Le Théâtre régional de Batna (TRB) s'emploie au montage d'une pièce en Tamazight intitulée Thalghem Ebouhali (Le chameau fou) qui sera sa toute première pièce d'expression amazighe depuis son ouverture en 1985. Ecrite par Salim Saïfi et mise en scène par Salah Boubir, la pièce qui sera présentée au public en juin prochain, selon l'administration du TRB, articule sa trame autour de l'histoire d'un jeune qui s'égare dans le Sahara pour n'être retrouvé qu'au bout de très longues recherches par ses parents qui constatent, chez lui, des changements de comportement après son sauvetage et son accueil par un vieillard. La problématique de la quête constante de références et la soif de ressourcement dans le patrimoine culturel sous-tendent toute la pièce dont les comédiens évoluent dans une ambiance musicale traditionnelle et au milieu d'un décor fait d'objets d'autrefois, comme la selle, le bendir, la gandoura ou encore le turban. Le directeur du TRB motive l'engagement de cette première expérience par "l'existence d'un large public pour ces œuvres théâtrales, aussi bien à l'échelle locale que nationale", ainsi que par "le nombre de plus en plus grand de jeunes artistes s'intéressant au théâtre mazigh". Il a également annoncé que d'autres pièces de même expression "suivront" et souligné que les comédiens du TRB sont "motivés" et "disposés à faire étalage de toute leur créativité dans chaque nouvelle œuvre». Le Théâtre régional de Batna (TRB) s'emploie au montage d'une pièce en Tamazight intitulée Thalghem Ebouhali (Le chameau fou) qui sera sa toute première pièce d'expression amazighe depuis son ouverture en 1985. Ecrite par Salim Saïfi et mise en scène par Salah Boubir, la pièce qui sera présentée au public en juin prochain, selon l'administration du TRB, articule sa trame autour de l'histoire d'un jeune qui s'égare dans le Sahara pour n'être retrouvé qu'au bout de très longues recherches par ses parents qui constatent, chez lui, des changements de comportement après son sauvetage et son accueil par un vieillard. La problématique de la quête constante de références et la soif de ressourcement dans le patrimoine culturel sous-tendent toute la pièce dont les comédiens évoluent dans une ambiance musicale traditionnelle et au milieu d'un décor fait d'objets d'autrefois, comme la selle, le bendir, la gandoura ou encore le turban. Le directeur du TRB motive l'engagement de cette première expérience par "l'existence d'un large public pour ces œuvres théâtrales, aussi bien à l'échelle locale que nationale", ainsi que par "le nombre de plus en plus grand de jeunes artistes s'intéressant au théâtre mazigh". Il a également annoncé que d'autres pièces de même expression "suivront" et souligné que les comédiens du TRB sont "motivés" et "disposés à faire étalage de toute leur créativité dans chaque nouvelle œuvre».