Le département de Yazid Zerhouni devra prochainement placer des agents de police à l'extérieur des établissements scolaires pour pallier toute forme de violence. Le département de Yazid Zerhouni devra prochainement placer des agents de police à l'extérieur des établissements scolaires pour pallier toute forme de violence. Le ministre de l‘Education nationale a annoncé, jeudi, la prochaine création d‘un nouveau corps qui sera, exclusivement, en charge d‘assurer la sécurité à l‘intérieur des établissements scolaires. Dans une déclaration à la presse en marge de la cérémonie de clôture des portes ouverte sur l‘orientation scolaire et professionnelle, Boubeker Benbouzid a fait part d‘une artillerie de mesures visant à mettre un terme au phénomène de la violence dans les écoles. Un phénomène qui, faut-il le dire, a pris des proportions alarmantes ces dernières années dans la société, faisant des dizaines de blessés. Ce nouveau corps sera ainsi, précise-t-il, «composé d‘auxiliaires qui sont des enseignants payés sur le filet social par les ministères de la Solidarité nationale et du Travail». Un nouveau personnel qui aidera à faire régner davantage de «sérénité et de sécurité dans les écoles». L‘autre annonce faite par le ministre dans le même sillage porte sur la sécurisation des établissements scolaires en faisant appel au ministère de l‘Intérieur et des Collectivités locales, qui mettra en place des agents de police à l‘extérieur des écoles. D‘ailleurs, poursuit le ministre, une convention portant sur ces différents dispositifs énoncés sera bientôt signée entre les département ministériels concernés. Tout en tenant à relever que «cette violence est loin d‘être propre à l‘Algérie», M. Benbouzid ne manque pas de relever que «ces mesures sont prises par précaution afin d‘éviter d‘en arriver à des étapes dangereuses». Parlant de l‘organisation des examens scolaires de fin d‘année, le membre du gouvernement affirme que «tous les moyens humains et matériels seront mobilisés pour que cette organisation soit parfaite». Ces examens sont, faut-il le rappeler, ceux du baccalauréat, du Brevet d‘enseignement moyen (BEM) et de fin du cycle primaire. «Tout est fin prêt pour assurer les meilleures conditions à la tenue de ces épreuves», affirme-t-il. Dans cette perspective, quelque 500.000 enseignants, correcteurs et surveillants seront mobilisés pour veiller au bon déroulement des examens du bac et du BEM. Aussi, un budget de plus de 4,5 milliards DA sera consacré à ces examens qui se tiendront, précise le ministre, aux dates prévues. Sur un ton des plus rassurants, M. Benbouzid a tenu à assurer que «les programmes scolaires seront achevés avant le 20 mai prochain. Date à laquelle sera tenue une rencontre nationale visant à «fournir une feuille de route à la direction de l‘Office national des examens et des concours». Laquelle feuille de route servira de «base» pour l‘élaboration des sujets d‘examens de fin d‘année et qui ne prendra en compte que les cours dispensés durant l‘année scolaire. «Il est hors de question d‘élaborer des sujets sur la base de cours qui n‘ont pas été prodigués», affirme le ministre qui juge «inconcevable» une telle éventualité. M. Benbouzid devra effectuer aujourd‘hui une tournée à travers plusieurs établissements scolaires pour, dit-il, «s‘enquérir des conditions de déroulement des épreuves du bac et du BEM sportifs». «La formation professionnelle n'est pas synonyme de déperdition !» L'orientation vers la formation professionnelle ne doit en aucun cas être considérée comme une «déperdition scolaire», a affirmé, hier, le ministre de l'Education nationale lors de son discours de clôture de l'opération «Portes ouvertes sur l'orientation». C'est justement grâce à cette nouvelle consigne visant à orienter les élèves en échec scolaire ou encore qui ont des difficultés à suivre le cursus, que ce phénomène de déperdition a sensiblement baissé. Aujourd'hui, affirme