Le ministre a mis en garde contre la "prétention" de certains imams "qui, croyant avoir atteint un niveau élevé de savoir, se contentent de dispenser un seul cours par semaine". Le ministre a mis en garde contre la "prétention" de certains imams "qui, croyant avoir atteint un niveau élevé de savoir, se contentent de dispenser un seul cours par semaine". On sait que dans les quartiers d'habitation, les imams ne se contentent pas de dispenser des cours ou de faire des prêches, pour la prière du vendredi notamment. Lorsqu'on les sollicite pour des missions sociales, liées à leur activité, les imams répondent toujours présents. Pour les cérémonies de mariage et de fiançailles, les familles algériennes, musulmanes dans leur majorité, tiennent à faire dire la Fatiha par un homme versé dans les sciences théologiques, et généralement c'est à l'imam de la mosquée du coin qu'elles font appel. Mais l'imam est également disponible en d'autres occasions, comme la lecture de la Fatiha lors d'enterrements, au cimetière, et à l'heure de la prière du Dohr, à la mosquée. Par ailleurs, pour toutes les questions liées à la vie quotidienne des citoyens, et qui requièrent les conseils éclairés d'un imam pour interpréter l'avis de la religion, les imams sont également là pour aider et éclairer ceux qui viennent les consulter. Héritage, vie du couple, relations au sein de la société et de la famille, les imams qui connaissent le Coran et les hadiths du prophète (QSSL) apportent leur savoir. Et bien, entendu, les imams jouent aussi un rôle dans les actions caritatives, puisque des fidèles viennent faire des dons en nature ou en espèce au profit des nécessiteux, et les imams sont là pour veiller à la bonne utilisation de tous ces dons. Le ministre des Affaires religieuses et des wakfs, M. Bouabdallah Ghlamallah, a ainsi souligné dimanche à Alger la nécessité pour les imams de s'acquitter pleinement de leurs missions dans les mosquées en étant "présents et actifs". Cité par l'APS, le ministre a déclaré que "Le travail de l'imam ne se limite plus aux prêches du vendredi, car nous avons aujourd'hui un imam professeur et un imam enseignant qui, au quotidien, s'acquittent de leurs missions dans la mosquée", a-t-il affirmé à l'ouverture des journées d'étude au profit des imams professeurs et des mourchidates religieuses, lauréats du concours de recrutement (session 2009). Le ministre a mis en garde contre la "prétention" de certains imams "qui, croyant avoir atteint un niveau élevé de savoir, se contentent de dispenser un seul cours par semaine". Cette attitude, a-t-il estimé, "procède de leur incompréhension de la portée de leur mission". Concernant l'absentéisme des imams, M. Ghlamallah a affirmé que "ce phénomène a beaucoup reculé". Lors d'un point de presse à l'issue de la séance d'ouverture de la session de formation et en réponse à une question sur l'occupation par des parties tierces de logements destinés aux imams, le ministre a affirmé que le secteur ne souffrait pas d'un tel phénomène à l'exception, a-t-il dit, de quelques cas isolés. Par ailleurs, M. Ghlamallah a précisé que 122 imams et mourchidates bénéficient, trois jours durant, de cette session de formation, ajoutant que plus de 300 cadres sont sortis cette année des différents instituts. Interrogé sur une demande que l'ambassade de Palestine aurait adressée au ministère des Affaires religieuses pour que les mosquées du pays programment des prêches qui mettent en garde contre les dangers de judaïsation d'El-Qods, le ministre a tenu à rappeler que les mosquées en Algérie "n'ont jamais cessé de défendre la cause palestinienne". Abordant la relation entre la mosquée et les questions sociétales, le ministre a précisé que le prêche de vendredi prochain, qui coïncide avec le 1er mai, "mettra en exergue l'importance de l'effort et du gain licite et mettra en garde contre la corruption sous toutes ses formes". En réponse à une question sur les activités d'évangélisation, M. Ghlamallah