Après une rencontre à Ghaza, le prochain round des négociations entre le Fatah et le mouvement Hamas aura lieu au Caire vers le 26 avril. Après une rencontre à Ghaza, le prochain round des négociations entre le Fatah et le mouvement Hamas aura lieu au Caire vers le 26 avril. Le Front populaire de libération de la Palestine (FPLP, gauche) a proposé la formation d'un gouvernement d'union palestinien, sans plateforme politique. Il faut s'avoir en effet que les deux parties (le Hamas et le Fatah), qui sont en discussion en vue de mener à bien la réconciliation inter-palestinienne, sont d'accord sur l'ensemble des points qui sont sur la table (organisation des élections législatives et présidentielles, formation d'un gouvernement d'union, gestion du programme de reconstruction de Ghaza, sécurité,) sauf sur un point fondamental, celui de l'OLP et de ses engagements internationaux. Alors que le Fatah et l'Autorité palestinienne sont pour la poursuite des négociations de paix avec Israël, notamment pour ce qui est de la mise en œuvre de la feuille de route et de l'application des résolutions prises à la conférence d'Annapolis, le Hamas lui y est formellement opposé. Le président de l'autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, a souligné dans une déclaration que le plus urgent était la levée du blocus qui frappe la bande de Ghaza et pénalise lourdement ses habitants. Si donc, la formation d'un gouvernement d'union peut parvenir à faire lever ce blocus, y compris sans engagement de la part du Hamas de reconnaître Israël, c'est une voie qu'il est possible d'emprunter. Mais bien sûr, dans cette étape, il s'agit pour le Hamas de renoncer à l'usage de sa violence en optant pour une trêve à long terme. C'est dans ce contexte de recherche d'une solution à la crise inter palestinienne que peut s'inscrire la proposition du FPLP. Proposition qui a été faite lors d'une réunion à Ghaza entre les leaders du FPLP et deux négociateurs du Fatah qui sont arrivés à Ghaza il y a deux jours pour régler les différends dans le cadre du dialogue inter-palestinien qui n'a pas réussi à former un nouveau gouvernement d'entente. Au cours de leur rencontre, les deux parties ont convenu de poursuivre le dialogue en vue de parvenir à aplanir les difficultés. Quant au porte-parole du ministère des Affaires étrangères égyptien, qui joue le rôle de médiateur entre les frères ennemis palestiniens, il a déclaré que la réunion du Caire qui aura le 26 avril aura un impact positif sur le devenir de la question palestinienne et sur la réconciliation inter-palestinienne. Tout en demeurant conscient des difficultés qu'il reste à surpasser et des points litigieux qu'il reste à régler, le porte-parole égyptien a appelé les deux parties à faire preuve de sagesse et à faire prévaloir l'intérêt suprême de la Palestine. Estimant que le dialogue palestinien se trouve dans l'impasse, le porte-parole du ministère égyptien des Affaires étrangères a affirmé que l'Egypte veille à rapprocher les positions des deux parties. L'ordre du jour tel que souhaité par le Président Mahmoud Abbas comporte donc la formation d'un gouvernement, l'OLP, l'organisation des élections, la reconstruction de Ghaza et la sécurité. Alors que le Hamas et le Fatah ont programmé un round de discussion à la mi-avril au Caire, la partie égyptienne a préféré le repousser au 26 avril pour laisser le temps aux deux parties de trouver des compromis sur les différents points soumis à discussion. Et pour plus de concertation sur les questions en suspens, notamment celle relative à la proposition égyptienne autour de la formation d'un gouvernement palestinien.D'où l'intérêt de la proposition du Front pour la libération de la Palestine, qui porte sur la possibilité de former un gouvernement d'entente de transition sans plateforme politique afin de dépasser le principal point de discorde entre les deux mouvements, a confié le leader du PFLP, Kayed el-Ghoul, aux journalistes. Le porte-parole égyptien a ajouté que son gouvernement a des missions spécifiques, notamment l'unification de l'établissement