Reconduit par plébiscite populaire à la tête de l'Etat pour un troisième mandat, M. Abdelaziz Bouteflika, fort de l'aval de ses concitoyens, retrouvera son bureau d'El Mouradia avec, sur les bras, d'innombrables défis à relever. Il s'agira avant tout, et en particulier, de concrétiser dans les délais les promesses électorales qu'il avait eu à arborer, en long et en large, tout au long de la campagne électorale et qui, maintenant, gagnent en galon pour passer au stade de véritable engagement d'un chef d'Etat.. En effet, même si son score de réussite, arrêté provisoirement à 90,24% des suffrages exprimées, lui offre définitivement les coudées franches pour mettre en œuvre sa politique, il n'en demeure pas moins que les défis économiques, sociaux et sécuritaires devant être relevés, sont importants. Sur le plan du développement, le candidat, aujourd'hui président de la République, a promis d'y consacrer une enveloppe colossale de 150 milliards de dollars pour amorcer une stratégie déjà entameée dès son investiture pour un premier mandat en 1999. Il s'est également engagé pour la création de 3 millions d'emplois, la consécration d'un budget de 1.000 milliards de DA pour assurer la sécurité alimentaire, l'alimentation d'un nouveau Fonds national d'investissement d'un capital public de 150 milliards de DA dont la capacité de financement atteindra plus de 1.000 milliards de DA durant les cinq prochaines années, avec la création d'au moins 200.000 nouvelles PME au cours de cette mandature tout en veillant à la remise à niveau des entreprises publiques. En plus de cette «révolution» sur le plan économique, M. Bouteflika s'est également engagé à moderniser les secteurs de l'agriculture au même titre que celui du bâtiment, des travaux publics et de l'hydraulique. Les secteurs de la santé, de l'emploi, de la jeunesses et même celui de la poursuite de la réforme de l'Etat, ne sont pas demeurés en reste dans la feuille de route du président de la République. Celui-ci s'est également engagé à la création de trois millions d'emplois et la construction d'un million de logements en cinq ans. Toutefois, l'axe nodal de la stratégie de Bouteflika demeure, sans aucun, celui du rétablissement irrévocable de la sécurité en oeuvrant dans le sens de l'arrêt définitif du crépitement des armes dans notre pays. Une raison pour laquelle il compte poursuivre, la politique de réconciliation nationale mise en branle depuis 2005 tout en continuant à mener une lutte sans merci contre le terrorisme. M. Bouteflika avait également évoqué lors de sa campagne l'idée d'une amnistie générale qu'il place sous couvert d'une multitude de conditions, aussi difficiles les unes que les autres. Ce sont autant de promesses faites durant la campagne électorale et dont les Algériens attendent la concrétisation. Celles-ci, évidemment, en plus des décision prises par le Chef de l'Etat, juste avant la campagne électorale, portent, notamment, sur une augmentation du SNMG, l'effacement de la dette des agriculteurs et l'augmentation de la bourse des étudiants. Reconduit par plébiscite populaire à la tête de l'Etat pour un troisième mandat, M. Abdelaziz Bouteflika, fort de l'aval de ses concitoyens, retrouvera son bureau d'El Mouradia avec, sur les bras, d'innombrables défis à relever. Il s'agira avant tout, et en particulier, de concrétiser dans les délais les promesses électorales qu'il avait eu à arborer, en long et en large, tout au long de la campagne électorale et qui, maintenant, gagnent en galon pour passer au stade de véritable engagement d'un chef d'Etat.. En effet, même si son score de réussite, arrêté provisoirement à 90,24% des suffrages exprimées, lui offre définitivement les coudées franches pour mettre en œuvre sa politique, il n'en demeure pas moins que les défis économiques, sociaux et sécuritaires devant être relevés, sont importants. Sur le plan du développement, le candidat, aujourd'hui président de la République, a promis d'y consacrer une enveloppe colossale de 150 milliards de dollars pour amorcer une stratégie déjà entameée dès son investiture pour un premier mandat en 1999. Il s'est également engagé pour la création de 3 millions d'emplois, la consécration d'un budget de 1.000 milliards de DA pour assurer la sécurité alimentaire, l'alimentation d'un nouveau Fonds national d'investissement d'un capital public de 150 milliards de DA dont la capacité de financement atteindra plus de 1.000 milliards de DA durant les cinq prochaines années, avec la création d'au moins 200.000 nouvelles PME au cours de cette mandature tout en veillant à la remise à niveau des entreprises publiques. En plus de cette «révolution» sur le plan économique, M. Bouteflika s'est également engagé à moderniser les secteurs de l'agriculture au même titre que celui du bâtiment, des travaux publics et de l'hydraulique. Les secteurs de la santé, de l'emploi, de la jeunesses et même celui de la poursuite de la réforme de l'Etat, ne sont pas demeurés en reste dans la feuille de route du président de la République. Celui-ci s'est également engagé à la création de trois millions d'emplois et la construction d'un million de logements en cinq ans. Toutefois, l'axe nodal de la stratégie de Bouteflika demeure, sans aucun, celui du rétablissement irrévocable de la sécurité en oeuvrant dans le sens de l'arrêt définitif du crépitement des armes dans notre pays. Une raison pour laquelle il compte poursuivre, la politique de réconciliation nationale mise en branle depuis 2005 tout en continuant à mener une lutte sans merci contre le terrorisme. M. Bouteflika avait également évoqué lors de sa campagne l'idée d'une amnistie générale qu'il place sous couvert d'une multitude de conditions, aussi difficiles les unes que les autres. Ce sont autant de promesses faites durant la campagne électorale et dont les Algériens attendent la concrétisation. Celles-ci, évidemment, en plus des décision prises par le Chef de l'Etat, juste avant la campagne électorale, portent, notamment, sur une augmentation du SNMG, l'effacement de la dette des agriculteurs et l'augmentation de la bourse des étudiants.