a souligné que certaines personnes "obtiennent des visas touristiques qu'ils utilisent, entre autres, à des fins d'évangélisation", qualifiant ce comportement de "fraude". On sait que dans les quartiers d'habitation, les imams ne se contentent pas de dispenser des cours ou de faire des prêches, pour la prière du vendredi notamment. Lorsqu'on les sollicite pour des missions sociales, liées à leur activité, les imams répondent toujours présents. Pour les cérémonies de mariage et de fiançailles, les familles algériennes, musulmanes dans leur majorité, tiennent à faire dire la Fatiha par un homme versé dans les sciences théologiques, et généralement c'est à l'imam de la mosquée du coin qu'elles font appel. Mais l'imam est également disponible en d'autres occasions, comme la lecture de la Fatiha lors d'enterrements, au cimetière, et à l'heure de la prière du Dohr, à la mosquée. Par ailleurs, pour toutes les questions liées à la vie quotidienne des citoyens, et qui requièrent les conseils éclairés d'un imam pour interpréter l'avis de la religion, les imams sont également là pour aider et éclairer ceux qui viennent les consulter. Héritage, vie du couple, relations au sein de la société et de la famille, les imams qui connaissent le Coran et les hadiths du prophète (QSSL) apportent leur savoir. Et bien, entendu, les imams jouent aussi un rôle dans les actions caritatives, puisque des fidèles viennent faire des dons en nature ou en espèce au profit des nécessiteux, et les imams sont là pour veiller à la bonne utilisation de tous ces dons. Le ministre des Affaires religieuses et des wakfs, M. Bouabdallah Ghlamallah, a ainsi souligné dimanche à Alger la nécessité pour les imams de s'acquitter pleinement de leurs missions dans les mosquées en étant "présents et actifs". Cité par l'APS, le ministre a déclaré que "Le travail de l'imam ne se limite plus aux prêches du vendredi, car nous avons aujourd'hui un imam professeur et un imam enseignant qui, au quotidien, s'acquittent de leurs missions dans la mosquée", a-t-il affirmé à l'ouverture des journées d'étude au profit des imams professeurs et des mourchidates religieuses, lauréats du concours de recrutement (session 2009). Le ministre a mis en garde contre la "prétention" de certains imams "qui, croyant avoir atteint un niveau élevé de savoir, se contentent de dispenser un seul cours par semaine". Cette attitude, a-t-il estimé, "procède de leur incompréhension de la portée de leur mission". Concernant l'absentéisme des imams, M. Ghlamallah a affirmé que "ce phénomène a beaucoup reculé". Lors d'un point de presse à l'issue de la séance d'ouverture de la session de formation et en réponse à une question sur l'occupation par des parties tierces de logements destinés aux imams, le ministre a affirmé que le secteur ne souffrait pas d'un tel phénomène à l'exception, a-t-il dit, de quelques cas isolés. Par ailleurs, M. Ghlamallah a précisé que 122 imams et mourchidates bénéficient, trois jours durant, de cette session de formation, ajoutant que plus de 300 cadres sont sortis cette année des différents instituts. Interrogé sur une demande que l'ambassade de Palestine aurait adressée au ministère des Affaires religieuses pour que les mosquées du pays programment des prêches qui mettent en garde contre les dangers de judaïsation d'El-Qods, le ministre a tenu à rappeler que les mosquées en Algérie "n'ont jamais cessé de défendre la cause palestinienne". Abordant la relation entre la mosquée et les questions sociétales, le ministre a précisé que le prêche de vendredi prochain, qui coïncide avec le 1er mai, "mettra en exergue l'importance de l'effort et du gain licite et mettra en garde contre la corruption sous toutes ses formes". En réponse à une question sur les activités d'évangélisation, M. Ghlamallah a souligné que certaines personnes "obtiennent des visas touristiques qu'ils utilisent, entre autres, à des fins d'évangélisation", qualifiant ce comportement de "fraude".