Le président de la commission des finances à l'APN, le député Tayeb Nouari, qui a été saisi par les responsables de la Chambre de commerce et d'industrie de Annaba, sur les attentes et autres préoccupation des opérateurs économiques concernant les droits de douanes auxquels ils sont soumis en tant que producteurs, animera aujourd'hui un débat centré sur la thématique des droits et taxes relatifs à l'importation des matières premières, au siège consulaire de la chambre commerciale de Annaba, nous a confié hier le premier vice-président de ladite institution. Pour Djamel Daoudi, le n° 2 de la chambre, cette rencontre des différents producteurs de la région avec Tayeb Nouari, président de la commission des finances à l'APN, tombe à point nommé pour d'une part dissiper toutes les appréhentions induites par l'adhésion de l'Algérie à l'Union européenne et son insertion dans l'espace économique de la Zone arabe de libre-échange (Zale), mais aussi sensibiliser le législateur algérien sur la problématique des droits et taxes et leurs retombées sur le sort des entreprises productrices en Algérie. Le vice-président, avec force arguments, nous confiera que de nombreux producteurs nationaux sont aujourd'hui lésés du fait de la libre circulation sur le marché algérien de produits finis importés dans le cadre des conventions contractées avec l'Union européenne et la Zale. «Ils paient des droits de douane de loin supérieurs à ceux des produits finis importés concernant l'importation des matières premières destinées à la transformation», affirme-t-il. Il ne s'agit pas, dira-t-il, de remettre en cause les aspects politiques de ces orientations, mais de mettre en avant les difficultés réelles auxquelles sont confrontés les producteurs algériens. Le président de la commission des finances à l'APN, le député Tayeb Nouari, qui a été saisi par les responsables de la Chambre de commerce et d'industrie de Annaba, sur les attentes et autres préoccupation des opérateurs économiques concernant les droits de douanes auxquels ils sont soumis en tant que producteurs, animera aujourd'hui un débat centré sur la thématique des droits et taxes relatifs à l'importation des matières premières, au siège consulaire de la chambre commerciale de Annaba, nous a confié hier le premier vice-président de ladite institution. Pour Djamel Daoudi, le n° 2 de la chambre, cette rencontre des différents producteurs de la région avec Tayeb Nouari, président de la commission des finances à l'APN, tombe à point nommé pour d'une part dissiper toutes les appréhentions induites par l'adhésion de l'Algérie à l'Union européenne et son insertion dans l'espace économique de la Zone arabe de libre-échange (Zale), mais aussi sensibiliser le législateur algérien sur la problématique des droits et taxes et leurs retombées sur le sort des entreprises productrices en Algérie. Le vice-président, avec force arguments, nous confiera que de nombreux producteurs nationaux sont aujourd'hui lésés du fait de la libre circulation sur le marché algérien de produits finis importés dans le cadre des conventions contractées avec l'Union européenne et la Zale. «Ils paient des droits de douane de loin supérieurs à ceux des produits finis importés concernant l'importation des matières premières destinées à la transformation», affirme-t-il. Il ne s'agit pas, dira-t-il, de remettre en cause les aspects politiques de ces orientations, mais de mettre en avant les difficultés réelles auxquelles sont confrontés les producteurs algériens.