C'est un non lieu qui a soldé les débats du tribunal d'Alger qui, hier, à eu à traiter une affaire de terrorisme dans laquelle est poursuivi, pour plusieurs chefs d'inculpation, un prévenu extradé d'Italie en 2008. Jugé pour plusieurs chefs d'inculpation, dont atteinte à la sécurité et la sûreté de l'Etat, association de malfaiteurs, association de groupes terroristes, après être extradé d'Italie en 2008, B. El-Hadi a été relaxé par le tribunal pénal. A rappeler que ce dernier, originaire de Bab el Oued, a été condamné auparavant par défaut par la cour d'Alger à la peine capitale, après une attaque perpétrée contre le commandement des Forces navales en 1993, et ce, en vue de dérober des armes lourde dans le but d'une tentative de renversement du système. Ancien membre très actif du parti intégriste dissous, le Front islamique du salut (FIS), après s'être établi en Italie, B. El-Hadi est devenu le représentant du (FIS) dans ce pays, où il a ouvert un bureau chargé essentiellement de faire la propagande du partie en vue de recruter du personnel et collecter des fonds, ce qui a conduit les autorités italiennes à le condamner en 1995, puis le relâcher en 1996. En 2005, la justice Italienne le condamne à 8 mois de prison ferme. Après avoir transité par plusieurs prisons, ce dernier a été extradé vers l'Algérie le 25 septembre 2008. Par ailleurs, la Cour d'Alger a eu à examiner une autre affaire dans laquelle est impliqué, selon le témoignage accablant d'un policier repenti, un officier de nationalité marocaine appartenait à un groupe terroriste, et ce, durant les années 90. Il tenait des réunions régulières afin d'élaborer des plans d'action et établir des stratégies d'acheminement de toutes sortes de provisions (habits, denrées alimentaires) en plus de l'argent, faits pour lesquels l'officier marocain a été condamné en 1999 à la peine de mort par contumace. C'est un non lieu qui a soldé les débats du tribunal d'Alger qui, hier, à eu à traiter une affaire de terrorisme dans laquelle est poursuivi, pour plusieurs chefs d'inculpation, un prévenu extradé d'Italie en 2008. Jugé pour plusieurs chefs d'inculpation, dont atteinte à la sécurité et la sûreté de l'Etat, association de malfaiteurs, association de groupes terroristes, après être extradé d'Italie en 2008, B. El-Hadi a été relaxé par le tribunal pénal. A rappeler que ce dernier, originaire de Bab el Oued, a été condamné auparavant par défaut par la cour d'Alger à la peine capitale, après une attaque perpétrée contre le commandement des Forces navales en 1993, et ce, en vue de dérober des armes lourde dans le but d'une tentative de renversement du système. Ancien membre très actif du parti intégriste dissous, le Front islamique du salut (FIS), après s'être établi en Italie, B. El-Hadi est devenu le représentant du (FIS) dans ce pays, où il a ouvert un bureau chargé essentiellement de faire la propagande du partie en vue de recruter du personnel et collecter des fonds, ce qui a conduit les autorités italiennes à le condamner en 1995, puis le relâcher en 1996. En 2005, la justice Italienne le condamne à 8 mois de prison ferme. Après avoir transité par plusieurs prisons, ce dernier a été extradé vers l'Algérie le 25 septembre 2008. Par ailleurs, la Cour d'Alger a eu à examiner une autre affaire dans laquelle est impliqué, selon le témoignage accablant d'un policier repenti, un officier de nationalité marocaine appartenait à un groupe terroriste, et ce, durant les années 90. Il tenait des réunions régulières afin d'élaborer des plans d'action et établir des stratégies d'acheminement de toutes sortes de provisions (habits, denrées alimentaires) en plus de l'argent, faits pour lesquels l'officier marocain a été condamné en 1999 à la peine de mort par contumace.