Au vu de l'état dégradé dans lequel se trouve la majorité des quartiers constantinois, Constantine méritait bien cette « faveur ». La ville des ponts s'est transformée en un véritable chantier. « Tous les quartiers, à travers les quatre coins de la wilaya sont concernés par le projet d'amélioration urbaine » Au vu de l'état dégradé dans lequel se trouve la majorité des quartiers constantinois, Constantine méritait bien cette « faveur ». La ville des ponts s'est transformée en un véritable chantier. « Tous les quartiers, à travers les quatre coins de la wilaya sont concernés par le projet d'amélioration urbaine » L'«embellissement» des différents quartiers de la ville du Vieux rocher a coûté une fortune. Quelque mille milliards de centimes, c'est le montant de l'enveloppe financière qui a été dégagée par les pouvoirs publics pour relooker la façade de cette ville. Cette somme conséquente, et il faut le mentionner, fait le double du total accordé à l'ensemble des wilayas de l'Est dans le cadre du programme national l'amélioration urbaine. Au vu de l'état dégradé dans lequel se trouve la majorité des quartiers constantinois, on est tenté de dire que Constantine méritait bien cette «faveur». Depuis le lancement de cette opération, la ville des Ponts s'est transformée en un véritable chantier. «Tous les quartiers, à travers les quatre coins de la wilaya sont concernés par le projet d'amélioration urbaine», nous révèle le directeur de l'urbanisme de la wilaya de Constantine. Ainsi, et pour conforter ses dires, M. Annab sort un arsenal de chiffres. «Depuis 2005, 93 projets d'aménagement urbain ont été lancés sur différents sites. 21 ont été réceptionnés, et 30 autres sont en cours d'achèvement. On compte également quelques 17 projets en attente de lancement et plus d'une vingtaine de chantiers qui seront lancés incessamment, une fois les procédures administratives accomplies», nous indique le directeur de l'urbanisme. Selon notre interlocuteur, «la répartition des projets a été faite de manière équitable, suivant la superficie des communes», tient-il à souligner. En faisant ces déclarations, ce responsable tente de répondre aux nombreux mécontentements exprimés par ceux qui ne veulent pas voir des réalisations en matière d'amélioration urbaine, précise-t-il. C'est clair, il y a donc une grande controverse en ce qui concerne la gestion de ce dossier à Constantine. Ce débat n'a jamais cessé de faire couler beaucoup d'encre et de salive. Il n'est pas prêt d'être tranché en dépit des assurances fournies par les instances concernées ! Ce que n'arrivent pas à gober les citoyens, ce sont ces nombreuses scènes de bâclage constatées çà et là à travers les endroits où on a effectuée des opérations d'aménagement urbain. Sur d'autres sites, les travaux ont été tout simplement abandonnés, avons-nous remarqué ! Le premier responsable de la wilaya avait, à maintes reprises, piqué des crises de colère en constatant retards et malfaçons, dans l'exécution des travaux. Le directeur de l'urbanisme ne défend pas les entreprises réalisatrices, mais il essaie d'éclairer l'opinion public sur les moults désagréments rencontrés sur le terrain. «Certes, il y a des lacunes. Mais sachez bien qu'il y a beaucoup de difficultés qui entravent la des objectifs tracés dans les délais. Les réseaux défectueux et la nature du relief figurent parmi les causes qui retardent souvent la réception des projets», nous confie-t-il. M. Annab évoque également le cas de certains bureaux d'études médiocres et assure que « sa Direction a dépêché deux équipes spécialisées chargées de veiller sur le bon suivi des travaux. On a dressé beaucoup de mises en demeure à l'encontre des entreprises incompétentes et même carrément résilié les contrats avec trois bureaux d'études», précise-t-il. L'«embellissement» des différents quartiers de la ville du Vieux rocher a coûté une fortune. Quelque mille milliards de centimes, c'est le montant de l'enveloppe financière qui a été dégagée par les pouvoirs publics pour relooker la façade de cette ville. Cette somme conséquente, et il faut le mentionner, fait le double du total accordé à l'ensemble des wilayas de l'Est dans le cadre du programme national l'amélioration urbaine. Au vu de l'état dégradé dans lequel se trouve la majorité des quartiers constantinois, on est tenté de dire que Constantine méritait bien cette «faveur». Depuis le lancement de cette opération, la ville des Ponts s'est transformée en un véritable chantier. «Tous les quartiers, à travers les quatre coins de la wilaya sont concernés par le projet d'amélioration urbaine», nous révèle le directeur de l'urbanisme de la wilaya de Constantine. Ainsi, et pour conforter ses dires, M. Annab sort un arsenal de chiffres. «Depuis 2005, 93 projets d'aménagement urbain ont été lancés sur différents sites. 21 ont été réceptionnés, et 30 autres sont en cours d'achèvement. On compte également quelques 17 projets en attente de lancement et plus d'une vingtaine de chantiers qui seront lancés incessamment, une fois les procédures administratives accomplies», nous indique le directeur de l'urbanisme. Selon notre interlocuteur, «la répartition des projets a été faite de manière équitable, suivant la superficie des communes», tient-il à souligner. En faisant ces déclarations, ce responsable tente de répondre aux nombreux mécontentements exprimés par ceux qui ne veulent pas voir des réalisations en matière d'amélioration urbaine, précise-t-il. C'est clair, il y a donc une grande controverse en ce qui concerne la gestion de ce dossier à Constantine. Ce débat n'a jamais cessé de faire couler beaucoup d'encre et de salive. Il n'est pas prêt d'être tranché en dépit des assurances fournies par les instances concernées ! Ce que n'arrivent pas à gober les citoyens, ce sont ces nombreuses scènes de bâclage constatées çà et là à travers les endroits où on a effectuée des opérations d'aménagement urbain. Sur d'autres sites, les travaux ont été tout simplement abandonnés, avons-nous remarqué ! Le premier responsable de la wilaya avait, à maintes reprises, piqué des crises de colère en constatant retards et malfaçons, dans l'exécution des travaux. Le directeur de l'urbanisme ne défend pas les entreprises réalisatrices, mais il essaie d'éclairer l'opinion public sur les moults désagréments rencontrés sur le terrain. «Certes, il y a des lacunes. Mais sachez bien qu'il y a beaucoup de difficultés qui entravent la des objectifs tracés dans les délais. Les réseaux défectueux et la nature du relief figurent parmi les causes qui retardent souvent la réception des projets», nous confie-t-il. M. Annab évoque également le cas de certains bureaux d'études médiocres et assure que « sa Direction a dépêché deux équipes spécialisées chargées de veiller sur le bon suivi des travaux. On a dressé beaucoup de mises en demeure à l'encontre des entreprises incompétentes et même carrément résilié les contrats avec trois bureaux d'études», précise-t-il.