Le réseau algérien pour la défense des droits de l'enfant (Nada) célèbre, aujourd'hui, la Journée mondiale de l'enfant, en faisant le point sur ses différentes activités. Dans un bilan rendu public, repris par l'APS, le réseau fait part de la prise en charge de plusieurs cas de maltraitance d'enfants. Ces violences sont d'ailleurs multiples et «la rue, la maison, l'école sont tous des vecteurs de cette violence au visage souvent couvert par les traditions et la condamnation de la société». Les responsables du Nada assurent, dans ce sens, que «ces enfants victimes de la maltraitance et de la société, ont bénéficié d'accompagnement et de réparation dans le cadre de son programme». Ce réseau, faut-il le relever, a enregistré plus de 7.300 appels «se rapportant à différentes situations», grâce au lancement, il y a une année du programme «Je t'écoute», dont la principale action est d'avoir ouvert un numéro vert (30-33) pour le signalement des violences commises contre les enfants. Aussi, 335 dossiers ont été traités ou en voie de solution dont 55 ont été pris en charge du point de vue psychosocial. En outre, l'écoute, l'orientation, l'accompagnement, les solutions alternatives, la médiation et la solidarité représentent le meilleur traitement à la détresse chez l'enfant et sa famille, précisent les responsables. Les membres du réseau préconisent que soient renforcés le dispositif de signalement par des textes juridiques ainsi que la coordination institutionnelle d'une part et celle de la société civile et la famille d'autre part. Ils recommandent également la création d'une section d'avocats spécialisés dans les droits de l'enfant et les affaires familiales au niveau des tribunaux, ainsi qu'un comité de familles pour le suivi des enfants nés de mères célibataires, enfants placés dans le cadre de la "kafala", enfants placés dans des familles ou foyers d'accueil pour une période d'urgence. Le réseau algérien pour la défense des droits de l'enfant (Nada) célèbre, aujourd'hui, la Journée mondiale de l'enfant, en faisant le point sur ses différentes activités. Dans un bilan rendu public, repris par l'APS, le réseau fait part de la prise en charge de plusieurs cas de maltraitance d'enfants. Ces violences sont d'ailleurs multiples et «la rue, la maison, l'école sont tous des vecteurs de cette violence au visage souvent couvert par les traditions et la condamnation de la société». Les responsables du Nada assurent, dans ce sens, que «ces enfants victimes de la maltraitance et de la société, ont bénéficié d'accompagnement et de réparation dans le cadre de son programme». Ce réseau, faut-il le relever, a enregistré plus de 7.300 appels «se rapportant à différentes situations», grâce au lancement, il y a une année du programme «Je t'écoute», dont la principale action est d'avoir ouvert un numéro vert (30-33) pour le signalement des violences commises contre les enfants. Aussi, 335 dossiers ont été traités ou en voie de solution dont 55 ont été pris en charge du point de vue psychosocial. En outre, l'écoute, l'orientation, l'accompagnement, les solutions alternatives, la médiation et la solidarité représentent le meilleur traitement à la détresse chez l'enfant et sa famille, précisent les responsables. Les membres du réseau préconisent que soient renforcés le dispositif de signalement par des textes juridiques ainsi que la coordination institutionnelle d'une part et celle de la société civile et la famille d'autre part. Ils recommandent également la création d'une section d'avocats spécialisés dans les droits de l'enfant et les affaires familiales au niveau des tribunaux, ainsi qu'un comité de familles pour le suivi des enfants nés de mères célibataires, enfants placés dans le cadre de la "kafala", enfants placés dans des familles ou foyers d'accueil pour une période d'urgence.