L'Algérie a abrité avant-hier et hier les travaux de la commission technique maghrébine «Management qualité». Cette commission est présidée par le Pr Kezzal, président de l'Association algérienne du don de sang. Il est chargé de coordonner les efforts à l'échelle maghrébine pour garantir la sécurité du sang et des produits sanguins. L'Algérie a abrité avant-hier et hier les travaux de la commission technique maghrébine «Management qualité». Cette commission est présidée par le Pr Kezzal, président de l'Association algérienne du don de sang. Il est chargé de coordonner les efforts à l'échelle maghrébine pour garantir la sécurité du sang et des produits sanguins. L'Algérie a célébré, les 30 et 31 mars, la troisième édition de la journée maghrébine du don de sang sous le slogan «Une petite pause pour une grande cause». Une affiche portant ce slogan est diffusée à cette occasion à travers l'ensemble des directions de la santé et de la population, des fédérations des donneurs de sang, des comités de wilaya et du Croissant-Rouge algérien en vue de sensibiliser les citoyens au don de sang. L'Algérie abritera durant ces deux jours les travaux de la commission technique maghrébine «Management qualité». Cette commission est président par le Pr Kezzal , président de l'association algérienne du don de sang. Il est chargé de coordonner les efforts à l'échelle maghrébine pour garantir la sécurité du sang et des produits sanguins. Il est vrai que les Algériens appréhendent beaucoup le manque de sécurité, gardant en mémoire les différents scandales du sang contaminé, notamment celui des infirmières bulgares qui avaient été condamnées en Libye. Le don de sang demeure particulièrement risqué aussi bien pour le donneur que pour le receveur, d'autant que les centres de transfusion sanguine sont vétustes et nécessitent une réelle mise à niveau. La coopération maghrébine, selon le professeur Kezzal a de tout temps existé, mais ce n'est qu'en 1997, qu'un véritable programme a été initié lors des journées de transfusion sanguine à Tunis. Les trois pays présents à ces journées, l'Algérie, le Maroc et la Tunisie, ont proposé trois axes fondamentaux de coopération entre les pays du Maghreb dans ce domaine, notamment l'échange d'informations d'ordre réglementaire et scientifique, l'échange d'experts dans le domaine de la formation et la création d'un comité maghrébin de transfusion sanguine. La coopération maghrébine en matière de transfusion sanguine n'a connu un véritable lancement qu'après la tenue, en 2004 à Rabat, de la première réunion de la commission maghrébine des médicaments, dispositifs médicaux, instituts Pasteur, laboratoires similaires et sang et dérivés. Cette rencontre a été suivie par quatre autres (Tunis 2005, Maroc 2006, Algérie 2007 et Libye 2008) ayant abouti à l'institution de la journée maghrébine du don de sang et la mise en place de mécanismes de mise en oeuvre et de contrôle. Les groupes de travail issus des précédentes rencontres ont élaboré un programme maghrébin visant l'augmentation et la fidélisation des donneurs de sang, ainsi qu'un référentiel maghrébin d'analyse biologique des dons de sang et la réalisation d'un guide maghrébin pour la mise en place d'un système de management de qualité. La cinquième rencontre maghrébine sur la transfusion sanguine est prévue cette année en Mauritanie. L'Algérie a célébré, les 30 et 31 mars, la troisième édition de la journée maghrébine du don de sang sous le slogan «Une petite pause pour une grande cause». Une affiche portant ce slogan est diffusée à cette occasion à travers l'ensemble des directions de la santé et de la population, des fédérations des donneurs de sang, des comités de wilaya et du Croissant-Rouge algérien en vue de sensibiliser les citoyens au don de sang. L'Algérie abritera durant ces deux jours les travaux de la commission technique maghrébine «Management qualité». Cette commission est président par le Pr Kezzal , président de l'association algérienne du don de sang. Il est chargé de coordonner les efforts à l'échelle maghrébine pour garantir la sécurité du sang et des produits sanguins. Il est vrai que les Algériens appréhendent beaucoup le manque de sécurité, gardant en mémoire les différents scandales du sang contaminé, notamment celui des infirmières bulgares qui avaient été condamnées en Libye. Le don de sang demeure particulièrement risqué aussi bien pour le donneur que pour le receveur, d'autant que les centres de transfusion sanguine sont vétustes et nécessitent une réelle mise à niveau. La coopération maghrébine, selon le professeur Kezzal a de tout temps existé, mais ce n'est qu'en 1997, qu'un véritable programme a été initié lors des journées de transfusion sanguine à Tunis. Les trois pays présents à ces journées, l'Algérie, le Maroc et la Tunisie, ont proposé trois axes fondamentaux de coopération entre les pays du Maghreb dans ce domaine, notamment l'échange d'informations d'ordre réglementaire et scientifique, l'échange d'experts dans le domaine de la formation et la création d'un comité maghrébin de transfusion sanguine. La coopération maghrébine en matière de transfusion sanguine n'a connu un véritable lancement qu'après la tenue, en 2004 à Rabat, de la première réunion de la commission maghrébine des médicaments, dispositifs médicaux, instituts Pasteur, laboratoires similaires et sang et dérivés. Cette rencontre a été suivie par quatre autres (Tunis 2005, Maroc 2006, Algérie 2007 et Libye 2008) ayant abouti à l'institution de la journée maghrébine du don de sang et la mise en place de mécanismes de mise en oeuvre et de contrôle. Les groupes de travail issus des précédentes rencontres ont élaboré un programme maghrébin visant l'augmentation et la fidélisation des donneurs de sang, ainsi qu'un référentiel maghrébin d'analyse biologique des dons de sang et la réalisation d'un guide maghrébin pour la mise en place d'un système de management de qualité. La cinquième rencontre maghrébine sur la transfusion sanguine est prévue cette année en Mauritanie.