectives", "la préparation du patient à la greffe rénale", "le rôle du coordinateur de greffe", "la loi et la greffe rénale à partir du cadavre" et "la charia et la greffe rénale à partir du donneur cadavérique" ont été les principaux thèmes développés par les participants à cette rencontre. Ces derniers ont également pu suivre un film documentaire sur le rôle de l'infirmier coordinateur qui est "au cœur de la greffe rénale en assurant la coordination entre tous les acteurs médicaux", a indiqué à l'APS le professeur Si Ahmed, chef de service de chirurgie générale au CHU "Frantz Fanon" de Blida. Les hommes de culte, à leur tête le Dr. K. Bouzidi, président du conseil scientifique islamique de l'université d'Alger, se sont prononcés pour le don d'organes à partir de donneurs cadavériques en soulignant que "l'Islam tolère et encourage ces dons qui constituent l'expression d'idéaux humanitaires les plus louables". Les participants à la Journée scientifique d'information et de sensibilisation sur la greffe rénale à partir du donneur cadavérique ont souligné, jeudi à Blida, la nécessité de faire amender la loi limitant le don d'organes aux seuls membres de la famille du 1er degré, l'enrichir et l'étendre aux autres membres de la famille et d'établir la carte du donneur. S'agissant des aspects liés à la religion et à la sensibilisation du grand public, les intervenants ont mis l'accent sur la nécessité de vulgariser, à travers les mosquées, la fatwa autorisant le prélèvement des organes à partir des cadavres, de concevoir et de lancer des campagnes d'information et de sensibilisation des citoyens sur le don d'organes à travers les médias. Sur le plan médical, l'accent a été mis sur la nécessité de créer un établissement algérien des greffes et de bio médecine dont le rôle est de développer et de contrôler la greffe des organes de tissus et de cellules avec en parallèle une banque d'organes. La création du poste de coordinateur de greffe au sein des hôpitaux greffeurs, la formation médicale, paramédical, relationnelle des différents acteurs de la greffe rénale ont été mis en exergue au terme des travaux. La mise en place d'un fichier national de donneurs volontaires de leur vivant accompagnés de toutes les informations nécessaires ont constitué, entre autres, les recommandations adoptées par les participants à cette journée. Organisée par l'association des hémodialyses "Sidi-El-Kebir" de Blida, cette rencontre a été marquée par la présentation de plusieurs communications suivies de débats autour de ce thème. "La greffe rénale en Algérie, état des lieux et perspectives", "la préparation du patient à la greffe rénale", "le rôle du coordinateur de greffe", "la loi et la greffe rénale à partir du cadavre" et "la charia et la greffe rénale à partir du donneur cadavérique" ont été les principaux thèmes développés par les participants à cette rencontre. Ces derniers ont également pu suivre un film documentaire sur le rôle de l'infirmier coordinateur qui est "au cœur de la greffe rénale en assurant la coordination entre tous les acteurs médicaux", a indiqué à l'APS le professeur Si Ahmed, chef de service de chirurgie générale au CHU "Frantz Fanon" de Blida. Les hommes de culte, à leur tête le Dr. K. Bouzidi, président du conseil scientifique islamique de l'université d'Alger, se sont prononcés pour le don d'organes à partir de donneurs cadavériques en soulignant que "l'Islam tolère et encourage ces dons qui constituent l'expression d'idéaux humanitaires les plus louables".