Le général-major Ahmed Bousteila a plaidé pour «la promotion de la coopération et la formation entre les différentes parties concernées ainsi que pour la modernisation des outils d'investigation». Ces mesures viseront à lutter contre les diverses menaces engendrées par des réseaux criminels utilisant les TIC à l'encontre de la sécurité des personnes et l'économie des pays. Le général-major Ahmed Bousteila a plaidé pour «la promotion de la coopération et la formation entre les différentes parties concernées ainsi que pour la modernisation des outils d'investigation». Ces mesures viseront à lutter contre les diverses menaces engendrées par des réseaux criminels utilisant les TIC à l'encontre de la sécurité des personnes et l'économie des pays. Le commandant de la Gendarmerie nationale, le général-major Ahmed Bousteila, a relevé, hier, la nécessité de renforcer la coopération, le partenariat et les échanges d'expériences entre les pays membres de l'initiative «5+5 défense», en matière d'utilisation des TIC. Laquelle utilisation servira, notamment, poursuit-il, dans la lutte contre toute sortes de crimes, dont la cyber-criminalité, le crime organisé et le blanchiment d'argent. Dans une allocution d'ouverture prononcée à l'ouverture de la première réunion des commandants et directeurs de gendarmeries ou de forces équivalentes des pays de l'initiative «5+5 défense», regroupant les dix pays du sud et du nord de la Méditerranée occidentale, le général- major est revenu sur bon nombre de thèmes devant faire objet de coopération entre les pays membres. Il relève, dans ce sens, que le monde d'aujourd'hui se caractérise par des mutations ayant créé de nouveaux défis et dangers sur la sécurité des personnes et des biens, notamment avec le développement des TIC. Une raison pour laquelle il est impératif, poursuit-il, d'«améliorer les services chargés de la sécurité par la modernisation des moyens utilisés». Le général-major Ahmed Bousteila a plaidé à cet effet pour «la promotion de la coopération et la formation entre les différentes parties concernées ainsi que pour la modernisation des outils d'investigation. Ces mesures viseront à lutter contre les diverses menaces engendrées par des réseaux criminels utilisant les TIC à l'encontre de la sécurité des personnes et l'économie des pays», affirme-t-il. La rencontre d'hier vise, faut-il le relever, à mobiliser, dans le cadre du renforcement de la sécurité et de la stabilité dans le bassin de la Méditerranée occidentale, les compétences déjà existantes dans les domaines des Technologies de l'information et de la communication (TIC) au service de la sécurité publique». Pour les organisateurs, «la croissance des besoins de sécuriser la société contre une criminalité dynamique et innovante exige des Etats membres de l'initiative "5+5 défense" d'optimiser l'action des services de sécurité de sorte à répondre au principe d'efficacité par la modernisation des moyens». Cette réunion permettra également de s'imprégner des stratégies adoptées par ces institutions dans le domaine de la sécurité publique, de développer la coopération et de s'informer mutuellement sur les méthodes de lutte et sur les expériences intégrant les technologies de l'information au service de la sécurité publique. La réunion, dont les travaux se déroulent à huis clos, sera sanctionnée aujourd'hui par une série de recommandations. Le commandant de la Gendarmerie nationale, le général-major Ahmed Bousteila, a relevé, hier, la nécessité de renforcer la coopération, le partenariat et les échanges d'expériences entre les pays membres de l'initiative «5+5 défense», en matière d'utilisation des TIC. Laquelle utilisation servira, notamment, poursuit-il, dans la lutte contre toute sortes de crimes, dont la cyber-criminalité, le crime organisé et le blanchiment d'argent. Dans une allocution d'ouverture prononcée à l'ouverture de la première réunion des commandants et directeurs de gendarmeries ou de forces équivalentes des pays de l'initiative «5+5 défense», regroupant les dix pays du sud et du nord de la Méditerranée occidentale, le général- major est revenu sur bon nombre de thèmes devant faire objet de coopération entre les pays membres. Il relève, dans ce sens, que le monde d'aujourd'hui se caractérise par des mutations ayant créé de nouveaux défis et dangers sur la sécurité des personnes et des biens, notamment avec le développement des TIC. Une raison pour laquelle il est impératif, poursuit-il, d'«améliorer les services chargés de la sécurité par la modernisation des moyens utilisés». Le général-major Ahmed Bousteila a plaidé à cet effet pour «la promotion de la coopération et la formation entre les différentes parties concernées ainsi que pour la modernisation des outils d'investigation. Ces mesures viseront à lutter contre les diverses menaces engendrées par des réseaux criminels utilisant les TIC à l'encontre de la sécurité des personnes et l'économie des pays», affirme-t-il. La rencontre d'hier vise, faut-il le relever, à mobiliser, dans le cadre du renforcement de la sécurité et de la stabilité dans le bassin de la Méditerranée occidentale, les compétences déjà existantes dans les domaines des Technologies de l'information et de la communication (TIC) au service de la sécurité publique». Pour les organisateurs, «la croissance des besoins de sécuriser la société contre une criminalité dynamique et innovante exige des Etats membres de l'initiative "5+5 défense" d'optimiser l'action des services de sécurité de sorte à répondre au principe d'efficacité par la modernisation des moyens». Cette réunion permettra également de s'imprégner des stratégies adoptées par ces institutions dans le domaine de la sécurité publique, de développer la coopération et de s'informer mutuellement sur les méthodes de lutte et sur les expériences intégrant les technologies de l'information au service de la sécurité publique. La réunion, dont les travaux se déroulent à huis clos, sera sanctionnée aujourd'hui par une série de recommandations.