La compagnie pétrolière publique angolaise Sonangol envisage d'arrêter ses importations de produits pétroliers raffinés d'ici 2011 dés l'entrée en activité de sa nouvelle raffinerie, a indiqué lundi la presse locale. La réalisation de cette deuxième raffinerie du pays, bloquée pendant dix ans, a finalement commencé et "Sonangol a l'intention d'arrêter ses importations de carburant d'ici deux ans", selon la même source. Le coût de cette raffinerie est estimé à huit (8) milliards de dollars, le double de l'estimation initiale. Bien que l'Angola soit un grand producteur africain de pétrole, il importe 60% de ses besoins en produits pétroliers raffinés, sa raffinerie existante ne répond pas à toute la demande nationale. La compagnie pétrolière publique angolaise Sonangol envisage d'arrêter ses importations de produits pétroliers raffinés d'ici 2011 dés l'entrée en activité de sa nouvelle raffinerie, a indiqué lundi la presse locale. La réalisation de cette deuxième raffinerie du pays, bloquée pendant dix ans, a finalement commencé et "Sonangol a l'intention d'arrêter ses importations de carburant d'ici deux ans", selon la même source. Le coût de cette raffinerie est estimé à huit (8) milliards de dollars, le double de l'estimation initiale. Bien que l'Angola soit un grand producteur africain de pétrole, il importe 60% de ses besoins en produits pétroliers raffinés, sa raffinerie existante ne répond pas à toute la demande nationale.