Le candidat s'est abstenu d'animer des meetings ou encore de tenir une quelconque déclaration en se contentant de donner l'occasion aux citoyens d'exprimer avec force le degré de sa popularité. Le candidat s'est abstenu d'animer des meetings ou encore de tenir une quelconque déclaration en se contentant de donner l'occasion aux citoyens d'exprimer avec force le degré de sa popularité. Le dernier week-end de la campagne électorale, M. Abdelaziz Bouteflika a choisi de le consacrer, en grande partie, à la tenue d'activités de proximité, en allant à la rencontre des citoyens venus l'accueillir en grande pompe dans les quatre wilayas où il s'est rendu. Le candidat s'est en effet abstenu d'animer des meetings ou encore de tenir une quelconque déclaration en se contentant de donner l'occasion aux citoyens d'exprimer avec force le degré de sa popularité. En agissant de la sorte, M. Bouteflika voulait sans aucun doute confirmer qu'il agit en véritable terrain conquis fort d'un soutien indéfectible d'un peuple. Jeudi, M. Bouteflika s'est rendu à Skikda et Constantine, et le lendemain, c'est-à-dire hier, il s'est déplacé dans deux autres wilayas de l'ouest Mascara et Saïda. A chacune de ses haltes, le candidat a été chaleureusement accueilli par les citoyens de la ville où il se rendait et des communes environnantes venus nombreux à sa rencontre. Le candidat parcourait à pied l'artère principale de chaque centre-ville de ces wilayas respectives au milieu d'une foule qui scande sans discontinuité des slogans favorables à un troisième mandat et qui se mêlaient au défilé des nombreuses troupes folkloriques, avec leurs danses traditionnelles et autres salves de baroud. D'ailleurs, de véritables marées humaines envahissaient chacun des endroits par où passait le cortège présidentiel. Bref, ces villes étaient en liesse et l'ambiance atteignait son paroxysme à chaque fois que le candidat Bouteflika s'approchait de la foule. M. Bouteflika n'a en effet pas cessé de saluer la foule, marquant des haltes pour serrer la main à des citoyens, visiblement ravis de l'approcher de si près. Le candidat n'hésitait pas également à marquer des temps d'arrêt pour apprécier les danses traditionnelles interprétées à son passage. A l'entrée de chaque ville étaient accrochés sur les façades des immeubles et des habitations, les portraits de M. Bouteflika qui postule pour briguer un troisième mandat consécutif à la tête de l'Etat. Lors de son passage, jeudi, à Constantine, le candidat a assisté à un concert de chants organisé au Théâtre régional de Constantine (TRC) après un bain de foule dans le centre-ville. Une rencontre conviviale durant laquelle des chansons du terroir, du malouf, ont été interprétées par Salim Fergani suivies par une interprétation d'une jeune chorale du conservatoire de la ville. Un autre jeune rappeur a gratifié l'assistance d'un spectacle avec une touche de musique jazz. A la fin du spectacle, M. Bouteflika est monté sur la scène et a salué l'ensemble des chanteurs, dont Hadj Mohamed-Tahar El Fergani, et des artistes qui lui ont offert, à leur tour, une médaille en signe de reconnaissance pour «tout ce qu'il entreprend en faveur de l'art et la culture». Le dernier week-end de la campagne électorale, M. Abdelaziz Bouteflika a choisi de le consacrer, en grande partie, à la tenue d'activités de proximité, en allant à la rencontre des citoyens venus l'accueillir en grande pompe dans les quatre wilayas où il s'est rendu. Le candidat s'est en effet abstenu d'animer des meetings ou encore de tenir une quelconque déclaration en se contentant de donner l'occasion aux citoyens d'exprimer avec force le degré de sa popularité. En agissant de la sorte, M. Bouteflika voulait sans aucun doute confirmer qu'il agit en véritable terrain conquis fort d'un soutien indéfectible d'un peuple. Jeudi, M. Bouteflika s'est rendu à Skikda et Constantine, et le lendemain, c'est-à-dire hier, il s'est déplacé dans deux autres wilayas de l'ouest Mascara et Saïda. A chacune de ses haltes, le candidat a été chaleureusement accueilli par les citoyens de la ville où il se rendait et des communes environnantes venus nombreux à sa rencontre. Le candidat parcourait à pied l'artère principale de chaque centre-ville de ces wilayas respectives au milieu d'une foule qui scande sans discontinuité des slogans favorables à un troisième mandat et qui se mêlaient au défilé des nombreuses troupes folkloriques, avec leurs danses traditionnelles et autres salves de baroud. D'ailleurs, de véritables marées humaines envahissaient chacun des endroits par où passait le cortège présidentiel. Bref, ces villes étaient en liesse et l'ambiance atteignait son paroxysme à chaque fois que le candidat Bouteflika s'approchait de la foule. M. Bouteflika n'a en effet pas cessé de saluer la foule, marquant des haltes pour serrer la main à des citoyens, visiblement ravis de l'approcher de si près. Le candidat n'hésitait pas également à marquer des temps d'arrêt pour apprécier les danses traditionnelles interprétées à son passage. A l'entrée de chaque ville étaient accrochés sur les façades des immeubles et des habitations, les portraits de M. Bouteflika qui postule pour briguer un troisième mandat consécutif à la tête de l'Etat. Lors de son passage, jeudi, à Constantine, le candidat a assisté à un concert de chants organisé au Théâtre régional de Constantine (TRC) après un bain de foule dans le centre-ville. Une rencontre conviviale durant laquelle des chansons du terroir, du malouf, ont été interprétées par Salim Fergani suivies par une interprétation d'une jeune chorale du conservatoire de la ville. Un autre jeune rappeur a gratifié l'assistance d'un spectacle avec une touche de musique jazz. A la fin du spectacle, M. Bouteflika est monté sur la scène et a salué l'ensemble des chanteurs, dont Hadj Mohamed-Tahar El Fergani, et des artistes qui lui ont offert, à leur tour, une médaille en signe de reconnaissance pour «tout ce qu'il entreprend en faveur de l'art et la culture».