Les Palestiniens sont toujours dans l'attente de la formation d'un nouveau gouvernement, retardée de quelques jours en raison de la visite du président de l'Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, en Syrie et celle du pape en Cisjordanie occupée. Les Palestiniens sont toujours dans l'attente de la formation d'un nouveau gouvernement, retardée de quelques jours en raison de la visite du président de l'Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, en Syrie et celle du pape en Cisjordanie occupée. L'annonce de la composante du nouveau gouvernement palestinien était attendue au plus tard pour mercredi, mais un membre de l'Organisation de la Libération de la Palestine (OLP), Salah Rafet, a expliqué que ce retard est dû à la visite du président Abbas en Syrie. M. Rafet a fait savoir que le nouveau gouvernement palestinien serait annoncé dimanche, au plus tard lundi, précisant que la formation du nouveau cabinet sera faite après de longues tractations entre M. Abbas, son Premier ministre Salam Fayyad et les factions de l'OLP. Le président palestinien avait affirmé lundi que le nouveau gouvernement démissionnerait en cas d'accord sur un cabinet de consensus entre le Fatah et le Hamas, qui contrôle la bande de Ghaza. "Si le dialogue (interpalestinien) aboutit, le gouvernement laissera la place à un cabinet de consensus", a-t-il assuré. M. Fayyad, qui devait quitter ses fonctions fin mars, avait annoncé le 1er avril qu'il resterait en poste en attendant l'issue du dialogue de réconciliation interpalestinien au Caire entre le Fatah et le Hamas. Les discussions entre les deux partis doivent reprendre ce samedi au Caire. Mercredi, le chef du groupe parlementaire du Fatah, Azzam Al-Ahmed, a appelé M. Abbas à reporter la formation du cabinet jusqu'à la fin du prochain round de dialogue avec le Hamas. Mais Salah Rafet a expliqué que l'annonce du nouveau gouvernement ne pouvait pas attendre la fin dudit dialogue qui pourrait durer plusieurs mois, car le futur cabinet aura à satisfaire les besoins de la population, sans oublier une éventuelle reprise des pourparlers de paix avec Israël et les rapports avec le monde. La visite de M. Abbas en Syrie a été une occasion pour le président palestinien de discuter du dialogue national en vue de la mise en place d'un gouvernement d'union, le responsable du bureau politique du Hamas, Khaled Mechaal, étant établi à Damas. Le Hamas est en désaccord avec le Fatah, depuis que le premier a pris le contrôle de la bande de Ghaza après la mise en déroute des forces de sécurité relevant de la présidence, en juin 2007. Des responsables des deux mouvements ont tenu plusieurs sessions de dialogue au Caire, sous les auspices de l'Egypte, en vue d'une réconciliation. Le 5ème round du dialogue interpalestinien devra se pencher sur des questions décisives "en prélude à la tenue d'un dialogue global et à la signature du document de la réconciliation et de la concorde nationales" en présence de toutes les factions palestiniennes. Le mouvement Hamas préconise la composition d'un gouvernement palestinien sans définir de programme politique alors que Fatah plaide pour un gouvernement plébiscité par la communauté internationale à même de traiter avec le Quartette. Le président de l'Autorité palestinienne a appelé maintes fois les mouvements Hamas et Fatah à surmonter leurs différends en vue de former un gouvernement d'union nationale dans le cadre du dialogue interpalestinien. Le Hamas a qualifié le 4ème round de "positif" et qui a enregistré "une avancée remarquable" à l'égard de certaines questions conflictuelles, dont l'OLP, les élections et la sécurité. Les factions palestiniennes avaient notamment convenu lors des précédents rounds de dialogue au Caire du développement et de la dynamisation de l'OLP en tant que représentant légitime et unique du peuple palestinien et de la nécessité de fixer la date des élections législatives et présidentielle et du Conseil national le 25 janvier 2010 au plus tard. Il a également été convenu de former un gouvernement d'entente nationale transitoire et provisoire et de mettre en place une charte d'honneur pour la réconciliation. L'annonce de la composante du nouveau gouvernement palestinien était attendue au plus tard pour mercredi, mais un membre de l'Organisation de la Libération de la Palestine (OLP), Salah Rafet, a expliqué que ce retard est dû à la visite du président Abbas en Syrie. M. Rafet a fait savoir que le nouveau gouvernement palestinien serait annoncé dimanche, au plus tard lundi, précisant que la formation du nouveau cabinet sera faite après de longues tractations entre M. Abbas, son Premier ministre Salam Fayyad et les factions de l'OLP. Le président palestinien avait affirmé lundi que le nouveau gouvernement démissionnerait en cas d'accord sur un cabinet de consensus entre le Fatah et le Hamas, qui contrôle la bande de Ghaza. "Si le dialogue (interpalestinien) aboutit, le gouvernement laissera la place à un cabinet de consensus", a-t-il assuré. M. Fayyad, qui devait quitter ses fonctions fin mars, avait annoncé le 1er avril qu'il resterait en poste en attendant l'issue du dialogue de réconciliation interpalestinien au Caire entre le Fatah et le Hamas. Les discussions entre les deux partis doivent reprendre ce samedi au Caire. Mercredi, le chef du groupe parlementaire du Fatah, Azzam Al-Ahmed, a appelé M. Abbas à reporter la formation du cabinet jusqu'à la fin du prochain round de dialogue avec le Hamas. Mais Salah Rafet a expliqué que l'annonce du nouveau gouvernement ne pouvait pas attendre la fin dudit dialogue qui pourrait durer plusieurs mois, car le futur cabinet aura à satisfaire les besoins de la population, sans oublier une éventuelle reprise des pourparlers de paix avec Israël et les rapports avec le monde. La visite de M. Abbas en Syrie a été une occasion pour le président palestinien de discuter du dialogue national en vue de la mise en place d'un gouvernement d'union, le responsable du bureau politique du Hamas, Khaled Mechaal, étant établi à Damas. Le Hamas est en désaccord avec le Fatah, depuis que le premier a pris le contrôle de la bande de Ghaza après la mise en déroute des forces de sécurité relevant de la présidence, en juin 2007. Des responsables des deux mouvements ont tenu plusieurs sessions de dialogue au Caire, sous les auspices de l'Egypte, en vue d'une réconciliation. Le 5ème round du dialogue interpalestinien devra se pencher sur des questions décisives "en prélude à la tenue d'un dialogue global et à la signature du document de la réconciliation et de la concorde nationales" en présence de toutes les factions palestiniennes. Le mouvement Hamas préconise la composition d'un gouvernement palestinien sans définir de programme politique alors que Fatah plaide pour un gouvernement plébiscité par la communauté internationale à même de traiter avec le Quartette. Le président de l'Autorité palestinienne a appelé maintes fois les mouvements Hamas et Fatah à surmonter leurs différends en vue de former un gouvernement d'union nationale dans le cadre du dialogue interpalestinien. Le Hamas a qualifié le 4ème round de "positif" et qui a enregistré "une avancée remarquable" à l'égard de certaines questions conflictuelles, dont l'OLP, les élections et la sécurité. Les factions palestiniennes avaient notamment convenu lors des précédents rounds de dialogue au Caire du développement et de la dynamisation de l'OLP en tant que représentant légitime et unique du peuple palestinien et de la nécessité de fixer la date des élections législatives et présidentielle et du Conseil national le 25 janvier 2010 au plus tard. Il a également été convenu de former un gouvernement d'entente nationale transitoire et provisoire et de mettre en place une charte d'honneur pour la réconciliation.