Le mouvement associatif de la wilaya de Constantine vit un grand malaise depuis la naissance du conflit entre le wali et le coordinateur «déchu»de ladite composante. A Constantine, on compte pas moins de 2.600 associations. Actuellement, elles sont toutes mises sous haute surveillance ! Les conséquences de cette « guéguerre» qui perdure et qui n'est pas prête à connaître un quelconque dénouement, ont été fatales pour des centaines d'associations activant dans différents domaines à Constantine. De source sûre, on apprend que plusieurs directions ont cessé de signer des conventions de coordination avec les associations agréées. Selon notre source, le directeur de l'action sociale de la wilaya de Constantine figure parmi ceux qui n'ont pas hésité à «fermer» la porte à toute contribution émanant des associations caritatives ou autres nationales. Ce commis de l'Etat a formulé des appréhensions et il a appelé les associations à œuvrer en aparté sans se «référer» à sa tutelle. La décision de ce responsable est irréversible, précise-t-on. Selon notre source, le directeur de l'action sociale veut rompre carrément avec les associations qui ont l'habitude de partager les tâches avec les services de sa direction. Ce responsable avait expliqué que sa tutelle détient des budgets conséquents et qui répondent largement aux besoins des franges qu'il gère. Ce responsable estime, à juste titre d'ailleurs, que la charité est un acte humanitaire; pourquoi donc l'amalgamer avec les procédures administratives ? Il faut dire que depuis le déclanchement de la guerre entre le premier responsable de la wilaya et le représentant de ces associations, plusieurs failles et pléthores sont remontées à la surface. Les dessous de la gestion associative sont au menu d'une enquête très minutieuse qui vient d'être déclanchée par les services compétents. Le problème est fondamental. Il s'agit là de la crédibilité des associations assiégées par toutes sortes de scandales financiers que les leaders «bienfaiteurs» ne seront pas en mesure de « récupérer ». En attendant que des vérités ne soient livrées face à ces nombreux soupçons, le bras de fer des autorités locales persiste. Contactés par nos soins, le wali de Constantine nous a affirmé que «la récréation a bel et bien pris fin et que la prison sera la demeure de ces agitateurs de tout acabit». Le mouvement associatif de la wilaya de Constantine vit un grand malaise depuis la naissance du conflit entre le wali et le coordinateur «déchu»de ladite composante. A Constantine, on compte pas moins de 2.600 associations. Actuellement, elles sont toutes mises sous haute surveillance ! Les conséquences de cette « guéguerre» qui perdure et qui n'est pas prête à connaître un quelconque dénouement, ont été fatales pour des centaines d'associations activant dans différents domaines à Constantine. De source sûre, on apprend que plusieurs directions ont cessé de signer des conventions de coordination avec les associations agréées. Selon notre source, le directeur de l'action sociale de la wilaya de Constantine figure parmi ceux qui n'ont pas hésité à «fermer» la porte à toute contribution émanant des associations caritatives ou autres nationales. Ce commis de l'Etat a formulé des appréhensions et il a appelé les associations à œuvrer en aparté sans se «référer» à sa tutelle. La décision de ce responsable est irréversible, précise-t-on. Selon notre source, le directeur de l'action sociale veut rompre carrément avec les associations qui ont l'habitude de partager les tâches avec les services de sa direction. Ce responsable avait expliqué que sa tutelle détient des budgets conséquents et qui répondent largement aux besoins des franges qu'il gère. Ce responsable estime, à juste titre d'ailleurs, que la charité est un acte humanitaire; pourquoi donc l'amalgamer avec les procédures administratives ? Il faut dire que depuis le déclanchement de la guerre entre le premier responsable de la wilaya et le représentant de ces associations, plusieurs failles et pléthores sont remontées à la surface. Les dessous de la gestion associative sont au menu d'une enquête très minutieuse qui vient d'être déclanchée par les services compétents. Le problème est fondamental. Il s'agit là de la crédibilité des associations assiégées par toutes sortes de scandales financiers que les leaders «bienfaiteurs» ne seront pas en mesure de « récupérer ». En attendant que des vérités ne soient livrées face à ces nombreux soupçons, le bras de fer des autorités locales persiste. Contactés par nos soins, le wali de Constantine nous a affirmé que «la récréation a bel et bien pris fin et que la prison sera la demeure de ces agitateurs de tout acabit».