Pour des raisons évidentes d'austérité, la direction générale de l'OPGI, confrontée à plus de 30 milliards de centimes de créances accumulées par des locataires récalcitrants avait décidé de suspendre définitivement le règlement des factures de l'énergie électrique alimentant les minuteries de centaines de bâtiments. Pour des raisons évidentes d'austérité, la direction générale de l'OPGI, confrontée à plus de 30 milliards de centimes de créances accumulées par des locataires récalcitrants avait décidé de suspendre définitivement le règlement des factures de l'énergie électrique alimentant les minuteries de centaines de bâtiments. Les services de l'OPGI gèrent un parc immobilier évalué à plus de 12.000 logements implantés dans divers quartiers de la ville de Guelma et de l'ensemble des localités de la wilaya. Il convient de signaler qu'une partie de ce patrimoine a été cédée à des familles dans le cadre de l'opération initiée par les pouvoirs publics qui avaient accordé des facilités de paiement. Cependant, faute de moyens financiers ou pour d'autres raisons, des milliers d'appartements n'ont pas été achetés par leurs occupants qui conservent le statut de locataires. Pour des raisons évidentes d'austérité, la direction générale de l'OPGI, confrontée à plus de 30 milliards de centimes de créances accumulées par des locataires récalcitrants avait décidé de suspendre définitivement le règlement des factures de l'énergie électrique alimentant les minuteries de centaines de bâtiments. Désormais, les résidants, qu'ils soient locataires ou propriétaires de logement, ont opté pour la cotisation pour honorer les factures de Sonelgaz. L'entretien du patrimoine immobilier souffre d'insuffisance selon quelques locataires qui se sont rapprochés du bureau du Midi Libre pour exprimer leurs doléances. l'un d'eux affirme que «les vide- sanitaires inondés à longueur d'année d'eaux usées nauséabondes sont infestés de rats et de moustiques qui nuisent à la qualité de vie et à la santé publique. Nous avons réclamé maintes fois leur vidange mais notre appel n'a obtenu aucun écho. Cette situation affecte particulièrement les cités Jahdour, Champ de Manœuvres et Aïn Defla.» Un autre visiteur renchérit : «L'étanchéité de nos immeubles édifiés au début des années 80 est sérieusement endommagée et cela engendre l'infiltration d'eau pluviales dans nos appartements». Les citoyens saisissent cette opportunité pour lancer un S.O.S. aux autorités locales et aux responsables de L'OPGI aux fins d'une intervention efficace et salutaire. Les services de l'OPGI gèrent un parc immobilier évalué à plus de 12.000 logements implantés dans divers quartiers de la ville de Guelma et de l'ensemble des localités de la wilaya. Il convient de signaler qu'une partie de ce patrimoine a été cédée à des familles dans le cadre de l'opération initiée par les pouvoirs publics qui avaient accordé des facilités de paiement. Cependant, faute de moyens financiers ou pour d'autres raisons, des milliers d'appartements n'ont pas été achetés par leurs occupants qui conservent le statut de locataires. Pour des raisons évidentes d'austérité, la direction générale de l'OPGI, confrontée à plus de 30 milliards de centimes de créances accumulées par des locataires récalcitrants avait décidé de suspendre définitivement le règlement des factures de l'énergie électrique alimentant les minuteries de centaines de bâtiments. Désormais, les résidants, qu'ils soient locataires ou propriétaires de logement, ont opté pour la cotisation pour honorer les factures de Sonelgaz. L'entretien du patrimoine immobilier souffre d'insuffisance selon quelques locataires qui se sont rapprochés du bureau du Midi Libre pour exprimer leurs doléances. l'un d'eux affirme que «les vide- sanitaires inondés à longueur d'année d'eaux usées nauséabondes sont infestés de rats et de moustiques qui nuisent à la qualité de vie et à la santé publique. Nous avons réclamé maintes fois leur vidange mais notre appel n'a obtenu aucun écho. Cette situation affecte particulièrement les cités Jahdour, Champ de Manœuvres et Aïn Defla.» Un autre visiteur renchérit : «L'étanchéité de nos immeubles édifiés au début des années 80 est sérieusement endommagée et cela engendre l'infiltration d'eau pluviales dans nos appartements». Les citoyens saisissent cette opportunité pour lancer un S.O.S. aux autorités locales et aux responsables de L'OPGI aux fins d'une intervention efficace et salutaire.