L'anxiété, l'irritabilité, la panique, l'insomnie, la fatigue et la baisse d'énergie sont les signes de la dépression nerveuse chez l'enfant. La douleur morale chez l'enfant surgit principalement en classe et spécialement dans la narration, le dessin et le sport. C'est ce qui ressort de l'intervention des spécialistes ayant participé, hier, à la 3ème rencontre de psychiatrie de l'Hôpital central de l'armée (HCA) portant sur la dépression nerveuse chez l'enfant et l'adolescent et la schizophrénie. Dans ce chapitre, Mme Amel Kara, de l'hôpital central de l'armée, a plaidé pour une implication plus significative des parents et médecins des unités de dépistage scolaire (UDS) dans le recueil des symptômes de cette maladie à travers des questionnaires qu'ils auront à remplir sur l'état de santé corporel et mental de l'enfant, aussi bien à la maison qu'à l'école. Ces mesures seront prises afin de détecter les changements de comportements le plus rapidement possible et par conséquent éviter le pire. Pour Mme Wahiba Rihane, psychiatre, «la dépression nerveuse est un véritable problème de santé publique qui est à l'origine des échecs scolaires mais aussi d'un grand nombre de cas de suicide». «Chez l'adolescent, les symptômes sont essentiellement la tristesse, l'agitation, l'agressivité, la colère, l'ennui et en particulier la perte d'estime de soi», a relevé la spécialiste. L'adolescent est, selon Mme Rihane, «souvent fragile de personnalité et sensible face aux échecs et aux dépressions ce qui l'incite à se suicider» en utilisant différents moyens, «notamment les produits chimiques comme les détergents nocifs, avant de recourir en dernier ressort à se couper les veines». La rencontre d'hier, organisée par la direction centrale des services de santé militaire du ministère de la Défense nationale, en collaboration avec le HCA et l'Ecole nationale de santé militaire, représente un espace d'échange d'informations et d'expériences. Selon les spécialistes, la dépression nerveuse sera parmi les maladies prédominantes dans les années à venir en raison des guerres et des violences. L'anxiété, l'irritabilité, la panique, l'insomnie, la fatigue et la baisse d'énergie sont les signes de la dépression nerveuse chez l'enfant. La douleur morale chez l'enfant surgit principalement en classe et spécialement dans la narration, le dessin et le sport. C'est ce qui ressort de l'intervention des spécialistes ayant participé, hier, à la 3ème rencontre de psychiatrie de l'Hôpital central de l'armée (HCA) portant sur la dépression nerveuse chez l'enfant et l'adolescent et la schizophrénie. Dans ce chapitre, Mme Amel Kara, de l'hôpital central de l'armée, a plaidé pour une implication plus significative des parents et médecins des unités de dépistage scolaire (UDS) dans le recueil des symptômes de cette maladie à travers des questionnaires qu'ils auront à remplir sur l'état de santé corporel et mental de l'enfant, aussi bien à la maison qu'à l'école. Ces mesures seront prises afin de détecter les changements de comportements le plus rapidement possible et par conséquent éviter le pire. Pour Mme Wahiba Rihane, psychiatre, «la dépression nerveuse est un véritable problème de santé publique qui est à l'origine des échecs scolaires mais aussi d'un grand nombre de cas de suicide». «Chez l'adolescent, les symptômes sont essentiellement la tristesse, l'agitation, l'agressivité, la colère, l'ennui et en particulier la perte d'estime de soi», a relevé la spécialiste. L'adolescent est, selon Mme Rihane, «souvent fragile de personnalité et sensible face aux échecs et aux dépressions ce qui l'incite à se suicider» en utilisant différents moyens, «notamment les produits chimiques comme les détergents nocifs, avant de recourir en dernier ressort à se couper les veines». La rencontre d'hier, organisée par la direction centrale des services de santé militaire du ministère de la Défense nationale, en collaboration avec le HCA et l'Ecole nationale de santé militaire, représente un espace d'échange d'informations et d'expériences. Selon les spécialistes, la dépression nerveuse sera parmi les maladies prédominantes dans les années à venir en raison des guerres et des violences.