La commune de Mohammadia procède ces jours-ci au décapage de ses rues, ceci sans qu'aucune indication n'ait été apportée en direction des automobilistes appelés à emprunter ces rues. Ce jeudi les conducteurs ont eu la désagréable surprise de trouver un tapis complètement crevassé et donnant l'impression d'être sur des montagnes russes. L'état de ces rues, pardon ces pistes, n'est pas sans danger pour les pneus, cela en plus des véritables cratères tous les cinquante mètres et qu'il est pratiquement impossible d'éviter tant la circulation est dense. Les chutes de pluie assez importantes qu'a connues cette journée de jeudi ont contribué à aggraver le calvaire des automobilistes, lesquels se sont retrouvés sur une route, celle menant aux Dunes, totalement inondée et quasi impraticable, les avaloirs étant bouchés- comme toujours- et les crevasses citées plus haut transformées en mares. Pour sortir de ce bourbier, les conducteurs, qui se sont retrouvé piégés sur ces lieux, ont été contraints de se rabattre sur l'autoroute ou encore de transiter par El Harrach pour tenter de rejoindre leur destination mais c'était sans compter avec une circulation particulièrement engorgée les jeudis, de ce fait les conducteurs qui ont fui les rues défoncées se sont tous retrouvés au milieu de bouchons inextricables. Conduire dans Alger n'est pas une sinécure, cela ressemble à une aventure chaque jour renouvellée, car non seulement il faut s'armer de patience mais en plus avoir la maîtrise du parcours d'obstacles pour pouvoir affronter bosses, crevasses, bourbiers et même piétons slalomant entre les roues. La commune de Mohammadia procède ces jours-ci au décapage de ses rues, ceci sans qu'aucune indication n'ait été apportée en direction des automobilistes appelés à emprunter ces rues. Ce jeudi les conducteurs ont eu la désagréable surprise de trouver un tapis complètement crevassé et donnant l'impression d'être sur des montagnes russes. L'état de ces rues, pardon ces pistes, n'est pas sans danger pour les pneus, cela en plus des véritables cratères tous les cinquante mètres et qu'il est pratiquement impossible d'éviter tant la circulation est dense. Les chutes de pluie assez importantes qu'a connues cette journée de jeudi ont contribué à aggraver le calvaire des automobilistes, lesquels se sont retrouvés sur une route, celle menant aux Dunes, totalement inondée et quasi impraticable, les avaloirs étant bouchés- comme toujours- et les crevasses citées plus haut transformées en mares. Pour sortir de ce bourbier, les conducteurs, qui se sont retrouvé piégés sur ces lieux, ont été contraints de se rabattre sur l'autoroute ou encore de transiter par El Harrach pour tenter de rejoindre leur destination mais c'était sans compter avec une circulation particulièrement engorgée les jeudis, de ce fait les conducteurs qui ont fui les rues défoncées se sont tous retrouvés au milieu de bouchons inextricables. Conduire dans Alger n'est pas une sinécure, cela ressemble à une aventure chaque jour renouvellée, car non seulement il faut s'armer de patience mais en plus avoir la maîtrise du parcours d'obstacles pour pouvoir affronter bosses, crevasses, bourbiers et même piétons slalomant entre les roues.