Le problème de l'agroalimentaire réside notamment dans la mauvaise structuration du marché, à l'image des aires de stockage, les grossistes, les exportations et les structures annexes de la production a déclaré, hier, le ministre de l'Industrie et de la Promotion des investissements, Hamid Temmar. Le problème de l'agroalimentaire réside notamment dans la mauvaise structuration du marché, à l'image des aires de stockage, les grossistes, les exportations et les structures annexes de la production a déclaré, hier, le ministre de l'Industrie et de la Promotion des investissements, Hamid Temmar. «En 2003, l'Algérie importait pour 2,5 milliards de dollars de produits agroalimentaires, alors qu'en 2008, cette somme est passée à 8 milliards de dollars. La situation du secteur agroalimentaire est difficile. Par conséquent, il faut trouver des possibilités de relance de la production nationale. Le problème de l'agroalimentaire réside notamment dans la mauvaise structuration du marché, à l'image des aires de stockage, les grossistes, les exportations et les structures annexes de la production a déclaré, hier, le ministre de l'Industrie et de la Promotion des investissements, Hamid Temmar, au cours d'un séminaire relatif à la contribution des industries agroalimentaires à la sécurité alimentaire du pays. Les entreprises et les opérateurs économiques doivent disposer des technologies et des capacités d'innovation, selon Temmar, mais il faut aussi avoir les équipements nécessaires et les hommes qualifiés en mesure de maîtriser ces équipements. Autrement dit, l'entreprise a besoin de se doter de capacités technologiques adéquates pour pouvoir fonctionner normalement et aller à la compétition et à la concurrence. Par ailleurs, il a mis en exergue l'indispensable mutualisation des entrepreneurs et des opérateurs économiques algériens qui doivent s'unir en coopératives pour créer des aires de stockage, des chambres froides et un système de transport. Il a souligné que «l'Etat est en train de penser à la mise en place de centres techniques industriels afin de les mettre à la disposition des entreprises qui seront organisées sur le plan professionnel et par branches d'activité». Temmar dira que le secteur agroalimentaire en Algérie représente 75 % du marché de l'alimentation et non 50 % comme annoncé précédemment. Pour le ministre, le gouvernement est en train de revoir certains volets de la stratégie industrielle du point de vue économique sachant que la croissance économique peut se réaliser sur des bases durables, solides et définitives. La branche agroalimentaire est considérée comme une priorité à développer dans le cadre de la stratégie industrielle, car, selon le ministre, c'est une branche qui répond directement aux besoins des citoyens. «Il devient impérieux d'installer nos entreprises dans des conditions leur permettant d'avoir les capacités productives et l'expertise pour affronter la compétitivité. Il ne peut pas y avoir de stratégie industrielle sans l'association des opérateurs économiques à cette politique" a tenu à exprimer le ministre. «En 2003, l'Algérie importait pour 2,5 milliards de dollars de produits agroalimentaires, alors qu'en 2008, cette somme est passée à 8 milliards de dollars. La situation du secteur agroalimentaire est difficile. Par conséquent, il faut trouver des possibilités de relance de la production nationale. Le problème de l'agroalimentaire réside notamment dans la mauvaise structuration du marché, à l'image des aires de stockage, les grossistes, les exportations et les structures annexes de la production a déclaré, hier, le ministre de l'Industrie et de la Promotion des investissements, Hamid Temmar, au cours d'un séminaire relatif à la contribution des industries agroalimentaires à la sécurité alimentaire du pays. Les entreprises et les opérateurs économiques doivent disposer des technologies et des capacités d'innovation, selon Temmar, mais il faut aussi avoir les équipements nécessaires et les hommes qualifiés en mesure de maîtriser ces équipements. Autrement dit, l'entreprise a besoin de se doter de capacités technologiques adéquates pour pouvoir fonctionner normalement et aller à la compétition et à la concurrence. Par ailleurs, il a mis en exergue l'indispensable mutualisation des entrepreneurs et des opérateurs économiques algériens qui doivent s'unir en coopératives pour créer des aires de stockage, des chambres froides et un système de transport. Il a souligné que «l'Etat est en train de penser à la mise en place de centres techniques industriels afin de les mettre à la disposition des entreprises qui seront organisées sur le plan professionnel et par branches d'activité». Temmar dira que le secteur agroalimentaire en Algérie représente 75 % du marché de l'alimentation et non 50 % comme annoncé précédemment. Pour le ministre, le gouvernement est en train de revoir certains volets de la stratégie industrielle du point de vue économique sachant que la croissance économique peut se réaliser sur des bases durables, solides et définitives. La branche agroalimentaire est considérée comme une priorité à développer dans le cadre de la stratégie industrielle, car, selon le ministre, c'est une branche qui répond directement aux besoins des citoyens. «Il devient impérieux d'installer nos entreprises dans des conditions leur permettant d'avoir les capacités productives et l'expertise pour affronter la compétitivité. Il ne peut pas y avoir de stratégie industrielle sans l'association des opérateurs économiques à cette politique" a tenu à exprimer le ministre.