Le court-métrage «Dihia» du jeune réalisateur Omar Belkacemi, projeté en avant-première, avant-hier au Palais de la culture, se présente comme un hymne à la femme berbère, décrivant son quotidien difficile. Le cinéaste Belkacemi a voulu, en 24 minutes, décrire, par l'image, une tranche de vie d'une femme vivant dans un village perché sur les hauteurs orientales du Djurdjura. Le court-métrage «Dihia» du jeune réalisateur Omar Belkacemi, projeté en avant-première, avant-hier au Palais de la culture, se présente comme un hymne à la femme berbère, décrivant son quotidien difficile. Le cinéaste Belkacemi a voulu, en 24 minutes, décrire, par l'image, une tranche de vie d'une femme vivant dans un village perché sur les hauteurs orientales du Djurdjura.