Malgré un mouvement de protestation, qui a duré près de 20 jours, aucune des revendications des 25 travailleurs n'a été prise en considération. C'est le statu-quo, ont indiqué, hier, les représentants des travailleurs, désespérés et inquiets pour leur avenir. "Nous avons tout fait pour attirer l'attention des autorités sur le sort de notre établissement hôtelier cédé, dans le cadre d'une opération de privatisation, à un homme d'affaires qui a totalement fait fi des dispositions contenues dans le cahier des charges», dénoncent-ils. Selon nos interlocuteurs, l'acquéreur du luxueux hôtel d'Orient, un des fleurons en la matière dans la ville de Sidi Brahim, et une fois l'autonomie et la transaction entérinées, n'a plus donné signe de vie depuis décembre 2007, laissant tout le personnel dans l'expectative, abandonné à leur triste sort. Une situation qui a poussé les travailleurs à se prendre en main, en assurant la gestion et l'administration de l'hôtel pour éviter la banqueroute de l'établissement. Les employés, à bout, après deux années de sacrifices et de démarches vaines, réclament toujours la réintégration de leur établissement à l'entreprise mère, à savoir l'hôtel Seybouse international et la déclaration des travailleurs auprès des services de la Sécurité sociale. On croit savoir, que le wali en personne, Mohamed Ghazi, aurait promis aux délégués syndicaux, qui avaient pris attache avec lui, de plaider leur cause auprès du ministère de tutelle. Malgré un mouvement de protestation, qui a duré près de 20 jours, aucune des revendications des 25 travailleurs n'a été prise en considération. C'est le statu-quo, ont indiqué, hier, les représentants des travailleurs, désespérés et inquiets pour leur avenir. "Nous avons tout fait pour attirer l'attention des autorités sur le sort de notre établissement hôtelier cédé, dans le cadre d'une opération de privatisation, à un homme d'affaires qui a totalement fait fi des dispositions contenues dans le cahier des charges», dénoncent-ils. Selon nos interlocuteurs, l'acquéreur du luxueux hôtel d'Orient, un des fleurons en la matière dans la ville de Sidi Brahim, et une fois l'autonomie et la transaction entérinées, n'a plus donné signe de vie depuis décembre 2007, laissant tout le personnel dans l'expectative, abandonné à leur triste sort. Une situation qui a poussé les travailleurs à se prendre en main, en assurant la gestion et l'administration de l'hôtel pour éviter la banqueroute de l'établissement. Les employés, à bout, après deux années de sacrifices et de démarches vaines, réclament toujours la réintégration de leur établissement à l'entreprise mère, à savoir l'hôtel Seybouse international et la déclaration des travailleurs auprès des services de la Sécurité sociale. On croit savoir, que le wali en personne, Mohamed Ghazi, aurait promis aux délégués syndicaux, qui avaient pris attache avec lui, de plaider leur cause auprès du ministère de tutelle.