L'affaire du décès de Adel Fellah, agent de sécurité à l'université Sidi Achour de Annaba, survenu, selon les témoignages de sa famille, dans des conditions obscures, continue à faire couler beaucoup d'encre et de salive. Le défunt aurait été victime d'une prise en charge médicale défaillante ayant en traîné la mort. C'est l'intime conviction de ses proches, notamment sa femme qui n'a pas hésité à déposer plainte pour négligence médicale grave auprès du tribunal correctionnel de Annaba. Ainsi, une information judiciaire a été ouverte à l'encontre du chirurgien qui a opéré Adel Fellah, l'interne qui a assuré les soins post-opératoires et le chef de service ORL. Selon des sources proches du 8e arrondissement de la police de Annaba, le dossier relatif à cette douloureuse affaire aurait été bouclé et remis au procureur de la République la semaine passée. Mais ce que redoute le plus la famille du défunt, satisfaite du fait que le dossier ait été pris en charge par la justice, ce sont les lenteurs judiciaires, car le procès risque de traîner en longueur du fait de la nomination d'experts et de contre-experts ainsi que les formalités y afférentes. L'affaire du décès de Adel Fellah, agent de sécurité à l'université Sidi Achour de Annaba, survenu, selon les témoignages de sa famille, dans des conditions obscures, continue à faire couler beaucoup d'encre et de salive. Le défunt aurait été victime d'une prise en charge médicale défaillante ayant en traîné la mort. C'est l'intime conviction de ses proches, notamment sa femme qui n'a pas hésité à déposer plainte pour négligence médicale grave auprès du tribunal correctionnel de Annaba. Ainsi, une information judiciaire a été ouverte à l'encontre du chirurgien qui a opéré Adel Fellah, l'interne qui a assuré les soins post-opératoires et le chef de service ORL. Selon des sources proches du 8e arrondissement de la police de Annaba, le dossier relatif à cette douloureuse affaire aurait été bouclé et remis au procureur de la République la semaine passée. Mais ce que redoute le plus la famille du défunt, satisfaite du fait que le dossier ait été pris en charge par la justice, ce sont les lenteurs judiciaires, car le procès risque de traîner en longueur du fait de la nomination d'experts et de contre-experts ainsi que les formalités y afférentes.