Alors que les prix des fruits et légumes ne cessent de prendre de l'altitude, la pomme de terre à 75 DA, laitue à 70 DA, haricot vert à 150 DA, tomate à 100 DA, la courgette à 90 DA, les oranges à 140 DA et la pomme à 180 DA, et celui du poisson, notamment, la sardine qui frôle les 300 DA le kg, voilà que c'est au tour de la viande ovine à se mettre de la partie pour «achever», ainsi, le pauvre chef de famille qui n'arrive plus à nourrir convenablement sa progéniture . En effet, que ce soit sur les marchés hebdomadaires de la wilaya ou dans les boucheries, le prix affiché pour la viande ovine oscille entre 800 DA et 850 DA le kg. Cette nouvelle flambée des prix de la viande serait due, selon certains bouchers, à une demande plus importante par rapport à l'offre. Et de citer quelques exemples de marchés de bestiaux, parmi les plus importants de la région, à savoir ceux de Chlef et de Ouled Fares, entre autres, qui connaissent depuis un certain temps un ralentissement de leur activité. D'ailleurs, les quelques moutons proposés à la vente à des prix forts sont vite embarqués. Les vétérinaires, quant à eux, imputent «la responsabilité de cette situation incombe aux pouvoirs publics qui n'arrivent pas à encadrer efficacement la profession d'éleveur et pourvoir ce dernier de quantités suffisantes en aliment de bétail». Toutefois, en attendant que le prix de la viande ovine soit accessible pour les bourses moyennes, la ménagère pourra toujours se rabattre… momentanément, sur le poulet qui, lui, contrairement à la viande, connaît une baisse sensible. Le prix du poulet variait entre 170 et 180 DA contre 280 DA, il y a à peine un mois. Alors que les prix des fruits et légumes ne cessent de prendre de l'altitude, la pomme de terre à 75 DA, laitue à 70 DA, haricot vert à 150 DA, tomate à 100 DA, la courgette à 90 DA, les oranges à 140 DA et la pomme à 180 DA, et celui du poisson, notamment, la sardine qui frôle les 300 DA le kg, voilà que c'est au tour de la viande ovine à se mettre de la partie pour «achever», ainsi, le pauvre chef de famille qui n'arrive plus à nourrir convenablement sa progéniture . En effet, que ce soit sur les marchés hebdomadaires de la wilaya ou dans les boucheries, le prix affiché pour la viande ovine oscille entre 800 DA et 850 DA le kg. Cette nouvelle flambée des prix de la viande serait due, selon certains bouchers, à une demande plus importante par rapport à l'offre. Et de citer quelques exemples de marchés de bestiaux, parmi les plus importants de la région, à savoir ceux de Chlef et de Ouled Fares, entre autres, qui connaissent depuis un certain temps un ralentissement de leur activité. D'ailleurs, les quelques moutons proposés à la vente à des prix forts sont vite embarqués. Les vétérinaires, quant à eux, imputent «la responsabilité de cette situation incombe aux pouvoirs publics qui n'arrivent pas à encadrer efficacement la profession d'éleveur et pourvoir ce dernier de quantités suffisantes en aliment de bétail». Toutefois, en attendant que le prix de la viande ovine soit accessible pour les bourses moyennes, la ménagère pourra toujours se rabattre… momentanément, sur le poulet qui, lui, contrairement à la viande, connaît une baisse sensible. Le prix du poulet variait entre 170 et 180 DA contre 280 DA, il y a à peine un mois.