C'est une véritable explosion de joie qui a retenti dans tous les recoins de la ville de Batna, vendredi vers 18 heures, à l'annonce du résultat nul (2-2) réussi par les camarades de Salim Aribi à Alger face au Paradou AC pour le compte de la dernière journée du championnat national de football de D2. Un résultat acquis de haute lutte sur la pelouse du ‘‘20-Août ‘‘ par les hommes de Benyelles qui durent évoluer pendant plus d'une mi-temps en infériorité numérique après l'expulsion de Kedia pour cumul de cartons. Dès le coup de sifflet final de l'arbitre de la rencontre, des dizaines, ensuite des centaines et bientôt des milliers de batnéens envahirent les rues de la capitale des Aurès, dans les quartiers de Bouzourane, de Kechida, de Bouakal et, bien entendu, sur les allées Benboulaid où se trouve le cercle du CAB. La ville, ‘‘tétanisée'' durant toute l'après-midi, pendant la retransmission du match à la télévision, se réveilla brutalement et l'allégresse qui s'est emparée de la ville est allée crescendo à mesure que ‘‘débarquaient sur les allées Benboulaïd, centre névralgique de Batna, des supporters venus d'El Madher, de Chemora, de Tazoult, de Aïn Touta et même de la ‘‘lointaine'' Barika. Cortèges interminables de voitures (et même de camions), énorme vacarme de klaxons, clameurs, chants, dizaines de banderoles géantes bleues et rouges, aux couleurs du club ont pris possession de la ville, transformant les allées Benboulaïd (où s'est concentré l'essentiel de la foule) en immense ‘‘galerie'' de supporters tout à leur joie. Un jeune ‘‘fan'', dont on n'aperçoit que le visage, tant il est entièrement recouvert d'un tissu bleu liséré de rouge et coiffé d'un étrange galurin hérissé de multiples cornes, affirme que la fête est ‘‘loin d'être finie''. La ville de Batna est bien partie, en tous cas, pour passer bien des journées de fête. L'équipe chère au regretté joueur et entraîneur Brahim Guellil retrouve l'élite après deux années en division 2, rappelle-t-on. C'est une véritable explosion de joie qui a retenti dans tous les recoins de la ville de Batna, vendredi vers 18 heures, à l'annonce du résultat nul (2-2) réussi par les camarades de Salim Aribi à Alger face au Paradou AC pour le compte de la dernière journée du championnat national de football de D2. Un résultat acquis de haute lutte sur la pelouse du ‘‘20-Août ‘‘ par les hommes de Benyelles qui durent évoluer pendant plus d'une mi-temps en infériorité numérique après l'expulsion de Kedia pour cumul de cartons. Dès le coup de sifflet final de l'arbitre de la rencontre, des dizaines, ensuite des centaines et bientôt des milliers de batnéens envahirent les rues de la capitale des Aurès, dans les quartiers de Bouzourane, de Kechida, de Bouakal et, bien entendu, sur les allées Benboulaid où se trouve le cercle du CAB. La ville, ‘‘tétanisée'' durant toute l'après-midi, pendant la retransmission du match à la télévision, se réveilla brutalement et l'allégresse qui s'est emparée de la ville est allée crescendo à mesure que ‘‘débarquaient sur les allées Benboulaïd, centre névralgique de Batna, des supporters venus d'El Madher, de Chemora, de Tazoult, de Aïn Touta et même de la ‘‘lointaine'' Barika. Cortèges interminables de voitures (et même de camions), énorme vacarme de klaxons, clameurs, chants, dizaines de banderoles géantes bleues et rouges, aux couleurs du club ont pris possession de la ville, transformant les allées Benboulaïd (où s'est concentré l'essentiel de la foule) en immense ‘‘galerie'' de supporters tout à leur joie. Un jeune ‘‘fan'', dont on n'aperçoit que le visage, tant il est entièrement recouvert d'un tissu bleu liséré de rouge et coiffé d'un étrange galurin hérissé de multiples cornes, affirme que la fête est ‘‘loin d'être finie''. La ville de Batna est bien partie, en tous cas, pour passer bien des journées de fête. L'équipe chère au regretté joueur et entraîneur Brahim Guellil retrouve l'élite après deux années en division 2, rappelle-t-on.