le ministre, « la déperdition est de moins en moins importante dans la mesure où elle ne dépasse pas les 200.000 élèves sur l'ensemble des 8 millions d'élèves». Le ministre de l‘Education nationale a annoncé, jeudi, la prochaine création d‘un nouveau corps qui sera, exclusivement, en charge d‘assurer la sécurité à l‘intérieur des établissements scolaires. Dans une déclaration à la presse en marge de la cérémonie de clôture des portes ouverte sur l‘orientation scolaire et professionnelle, Boubeker Benbouzid a fait part d‘une artillerie de mesures visant à mettre un terme au phénomène de la violence dans les écoles. Un phénomène qui, faut-il le dire, a pris des proportions alarmantes ces dernières années dans la société, faisant des dizaines de blessés. Ce nouveau corps sera ainsi, précise-t-il, «composé d‘auxiliaires qui sont des enseignants payés sur le filet social par les ministères de la Solidarité nationale et du Travail». Un nouveau personnel qui aidera à faire régner davantage de «sérénité et de sécurité dans les écoles». L‘autre annonce faite par le ministre dans le même sillage porte sur la sécurisation des établissements scolaires en faisant appel au ministère de l‘Intérieur et des Collectivités locales, qui mettra en place des agents de police à l‘extérieur des écoles. D‘ailleurs, poursuit le ministre, une convention portant sur ces différents dispositifs énoncés sera bientôt signée entre les département ministériels concernés. Tout en tenant à relever que «cette violence est loin d‘être propre à l‘Algérie», M. Benbouzid ne manque pas de relever que «ces mesures sont prises par précaution afin d‘éviter d‘en arriver à des étapes dangereuses». Parlant de l‘organisation des examens scolaires de fin d‘année, le membre du gouvernement affirme que «tous les moyens humains et matériels seront mobilisés pour que cette organisation soit parfaite». Ces examens sont, faut-il le rappeler, ceux du baccalauréat, du Brevet d‘enseignement moyen (BEM) et de fin du cycle primaire. «Tout est fin prêt pour assurer les meilleures conditions à la tenue de ces épreuves», affirme-t-il. Dans cette perspective, quelque 500.000 enseignants, correcteurs et surveillants seront mobilisés pour veiller au bon déroulement des examens du bac et du BEM. Aussi, un budget de plus de 4,5 milliards DA sera consacré à ces examens qui se tiendront, précise le ministre, aux dates prévues. Sur un ton des plus rassurants, M. Benbouzid a tenu à assurer que «les programmes scolaires seront achevés avant le 20 mai prochain. Date à laquelle sera tenue une rencontre nationale visant à «fournir une feuille de route à la direction de l‘Office national des examens et des concours». Laquelle feuille de route servira de «base» pour l‘élaboration des sujets d‘examens de fin d‘année et qui ne prendra en compte que les cours dispensés durant l‘année scolaire. «Il est hors de question d‘élaborer des sujets sur la base de cours qui n‘ont pas été prodigués», affirme le ministre qui juge «inconcevable» une telle éventualité. M. Benbouzid devra effectuer aujourd‘hui une tournée à travers plusieurs établissements scolaires pour, dit-il, «s‘enquérir des conditions de déroulement des épreuves du bac et du BEM sportifs». «La formation professionnelle n'est pas synonyme de déperdition !» L'orientation vers la formation professionnelle ne doit en aucun cas être considérée comme une «déperdition scolaire», a affirmé, hier, le ministre de l'Education nationale lors de son discours de clôture de l'opération «Portes ouvertes sur l'orientation». C'est justement grâce à cette nouvelle consigne visant à orienter les élèves en échec scolaire ou encore qui ont des difficultés à suivre le cursus, que ce phénomène de déperdition a sensiblement baissé. Aujourd'hui, affirme le ministre, « la déperdition est de moins en moins importante dans la mesure où elle ne dépasse pas les 200.000 élèves sur l'ensemble des 8 millions d'élèves».