Un protocole d'accord a été signé, dans ce sens, lundi, entre le premier responsable de cette entreprise et le Secrétaire général de la Fédération nationale des cheminots. Ce dernier, porte sur la satisfaction des revendications des travailleurs en deux temps. Un protocole d'accord a été signé, dans ce sens, lundi, entre le premier responsable de cette entreprise et le Secrétaire général de la Fédération nationale des cheminots. Ce dernier, porte sur la satisfaction des revendications des travailleurs en deux temps. La Direction générale de la société nationale des transports ferroviaires (SNTF) s'est engagée à prendre en charge les doléances des cheminots dans un délai n'excédant pas deux mois. Un protocole d'accord a été signé, dans ce sens, lundi, entre le premier responsable de cette entreprise et le Secrétaire général de la Fédération nationale des cheminots. Enclenchée depuis samedi dernier, sans préavis, la grève des cheminots a perturbé lourdement le trafic des trains. Un mouvement de débrayage enclenché «spontanément» par, notamment, les mécaniciens et les conducteurs de trains, afin de demander l'amélioration de leurs conditions de travail. Des grévistes qui réclament un statut particulier des mécaniciens et conducteurs de train. Ils jugent également que les augmentations dont ils ont bénéficié en 2007 sont dérisoires par rapport à celles appliquées aux autres branches. Ils citent, à ce titre, la prime de panier et celle de risque. Selon leurs dires, la première a été appliquée, mais la seconde s'est avérée minime. Trois jours après le début de cette grève, un heureux épilogue à ce mouvement de contestation aurait été conclu. En effet, la Direction générale de la SNTF et la Fédération nationale des cheminots sont arrivés lundi dernier à un accord. Ce dernier, selon un avis transmis aux travailleurs, porte sur la satisfaction des revendications des travailleurs en deux temps. Il s'agit de l'examen et la finalisation dans des délais ne dépassant pas les deux mois des dossiers relatifs à la classification des postes de travail selon une étude de l'institut national de développement et de promotion de la formation continue (INDEFOC), l'examen du déroulement de carrière, la formation et l'organisation des examens et l'amélioration des conditions de travail. Par la suite, la Direction générale s'est engagée à poursuivre « l'examen des autres points particuliers.» «La Direction générale de la SNTF et la Fédération nationale des cheminots soucieuses de préserver le climat de dialogue qui a toujours prévalu au sein de l'entreprise, appellent, ensemble, à une reprise immédiate de travail en vue d'un retour à la normale du trafic ferroviaire.» conclut cet avis transmis aux travailleurs. Un appel qui ne semble pas avoir d'échos chez l'ensemble de la corporation. Au lendemain de cette réunion «express», certaines categories de cheminots étaient encore en grève. La Direction générale de la société nationale des transports ferroviaires (SNTF) s'est engagée à prendre en charge les doléances des cheminots dans un délai n'excédant pas deux mois. Un protocole d'accord a été signé, dans ce sens, lundi, entre le premier responsable de cette entreprise et le Secrétaire général de la Fédération nationale des cheminots. Enclenchée depuis samedi dernier, sans préavis, la grève des cheminots a perturbé lourdement le trafic des trains. Un mouvement de débrayage enclenché «spontanément» par, notamment, les mécaniciens et les conducteurs de trains, afin de demander l'amélioration de leurs conditions de travail. Des grévistes qui réclament un statut particulier des mécaniciens et conducteurs de train. Ils jugent également que les augmentations dont ils ont bénéficié en 2007 sont dérisoires par rapport à celles appliquées aux autres branches. Ils citent, à ce titre, la prime de panier et celle de risque. Selon leurs dires, la première a été appliquée, mais la seconde s'est avérée minime. Trois jours après le début de cette grève, un heureux épilogue à ce mouvement de contestation aurait été conclu. En effet, la Direction générale de la SNTF et la Fédération nationale des cheminots sont arrivés lundi dernier à un accord. Ce dernier, selon un avis transmis aux travailleurs, porte sur la satisfaction des revendications des travailleurs en deux temps. Il s'agit de l'examen et la finalisation dans des délais ne dépassant pas les deux mois des dossiers relatifs à la classification des postes de travail selon une étude de l'institut national de développement et de promotion de la formation continue (INDEFOC), l'examen du déroulement de carrière, la formation et l'organisation des examens et l'amélioration des conditions de travail. Par la suite, la Direction générale s'est engagée à poursuivre « l'examen des autres points particuliers.» «La Direction générale de la SNTF et la Fédération nationale des cheminots soucieuses de préserver le climat de dialogue qui a toujours prévalu au sein de l'entreprise, appellent, ensemble, à une reprise immédiate de travail en vue d'un retour à la normale du trafic ferroviaire.» conclut cet avis transmis aux travailleurs. Un appel qui ne semble pas avoir d'échos chez l'ensemble de la corporation. Au lendemain de cette réunion «express», certaines categories de cheminots étaient encore en grève.