La conférence-bilan, organisée, hier, par la direction de distribution "Seybouse Annaba" de Sonelgaz, a fait ressortir que cette filiale, réalise annuellement un chiffre d'affaires concernant les factures de l'électricité et du gaz de l'ordre de 10.000 milliards de centimes. Ce montant mirobolant est à la hauteur de la prestation fournie par cette structure, qui posséde, pour le seul secteur électrique, un fichier de 59.168 clients alors que concernant le gaz naturel elle gère un portefeuille de 28.154 abonnées pour un réseau de 573 kilomètres. Il ressort également de cette conférence, que Annaba reste une des wilayas les plus privilégiées en termes de raccordement urbain et suburbain en gaz et électricité. Côté revers de la médaille, l'entreprise enregistre, toutefois, des pertes financières estimées à 42 milliards de centimes pour les trois dernières années, ceci du fait du piratage de ses réseaux. "Ce phénomène met à rude épreuve la trésorerie de l'entreprise. Nous avons un manque à gagner de 14 milliards de centimes pour la seule année 2008", a affirmé son directeur sans compter les pertes occasionnées par les vols de cable. Ce dernier phénomène est devenu monnaie courante, encouragé par les filières du trabendisme et des réseaux mafieux. En matière d'investissement pour la rénovation du réseau, il est, a-t-il été mis en exergue, prévu un investissement de 14 milliards de centimes. La conférence-bilan, organisée, hier, par la direction de distribution "Seybouse Annaba" de Sonelgaz, a fait ressortir que cette filiale, réalise annuellement un chiffre d'affaires concernant les factures de l'électricité et du gaz de l'ordre de 10.000 milliards de centimes. Ce montant mirobolant est à la hauteur de la prestation fournie par cette structure, qui posséde, pour le seul secteur électrique, un fichier de 59.168 clients alors que concernant le gaz naturel elle gère un portefeuille de 28.154 abonnées pour un réseau de 573 kilomètres. Il ressort également de cette conférence, que Annaba reste une des wilayas les plus privilégiées en termes de raccordement urbain et suburbain en gaz et électricité. Côté revers de la médaille, l'entreprise enregistre, toutefois, des pertes financières estimées à 42 milliards de centimes pour les trois dernières années, ceci du fait du piratage de ses réseaux. "Ce phénomène met à rude épreuve la trésorerie de l'entreprise. Nous avons un manque à gagner de 14 milliards de centimes pour la seule année 2008", a affirmé son directeur sans compter les pertes occasionnées par les vols de cable. Ce dernier phénomène est devenu monnaie courante, encouragé par les filières du trabendisme et des réseaux mafieux. En matière d'investissement pour la rénovation du réseau, il est, a-t-il été mis en exergue, prévu un investissement de 14 milliards de centimes.