Ayant ponctué sa campagne électorale par une conférence de presse au Centre international de presse, le candidat du parti AHD 54, Ali Fawzi Rebaïne, a résumé son long et riche périple à travers le territoire national par des déclarations réalistes reflétant son ambition, immense, de transformer le pays sur le triple plan politique, économique et social. Ainsi, ce candidat qui s'érige en véritable et farouche défenseur des droits de l'Homme, estime que «l'Algérie a raté un très important rendez-vous avec l'histoire, notamment à la suite de la révision constitutionnelle rendant illimité le mandat présidentiel. Nous sommes contre le pouvoir politique charismatique qui cultive le culte de la personnalité et nous nous insurgeons contre la fraude électorale qui a, d'ores et déjà, commencé avec l'absence d'impartialité du côté de l'administration et les moyens disproportionnés des candidats durant la campagne électorale». Abordant l'exercice de la démocratie, Rebaïne dira : «Ma génération ne peut accepter, en aucun cas, le cumul des mandats et les pratiques politiques du parti et de la pensée uniques définitivement révolues et anachroniques». Affirmant qu'il représente les classes sociales déshéritées, les pauvres et les opprimés, il exhorte les jeunes à voter massivement pour lui, demain, afin de contribuer à mettre fin à l'injustice et aux inégalités sociales. Il plaide pour une distribution juste et équitable des richesses entre les citoyens algériens en favorisant les catégories les plus démunies et les laissés-pour-compte. Le leitmotiv revenant souvent dans les meetings de ce candidat résume bien ses aspirations profondes à apporter le changement, telles que «l'éradication de la partialité de l'administration et de la commission de surveillance des élections, ainsi que les dépassements». Il travaille inlassablement, en tant que premier fondateur d'une ligue des droits de l'Homme, à la promotion des droits de l'Homme et de l'enfant, ainsi que de la femme, comme il œuvre pour une réforme opportune et rapide des institutions de l'Etat et leur modernisation, ainsi que pour l'alternance au pouvoir en tant que nécessité absolue visant la promotion d'une véritable démocratie. Tout au long de sa campagne électorale, Rebaïne a insisté sur l'amélioration du pouvoir d'achat des citoyens et la lutte contre l'inflation et la paupérisation des masses populaires, en précisant que «le peuple algérien a le droit de profiter des richesses de son pays et d'y vivre dignement». Il a, par ailleurs, affirmé que «les gouvernements précédents n'ont pas apporté les résultats escomptés à leurs différentes politiques en mettant en relief l'échec ayant conduit le pays au mal-développement économique et au statu quo politique et social, tel que la longévité de l'état d'urgence et des situations spéciales empêchant toute initiative politique, économique ou sociale d'avancer vers une société moderne respectant scrupuleusement les droits de l'Homme et les règles de l'économie de marché et prenant en considération les préoccupations des agriculteurs en difficulté et les autres catégories socioprofessionnelles». Rebaïne a longuement relaté l'épineux problème du logement en revendiquant l'accès à toutes les couches de la population. Il a également mis en exergue le droit au travail pour les jeunes en prônant une stratégie visant à résorber le chômage et créer les conditions du plein emploi. Il a aussi milité pour la promotion de l'éducation et la réhabilitation de l'enseignant. Ayant ponctué sa campagne électorale par une conférence de presse au Centre international de presse, le candidat du parti AHD 54, Ali Fawzi Rebaïne, a résumé son long et riche périple à travers le territoire national par des déclarations réalistes reflétant son ambition, immense, de transformer le pays sur le triple plan politique, économique et social. Ainsi, ce candidat qui s'érige en véritable et farouche défenseur des droits de l'Homme, estime que «l'Algérie a raté un très important rendez-vous avec l'histoire, notamment à la suite de la révision constitutionnelle rendant illimité le mandat présidentiel. Nous sommes contre le pouvoir politique charismatique qui cultive le culte de la personnalité et nous nous insurgeons contre la fraude électorale qui a, d'ores et déjà, commencé avec l'absence d'impartialité du côté de l'administration et les moyens disproportionnés des candidats durant la campagne électorale». Abordant l'exercice de la démocratie, Rebaïne dira : «Ma génération ne peut accepter, en aucun cas, le cumul des mandats et les pratiques politiques du parti et de la pensée uniques définitivement révolues et anachroniques». Affirmant qu'il représente les classes sociales déshéritées, les pauvres et les opprimés, il exhorte les jeunes à voter massivement pour lui, demain, afin de contribuer à mettre fin à l'injustice et aux inégalités sociales. Il plaide pour une distribution juste et équitable des richesses entre les citoyens algériens en favorisant les catégories les plus démunies et les laissés-pour-compte. Le leitmotiv revenant souvent dans les meetings de ce candidat résume bien ses aspirations profondes à apporter le changement, telles que «l'éradication de la partialité de l'administration et de la commission de surveillance des élections, ainsi que les dépassements». Il travaille inlassablement, en tant que premier fondateur d'une ligue des droits de l'Homme, à la promotion des droits de l'Homme et de l'enfant, ainsi que de la femme, comme il œuvre pour une réforme opportune et rapide des institutions de l'Etat et leur modernisation, ainsi que pour l'alternance au pouvoir en tant que nécessité absolue visant la promotion d'une véritable démocratie. Tout au long de sa campagne électorale, Rebaïne a insisté sur l'amélioration du pouvoir d'achat des citoyens et la lutte contre l'inflation et la paupérisation des masses populaires, en précisant que «le peuple algérien a le droit de profiter des richesses de son pays et d'y vivre dignement». Il a, par ailleurs, affirmé que «les gouvernements précédents n'ont pas apporté les résultats escomptés à leurs différentes politiques en mettant en relief l'échec ayant conduit le pays au mal-développement économique et au statu quo politique et social, tel que la longévité de l'état d'urgence et des situations spéciales empêchant toute initiative politique, économique ou sociale d'avancer vers une société moderne respectant scrupuleusement les droits de l'Homme et les règles de l'économie de marché et prenant en considération les préoccupations des agriculteurs en difficulté et les autres catégories socioprofessionnelles». Rebaïne a longuement relaté l'épineux problème du logement en revendiquant l'accès à toutes les couches de la population. Il a également mis en exergue le droit au travail pour les jeunes en prônant une stratégie visant à résorber le chômage et créer les conditions du plein emploi. Il a aussi milité pour la promotion de l'éducation et la réhabilitation de l'enseignant.