La commune de Gué de Constantine était, autrefois, composée d'étendues de champs, et renfermait de riches fermes agricoles. Aujourd'hui les constructions anarchiques et illicites y sont légion, ceci sans parler des ordures ménagères qui submergent l'ensemble des zones d'habitation. Les résidants de la commune de Gué de Constantine souffrent de multiples maux entre autres, l'absence criante d'espaces verts. En effet ni jardin ni parc de jeux pour enfants ne figurent dans les infrastructures de cette commune. Interrogés sur la question, une maman de trois bambins nous confie, «moi, j'ai recours chez moi à un paysage en trompe-l'œil et à des pots de fleurs et plantes vertes pour tenter d'échapper au hideux environnement dans lequel nous évoluons». Concernant les sorties aérées pour ses trois enfants elle nous dira, «j'essaye d'organiser une sortie avec eux, au moins une fois par mois, parfois au parc d'attraction ou encore au zoo, je ne peux hélas faire mieux», terminera-t-elle, sur un ton de regret. Il est vrai que vu l'érosion du pouvoir d'achat des ménages algériens, la moindre sortie avec trois enfants peut gré»ver dangereusement le maigre budjet familial. Un jeune lycéen abordé nous dira, quant à lui, se sentir opressé et qu'il étouffe dans ce triste environnement, «nous manquons de lieux de détente ou de loisirs. Mis à part le lycée, on n'a pas où nous retrouver avec les copains», se lamente le jeune lycéen. Par ailleurs, il est à noter que les seuls «coins» verts existants dans la commune de Gué De Constantine, autrefois verdoyante sont les espaces squattés devant les immeubles et que les habitants des lieux tentent de transformer en de «semblants» de pitoyables jardinets. Le problème, selon toujours les citoyens de cette commune, résiderait surtout dans le fait que l' Assemblée populaire communale, ne se montre nullement disposée à investir dans les espaces verts. Elle n'acorde pas, selon toujours les résidants de cette commune, l'importance qu'elle devrait au respect des normes de l'aménagement du territoire qui stipule l'obligation de la réalisation d'espaces verts dans toute zone d'habitation, et ce aussi bien pour les lotissements privés que publics. Pour rappel les pouvoirs publics concernés ont été, vainement, interpellés pour mettre fin, à cette situation qui porte atteinte à la santé des résidants. N'est-ce pourtant pas un droit pour chaque citoyen de vivre dans un environnement sain et de pouvoir jouir des bienfaits de la nature ? La commune de Gué de Constantine était, autrefois, composée d'étendues de champs, et renfermait de riches fermes agricoles. Aujourd'hui les constructions anarchiques et illicites y sont légion, ceci sans parler des ordures ménagères qui submergent l'ensemble des zones d'habitation. Les résidants de la commune de Gué de Constantine souffrent de multiples maux entre autres, l'absence criante d'espaces verts. En effet ni jardin ni parc de jeux pour enfants ne figurent dans les infrastructures de cette commune. Interrogés sur la question, une maman de trois bambins nous confie, «moi, j'ai recours chez moi à un paysage en trompe-l'œil et à des pots de fleurs et plantes vertes pour tenter d'échapper au hideux environnement dans lequel nous évoluons». Concernant les sorties aérées pour ses trois enfants elle nous dira, «j'essaye d'organiser une sortie avec eux, au moins une fois par mois, parfois au parc d'attraction ou encore au zoo, je ne peux hélas faire mieux», terminera-t-elle, sur un ton de regret. Il est vrai que vu l'érosion du pouvoir d'achat des ménages algériens, la moindre sortie avec trois enfants peut gré»ver dangereusement le maigre budjet familial. Un jeune lycéen abordé nous dira, quant à lui, se sentir opressé et qu'il étouffe dans ce triste environnement, «nous manquons de lieux de détente ou de loisirs. Mis à part le lycée, on n'a pas où nous retrouver avec les copains», se lamente le jeune lycéen. Par ailleurs, il est à noter que les seuls «coins» verts existants dans la commune de Gué De Constantine, autrefois verdoyante sont les espaces squattés devant les immeubles et que les habitants des lieux tentent de transformer en de «semblants» de pitoyables jardinets. Le problème, selon toujours les citoyens de cette commune, résiderait surtout dans le fait que l' Assemblée populaire communale, ne se montre nullement disposée à investir dans les espaces verts. Elle n'acorde pas, selon toujours les résidants de cette commune, l'importance qu'elle devrait au respect des normes de l'aménagement du territoire qui stipule l'obligation de la réalisation d'espaces verts dans toute zone d'habitation, et ce aussi bien pour les lotissements privés que publics. Pour rappel les pouvoirs publics concernés ont été, vainement, interpellés pour mettre fin, à cette situation qui porte atteinte à la santé des résidants. N'est-ce pourtant pas un droit pour chaque citoyen de vivre dans un environnement sain et de pouvoir jouir des bienfaits de la nature ?