officiel, afin de préparer les élections présidentielles et législatives et de travailler ensemble sur la reconstruction de la bande de Ghaza. Le Front populaire de libération de la Palestine (FPLP, gauche) a proposé la formation d'un gouvernement d'union palestinien, sans plateforme politique. Il faut s'avoir en effet que les deux parties (le Hamas et le Fatah), qui sont en discussion en vue de mener à bien la réconciliation inter-palestinienne, sont d'accord sur l'ensemble des points qui sont sur la table (organisation des élections législatives et présidentielles, formation d'un gouvernement d'union, gestion du programme de reconstruction de Ghaza, sécurité,) sauf sur un point fondamental, celui de l'OLP et de ses engagements internationaux. Alors que le Fatah et l'Autorité palestinienne sont pour la poursuite des négociations de paix avec Israël, notamment pour ce qui est de la mise en œuvre de la feuille de route et de l'application des résolutions prises à la conférence d'Annapolis, le Hamas lui y est formellement opposé. Le président de l'autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, a souligné dans une déclaration que le plus urgent était la levée du blocus qui frappe la bande de Ghaza et pénalise lourdement ses habitants. Si donc, la formation d'un gouvernement d'union peut parvenir à faire lever ce blocus, y compris sans engagement de la part du Hamas de reconnaître Israël, c'est une voie qu'il est possible d'emprunter. Mais bien sûr, dans cette étape, il s'agit pour le Hamas de renoncer à l'usage de sa violence en optant pour une trêve à long terme. C'est dans ce contexte de recherche d'une solution à la crise inter palestinienne que peut s'inscrire la proposition du FPLP. Proposition qui a été faite lors d'une réunion à Ghaza entre les leaders du FPLP et deux négociateurs du Fatah qui sont arrivés à Ghaza il y a deux jours pour régler les différends dans le cadre du dialogue inter-palestinien qui n'a pas réussi à former un nouveau gouvernement d'entente. Au cours de leur rencontre, les deux parties ont convenu de poursuivre le dialogue en vue de parvenir à aplanir les difficultés. Quant au porte-parole du ministère des Affaires étrangères égyptien, qui joue le rôle de médiateur entre les frères ennemis palestiniens, il a déclaré que la réunion du Caire qui aura le 26 avril aura un impact positif sur le devenir de la question palestinienne et sur la réconciliation inter-palestinienne. Tout en demeurant conscient des difficultés qu'il reste à surpasser et des points litigieux qu'il reste à régler, le porte-parole égyptien a appelé les deux parties à faire preuve de sagesse et à faire prévaloir l'intérêt suprême de la Palestine. Estimant que le dialogue palestinien se trouve dans l'impasse, le porte-parole du ministère égyptien des Affaires étrangères a affirmé que l'Egypte veille à rapprocher les positions des deux parties. L'ordre du jour tel que souhaité par le Président Mahmoud Abbas comporte donc la formation d'un gouvernement, l'OLP, l'organisation des élections, la reconstruction de Ghaza et la sécurité. Alors que le Hamas et le Fatah ont programmé un round de discussion à la mi-avril au Caire, la partie égyptienne a préféré le repousser au 26 avril pour laisser le temps aux deux parties de trouver des compromis sur les différents points soumis à discussion. Et pour plus de concertation sur les questions en suspens, notamment celle relative à la proposition égyptienne autour de la formation d'un gouvernement palestinien.D'où l'intérêt de la proposition du Front pour la libération de la Palestine, qui porte sur la possibilité de former un gouvernement d'entente de transition sans plateforme politique afin de dépasser le principal point de discorde entre les deux mouvements, a confié le leader du PFLP, Kayed el-Ghoul, aux journalistes. Le porte-parole égyptien a ajouté que son gouvernement a des missions spécifiques, notamment l'unification de l'établissement officiel, afin de préparer les élections présidentielles et législatives et de travailler ensemble sur la reconstruction de la bande de Ghaza.