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Le rêve du «visa» pour l'université reste entier
Au troisième jour des épreuves du baccalauréat
Publié dans Le Midi Libre le 10 - 06 - 2009

Au troisième jour du baccalauréat, la fatigue commençait à apparaitresur les élèves mais cela n'amenuise en rien leur espoir de décrocher le «visa» pour les bancs des universités. Cette fatigue s'expliquerait, toutefois, selon des étudiants rencontrés hier à Alger par «l'emploi du temps chargé» des épreuves subies durant les deux premiers jours d'examen. Les potaches, dans leur majorité, protestent contre la programmation des épreuves jugées trop intenses.
Programmée pour la matinée du troisième jour, l'épreuve de philosophie a donné du fil à retordre aux élèves des classes lettre et philosophie, une matière souvent appréhendée par les candidats inscrits dans cette filière, du fait que celle-ci est considérée comme décisive pour l'obtention du baccalauréat, étant donné que son coefficient est de 6; ce qui explique en grande partie les crainte des étudiants. Juste après la fin de l'épreuve de philosophie, au centre d'examen Omar Ibn El Khatab, des candidats rencontrés sur place, nous on confié que la session était «trop difficile»; même constat pour tous les élèves qui passent leur bac pour la première fois, mais également partagé par des candidats qui passent le bac pour la deuxième fois. «Le sujet de cette année est plus difficile que celui de l'année dernière» nous a témoigné Sadek, un élève qui repasse son bac. En plus de la complexité des sujets proposés aux élèves, bon nombre dentre eux ont évoqué le facteur de la programmation où ils estiment avoir étée pénalisés.
L'autre épreuve qui a donné des sueurs froides à certains candidats a été celle des sciences naturelles, pour les filières scientifique. Au lycée Aroudj d'Alger centre, les avis divergent, entre «abordable» pour certains, et «difficile » pour d'autres. Pour Souilla, qui passe son bac pour la première fois et qui a souvent obtenu de très bons résultats dans cette matière, «le sujet était à la portée de tout le monde, avec un peu de concentration» a-t-elle témoigné, avant d'ajouter qu'elle «ne s'attendait pas du tout à ce que le sujet soit si simple». Walid, quant à lui, ne partage pas du tout son avis et estime que «le sujet n'était pas à la portée de tous, au contraire les questions proposées n'étaient pas si claires que ça» a-t-il affirmé. Il est rejoint dans ses propos par un autre étudiant qui partage la même opinion et pense que les questions étaient d'une extrême difficulté. Pour faire la part des choses, nous avons contacté des enseignants en science naturelle qui nous ont confirmés que les sujets étaient abordables.
L'un deux nous dira qu' «il est bien normal que le sujet soit un peu difficile, vu que la filière est considérée comme une branche d'excellence; dans l'ensemble, les sujets ont été abordables» a-t-il estimé. Sur un autre plan, la majorité des enseignant sont revenus sur la question de la programmation où chaque année il constatent un épuisement chez les élèves à partir du troisième jour et estiment que la tutelle doit prendre ce volet en considération, pour les prochaines années. Et ce, dans l'intention «d'améliorer les résultats du baccalauréat».
Au troisième jour du baccalauréat, la fatigue commençait à apparaitresur les élèves mais cela n'amenuise en rien leur espoir de décrocher le «visa» pour les bancs des universités. Cette fatigue s'expliquerait, toutefois, selon des étudiants rencontrés hier à Alger par «l'emploi du temps chargé» des épreuves subies durant les deux premiers jours d'examen. Les potaches, dans leur majorité, protestent contre la programmation des épreuves jugées trop intenses.
Programmée pour la matinée du troisième jour, l'épreuve de philosophie a donné du fil à retordre aux élèves des classes lettre et philosophie, une matière souvent appréhendée par les candidats inscrits dans cette filière, du fait que celle-ci est considérée comme décisive pour l'obtention du baccalauréat, étant donné que son coefficient est de 6; ce qui explique en grande partie les crainte des étudiants. Juste après la fin de l'épreuve de philosophie, au centre d'examen Omar Ibn El Khatab, des candidats rencontrés sur place, nous on confié que la session était «trop difficile»; même constat pour tous les élèves qui passent leur bac pour la première fois, mais également partagé par des candidats qui passent le bac pour la deuxième fois. «Le sujet de cette année est plus difficile que celui de l'année dernière» nous a témoigné Sadek, un élève qui repasse son bac. En plus de la complexité des sujets proposés aux élèves, bon nombre dentre eux ont évoqué le facteur de la programmation où ils estiment avoir étée pénalisés.
L'autre épreuve qui a donné des sueurs froides à certains candidats a été celle des sciences naturelles, pour les filières scientifique. Au lycée Aroudj d'Alger centre, les avis divergent, entre «abordable» pour certains, et «difficile » pour d'autres. Pour Souilla, qui passe son bac pour la première fois et qui a souvent obtenu de très bons résultats dans cette matière, «le sujet était à la portée de tout le monde, avec un peu de concentration» a-t-elle témoigné, avant d'ajouter qu'elle «ne s'attendait pas du tout à ce que le sujet soit si simple». Walid, quant à lui, ne partage pas du tout son avis et estime que «le sujet n'était pas à la portée de tous, au contraire les questions proposées n'étaient pas si claires que ça» a-t-il affirmé. Il est rejoint dans ses propos par un autre étudiant qui partage la même opinion et pense que les questions étaient d'une extrême difficulté. Pour faire la part des choses, nous avons contacté des enseignants en science naturelle qui nous ont confirmés que les sujets étaient abordables.
L'un deux nous dira qu' «il est bien normal que le sujet soit un peu difficile, vu que la filière est considérée comme une branche d'excellence; dans l'ensemble, les sujets ont été abordables» a-t-il estimé. Sur un autre plan, la majorité des enseignant sont revenus sur la question de la programmation où chaque année il constatent un épuisement chez les élèves à partir du troisième jour et estiment que la tutelle doit prendre ce volet en considération, pour les prochaines années. Et ce, dans l'intention «d'améliorer les résultats du baccalauréat».


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