Des travaux pour le réaménagement de ce qui fut le premier stade olympique d'Algérie, à savoir le stade d'El-Biar, structure sportive située près de la Cour suprême avaient été lancés il y a de cela cinq annés avant de stopper court au bout de deux ans. Ces travaux avaient pour ambition la réalisation de nouvelles tribunes et de vestiaires souterrains. Après deux ans d'efforts et de gaspillage d'argent, les travaux se sont arrêtés brusquement au grand dam des sportifs de la localité et en dépit des promesses des élus de la localité d'offrir à El-Biar un vrai complexe sportif digne de ce nom. Certaines sources crédibles nous ont révélées que les travaux avaient été confiés à un entrepreneur privé. Ce dernier après avoir fait démolir les anciens vestiaires a commencé à creuser, sur une profondeur de dix mètres, pour la réalisation de vestiaires souterrains modernes. Les études du sol n'ayant pas été effectuées avant d'entamer les travaux, les travailleurs du chantier ont eu la désagréable surprise de voir apparaître de véritables trombes d'eau, lesquelles ont vite fait de combler le trou creusé. Des opérations ont été menées par la suite afin d'éviter l'effondrement des parois : cadrage, dégagement de l'eau par des moyens rudimentaires. L'entrepreneur ayant décédé sur ces entrefaites, cela a donné lieu à l'arrêt définitif du projet. Ce qui devait être au départ des vestiaires modernes s'est transformé aujourd'hui en un bourbier représentant un véritable danger particulièrement pour les écoliers qui empruntent cet itinéraire. Pour parer au danger, les responsables y ont fait installer un simple grillage qui est loin de pouvoir écarter le risque présent. Pour tenter de faire oublier ce fiasco et amadouer les jeunes sportifs de la localité, qui fréquentent régulièrement ce stade, les responsables de l'APC ont procédé à l'instalation de gazon artificiel, l'aménagement de l'éclairage et le revêtement des pistes, un fardage loin de voiler la triste réalité. A signaler que toutes nos tentatives de joindre le P/APC dans le souci d'avoir plus de précisions à ce sujet, sont demeurées vaines. Des travaux pour le réaménagement de ce qui fut le premier stade olympique d'Algérie, à savoir le stade d'El-Biar, structure sportive située près de la Cour suprême avaient été lancés il y a de cela cinq annés avant de stopper court au bout de deux ans. Ces travaux avaient pour ambition la réalisation de nouvelles tribunes et de vestiaires souterrains. Après deux ans d'efforts et de gaspillage d'argent, les travaux se sont arrêtés brusquement au grand dam des sportifs de la localité et en dépit des promesses des élus de la localité d'offrir à El-Biar un vrai complexe sportif digne de ce nom. Certaines sources crédibles nous ont révélées que les travaux avaient été confiés à un entrepreneur privé. Ce dernier après avoir fait démolir les anciens vestiaires a commencé à creuser, sur une profondeur de dix mètres, pour la réalisation de vestiaires souterrains modernes. Les études du sol n'ayant pas été effectuées avant d'entamer les travaux, les travailleurs du chantier ont eu la désagréable surprise de voir apparaître de véritables trombes d'eau, lesquelles ont vite fait de combler le trou creusé. Des opérations ont été menées par la suite afin d'éviter l'effondrement des parois : cadrage, dégagement de l'eau par des moyens rudimentaires. L'entrepreneur ayant décédé sur ces entrefaites, cela a donné lieu à l'arrêt définitif du projet. Ce qui devait être au départ des vestiaires modernes s'est transformé aujourd'hui en un bourbier représentant un véritable danger particulièrement pour les écoliers qui empruntent cet itinéraire. Pour parer au danger, les responsables y ont fait installer un simple grillage qui est loin de pouvoir écarter le risque présent. Pour tenter de faire oublier ce fiasco et amadouer les jeunes sportifs de la localité, qui fréquentent régulièrement ce stade, les responsables de l'APC ont procédé à l'instalation de gazon artificiel, l'aménagement de l'éclairage et le revêtement des pistes, un fardage loin de voiler la triste réalité. A signaler que toutes nos tentatives de joindre le P/APC dans le souci d'avoir plus de précisions à ce sujet, sont demeurées vaines.