Un gardien d'école, récemment affecté au nouveau CEM de Beni-Messous, vient d'être déféré devant le procureur de la République près le tribunal de Bir-Mourad-Raïs. La genèse de cette affaire remonte à une semaine avant les vacances du printemps au moment où K.R., gardien d'école, a brutalisé deux écoliers, un garçonnet de 13 ans et une fillette du même âge, causant à cette dernière une incapacité de cinq jours, selon le certificat du médecin légiste. Vu la gravité de cet acte inqualifiable et suite à une correspondance adressée à l'académie d'Alger, celle-ci mettra fin au fonction du gardien en question. Le jour de la remise des bulletins aux parents d'élèves, ce gardien, bourreau d'enfants , apprendra la décision de l'administration, hors de lui il sémera la panique dans l'établissement, il a fallu l'intervention musclée d'un autre agent pour que l'énergumène soit neutralisé. Le comble dans cette triste histoire, c'est que ce gardien a déposé plainte auprès du commissariat de police de Beni-Messous contre son collègue pour violence. Convoqué au commissariat, l'accusé s'y rendra accompagné du responsable de l'établissement, ils y exposeront la situation, mettant en exergue le comportement «bizarre» de K.R., des explications qui poussent les policiers à approfondir leurs investigations. Ils découvrirent dans les papiers du gardien incriminé une carte de handicap sur laquelle en pouvait lire «Handicapé mental à 80%», les policiers ont ouvert une enquête afin de déterminer comment un handicapé mental, à 80%, a pu exercer dans le secteur de l'éducation et ce durant près de vingt ans avec tout le danger qu'il représentait pour les enfants. Un gardien d'école, récemment affecté au nouveau CEM de Beni-Messous, vient d'être déféré devant le procureur de la République près le tribunal de Bir-Mourad-Raïs. La genèse de cette affaire remonte à une semaine avant les vacances du printemps au moment où K.R., gardien d'école, a brutalisé deux écoliers, un garçonnet de 13 ans et une fillette du même âge, causant à cette dernière une incapacité de cinq jours, selon le certificat du médecin légiste. Vu la gravité de cet acte inqualifiable et suite à une correspondance adressée à l'académie d'Alger, celle-ci mettra fin au fonction du gardien en question. Le jour de la remise des bulletins aux parents d'élèves, ce gardien, bourreau d'enfants , apprendra la décision de l'administration, hors de lui il sémera la panique dans l'établissement, il a fallu l'intervention musclée d'un autre agent pour que l'énergumène soit neutralisé. Le comble dans cette triste histoire, c'est que ce gardien a déposé plainte auprès du commissariat de police de Beni-Messous contre son collègue pour violence. Convoqué au commissariat, l'accusé s'y rendra accompagné du responsable de l'établissement, ils y exposeront la situation, mettant en exergue le comportement «bizarre» de K.R., des explications qui poussent les policiers à approfondir leurs investigations. Ils découvrirent dans les papiers du gardien incriminé une carte de handicap sur laquelle en pouvait lire «Handicapé mental à 80%», les policiers ont ouvert une enquête afin de déterminer comment un handicapé mental, à 80%, a pu exercer dans le secteur de l'éducation et ce durant près de vingt ans avec tout le danger qu'il représentait pour les enfants.