Plusieurs blessés par armes blanches ou en état de choc après avoir reçu des jets de bombes lacrymogènes, ont été admis aux services des urgences jeudi passé à Annaba, lors d'échauffourées qui ont opposé deux bandes rivales de la cité "Pont blanc". Selon des témoins oculaires, des jeunes surexcités et selon toute vraisemblance sous l'effet de l'alcool ou de substances hallucinogènes, se sont affrontés en plein jour aux moyens de couteaux à cran d'arrêt et de bombes lacrymogène en spray, durant presque deux heures, laissant sur place, après l'intervention de la police, plusieurs blessés qu'on a dû évacuer en urgence à l'hopital Ibn Rochd. On croit savoir que l'origine de cet affrontement sanglant, qui a créé une véritable psychose chez les résidents du quartier "Pont Blanc" serait une rixe entre deux jeunes qui convoitaient la même jeune fille et qui a vite dégénéré en bataille rangée. Mais ce qui suscite inquiétude et interrogation chez les citoyens, c'est cet arsenal de guerre utilisé par les belligérants. D'où provient cette impressionnante masse d'armes exhibées par ces jeunes. "Les bombes lacrymogènes de self-défense autorisées ailleurs sont interdites de commerce en Algérie où elles sont introduites par le biais du circuit informel du trabendo et commercialisées sous le manteau dans les grandes villes", explique un policier. En tout cas, la facilité d'acquisition de ce genre d'armes, va développer davantage la délinquance et l'insécurité dans la ville, pense le commun des Annabis qui craint, d'ores et déjà, une saison estivale chaude dans tous les sens du terme. Plusieurs blessés par armes blanches ou en état de choc après avoir reçu des jets de bombes lacrymogènes, ont été admis aux services des urgences jeudi passé à Annaba, lors d'échauffourées qui ont opposé deux bandes rivales de la cité "Pont blanc". Selon des témoins oculaires, des jeunes surexcités et selon toute vraisemblance sous l'effet de l'alcool ou de substances hallucinogènes, se sont affrontés en plein jour aux moyens de couteaux à cran d'arrêt et de bombes lacrymogène en spray, durant presque deux heures, laissant sur place, après l'intervention de la police, plusieurs blessés qu'on a dû évacuer en urgence à l'hopital Ibn Rochd. On croit savoir que l'origine de cet affrontement sanglant, qui a créé une véritable psychose chez les résidents du quartier "Pont Blanc" serait une rixe entre deux jeunes qui convoitaient la même jeune fille et qui a vite dégénéré en bataille rangée. Mais ce qui suscite inquiétude et interrogation chez les citoyens, c'est cet arsenal de guerre utilisé par les belligérants. D'où provient cette impressionnante masse d'armes exhibées par ces jeunes. "Les bombes lacrymogènes de self-défense autorisées ailleurs sont interdites de commerce en Algérie où elles sont introduites par le biais du circuit informel du trabendo et commercialisées sous le manteau dans les grandes villes", explique un policier. En tout cas, la facilité d'acquisition de ce genre d'armes, va développer davantage la délinquance et l'insécurité dans la ville, pense le commun des Annabis qui craint, d'ores et déjà, une saison estivale chaude dans tous les sens du terme.