La transplantation pulmonaire «augmente l'espérance de vie des patients, en fonction de leur état de santé et psychologique», a affirmé mercredi à Batna le Pr. Christophe Pison de l'hôpital universitaire de Grenoble (France). S'exprimant lors des 4èmes journées internationales des maladies pulmonaires, organisées par la faculté de médecine de l'université Hadj Lakhdar, ce spécialiste a précisé que l'augmentation de la longévité peut aller de 2 à 15 ans en fonction de nombre de paramètres dont l'âge du patient, sa corpulence et le niveau de tolérance de la greffe par son corps. La greffe du poumon demeure l'une des interventions chirurgicales les "plus compliquées" et exige "une prise en charge complète" du malade avant et après l'opération, a souligné le Pr. Pison, indiquant que le poumon à transplanter ne doit pas avoir été conservé pendant plus de six heures. De son côté, le Pr. Abdelhamid Djebbar, président de la rencontre et chef de service des maladies pulmonaires au CHU de Batna, a indiqué que la plupart des maladies pulmonaires "tuent après un stade donné de leur évolution", soulignant qu'en Afrique, la pauvreté et la malnutrition rendent ces infections "plus ravageuses". L'insuffisance respiratoire, le cancer bronchique et la tuberculose sont les trois axes à traiter par les 24 communications programmées tout le long de cette rencontre dont l'objectif, selon le Pr. Djebbar, est «d'offrir aux praticiens locaux l'occasion d'approfondir leurs connaissances sur ces sujets» et de leur permettre d'être «à jour des évolutions dans le monde». L'édition 2009 des journées internationales des maladies pulmonaires de Batna dont les activités s'étalent sur deux jours, a réuni des spécialistes et des praticiens de diverses universités nationales ainsi que deux professeurs du groupe de transplantation pulmonaire de Grenoble (France). La transplantation pulmonaire «augmente l'espérance de vie des patients, en fonction de leur état de santé et psychologique», a affirmé mercredi à Batna le Pr. Christophe Pison de l'hôpital universitaire de Grenoble (France). S'exprimant lors des 4èmes journées internationales des maladies pulmonaires, organisées par la faculté de médecine de l'université Hadj Lakhdar, ce spécialiste a précisé que l'augmentation de la longévité peut aller de 2 à 15 ans en fonction de nombre de paramètres dont l'âge du patient, sa corpulence et le niveau de tolérance de la greffe par son corps. La greffe du poumon demeure l'une des interventions chirurgicales les "plus compliquées" et exige "une prise en charge complète" du malade avant et après l'opération, a souligné le Pr. Pison, indiquant que le poumon à transplanter ne doit pas avoir été conservé pendant plus de six heures. De son côté, le Pr. Abdelhamid Djebbar, président de la rencontre et chef de service des maladies pulmonaires au CHU de Batna, a indiqué que la plupart des maladies pulmonaires "tuent après un stade donné de leur évolution", soulignant qu'en Afrique, la pauvreté et la malnutrition rendent ces infections "plus ravageuses". L'insuffisance respiratoire, le cancer bronchique et la tuberculose sont les trois axes à traiter par les 24 communications programmées tout le long de cette rencontre dont l'objectif, selon le Pr. Djebbar, est «d'offrir aux praticiens locaux l'occasion d'approfondir leurs connaissances sur ces sujets» et de leur permettre d'être «à jour des évolutions dans le monde». L'édition 2009 des journées internationales des maladies pulmonaires de Batna dont les activités s'étalent sur deux jours, a réuni des spécialistes et des praticiens de diverses universités nationales ainsi que deux professeurs du groupe de transplantation pulmonaire de Grenoble (France).