L'Union européenne (UE) va libérer 19 milliards d'euros issus du Fonds social européen (dont le versement était déjà programmé) pour venir en aide aux victimes de la crise économique, annonce mercredi à Bruxelles la Commission européenne. Ces fonds feront l'objet d'un versement anticipé et les Etats membres ne seront pas tenus de fournir un cofinancement pour la période 2009-2010. Un nouveau mécanisme européen de prêts, mis en place avec le concours du Groupe Banque européenne d'investissement et d'autres partenaires, offrira des microcrédits pour la création d'entreprises ou de microentreprises à ceux qui ne pourraient y accéder facilement en temps normal. Cet engagement commun de l'UE en faveur de l'emploi comporte des priorités et des actions clefs en vue de préserver l'emploi et d'aider les personnes en difficulté. L'objectif est de rassembler tous les acteurs concernés autour de cet engagement. Ces propositions seront soumises à l'approbation des chefs d'Etat ou de gouvernement lors du Conseil européen des 18 et 19 juin prochains. "L'Europe a rapidement réagi à la crise financière économique, y compris sur le plan social. Aujourd'hui, la Commission fait un pas de plus dans la voie d'un engagement commun et d'une action coordonnée de l'UE, des Etats membres et des partenaires sociaux afin de préserver les emplois et d'en créer de nouveaux", a déclaré M. Barroso, président de la Commission européenne. La Commission européenne a défini trois priorités: préserver les emplois, en créer de nouveaux et stimuler la mobilité; renforcer les compétences et répondre aux besoins du marché du travail; améliorer l'accès à l'emploi. Ces priorités viennent compléter les autres actions décidées par la Commission européenne en réponse à la crise, parmi lesquelles les récentes propositions sur la surveillance financière et sur la réforme du Fonds européen d'ajustement à la mondialisation, l'objectif étant d'améliorer son fonctionnement en temps de crise. L'accent est mis sur le soutien aux jeunes et sur la nécessité de leur offrir suffisamment de possibilités de formation ou d'emploi, de manière à ce que leur entrée sur le marché du travail ne se solde pas cette année par un échec du fait de la crise. L'Union européenne (UE) va libérer 19 milliards d'euros issus du Fonds social européen (dont le versement était déjà programmé) pour venir en aide aux victimes de la crise économique, annonce mercredi à Bruxelles la Commission européenne. Ces fonds feront l'objet d'un versement anticipé et les Etats membres ne seront pas tenus de fournir un cofinancement pour la période 2009-2010. Un nouveau mécanisme européen de prêts, mis en place avec le concours du Groupe Banque européenne d'investissement et d'autres partenaires, offrira des microcrédits pour la création d'entreprises ou de microentreprises à ceux qui ne pourraient y accéder facilement en temps normal. Cet engagement commun de l'UE en faveur de l'emploi comporte des priorités et des actions clefs en vue de préserver l'emploi et d'aider les personnes en difficulté. L'objectif est de rassembler tous les acteurs concernés autour de cet engagement. Ces propositions seront soumises à l'approbation des chefs d'Etat ou de gouvernement lors du Conseil européen des 18 et 19 juin prochains. "L'Europe a rapidement réagi à la crise financière économique, y compris sur le plan social. Aujourd'hui, la Commission fait un pas de plus dans la voie d'un engagement commun et d'une action coordonnée de l'UE, des Etats membres et des partenaires sociaux afin de préserver les emplois et d'en créer de nouveaux", a déclaré M. Barroso, président de la Commission européenne. La Commission européenne a défini trois priorités: préserver les emplois, en créer de nouveaux et stimuler la mobilité; renforcer les compétences et répondre aux besoins du marché du travail; améliorer l'accès à l'emploi. Ces priorités viennent compléter les autres actions décidées par la Commission européenne en réponse à la crise, parmi lesquelles les récentes propositions sur la surveillance financière et sur la réforme du Fonds européen d'ajustement à la mondialisation, l'objectif étant d'améliorer son fonctionnement en temps de crise. L'accent est mis sur le soutien aux jeunes et sur la nécessité de leur offrir suffisamment de possibilités de formation ou d'emploi, de manière à ce que leur entrée sur le marché du travail ne se solde pas cette année par un échec du fait de la crise.