L'état des lieux est des plus déplorable au grand dam des professionnels de la santé et des patients à savoir, toilettes bouchées dégageant des odeurs nauséabondes, murs décrépis,plafonds fissurés, portes non fonctionnelles, etc... Cette situation n'honore pas un secteur censé être un modèle irréprochable dans les volets hygiène, aseptie et salubrité. L'état des lieux est des plus déplorable au grand dam des professionnels de la santé et des patients à savoir, toilettes bouchées dégageant des odeurs nauséabondes, murs décrépis,plafonds fissurés, portes non fonctionnelles, etc... Cette situation n'honore pas un secteur censé être un modèle irréprochable dans les volets hygiène, aseptie et salubrité. Promue chef-lieu de wilaya, la ville de Guelma avait bénéficié de nombreux projets ciblant divers secteurs cruciaux dont ceux de l'habitat,de l'éducation, de la santé, de l'hydraulique. Dans ce contexte, la cité Gahdour Tahar abritant des dizaines d'immeubles collectifs avait été réceptionnée au début des années 80 sur les hauteurs de la ville, à la grande satisfaction de plus d'un millier de familles ravies d'occuper de vastes appartements neufs. Les autorités locales avaient décidé de créer au sein de cette cité populeuse un centre de santé gràce à des aménagements opérés à l'intérieur de deux appartements mitoyens situés au rez-de-chaussée. Cette structure sanitaire de proximité répondait aux besoins des riverains qui disposaient d'un service de PMI, protection maternelle et infantile , d'une salle d'auscultation, d'une salle de soins et pansements, d'un service d'espacement de naissances. Cependant, au fil des an, ce quartier a connu une expansion certaine puisque de nouvelles cités ont été édifiées, notamment celles du champ de manoeuvre, de la CNEP, du 19 juin dont les résidents étaient rattachés à ce centre de santé qui enregistrait une saturation avérée face à une affluence des patients. De l'avis des personnes qui recouraient aux offices de ce centre de santé, l'accueil, la prise en charge et les prestations sont satisfaisantes en dépit du nombre croissant des malades qui évoluent dans un site réduit et peu fonctionnel. Le plus aberrant, c'est l' état des lieux déplorable au grand dam des professionnels de la santé et des patients à savoir, toilettes bouchées dégageant des odeurs nauséabondes, murs décrépis,plafonds fissurés, portes non fonctionnelles, etc... Cette situation n'honore pas un secteur censé ètre un modèle irréprochable dans les volets hygiène, aseptie et salubrité. Il faut souligner que les pouvoirs publics ont alloué chaque année des enveloppes financières conséquentes destinées à la réhabilitation et à la restauration des unités sanitaires implantées dans les communes de la wilaya. D'aucuns s'interrogent sur les raisons de la marginalisation du centre de santé de la cité Gahdour, sis au chef-lieu de wilaya, qui offre un spectacle désolant ! De l'avis des citoyens qui se sont rapprochés du bureau du Midi libre, cette infrastructure sanitaire nécessite des travaux urgents de réhabilitation. Dans ce contexte, un appel pressant est lancé aux autorités locales afin que ce centre de santé puisse retrouver ses lettres de noblesse dans un avenir proche. Promue chef-lieu de wilaya, la ville de Guelma avait bénéficié de nombreux projets ciblant divers secteurs cruciaux dont ceux de l'habitat,de l'éducation, de la santé, de l'hydraulique. Dans ce contexte, la cité Gahdour Tahar abritant des dizaines d'immeubles collectifs avait été réceptionnée au début des années 80 sur les hauteurs de la ville, à la grande satisfaction de plus d'un millier de familles ravies d'occuper de vastes appartements neufs. Les autorités locales avaient décidé de créer au sein de cette cité populeuse un centre de santé gràce à des aménagements opérés à l'intérieur de deux appartements mitoyens situés au rez-de-chaussée. Cette structure sanitaire de proximité répondait aux besoins des riverains qui disposaient d'un service de PMI, protection maternelle et infantile , d'une salle d'auscultation, d'une salle de soins et pansements, d'un service d'espacement de naissances. Cependant, au fil des an, ce quartier a connu une expansion certaine puisque de nouvelles cités ont été édifiées, notamment celles du champ de manoeuvre, de la CNEP, du 19 juin dont les résidents étaient rattachés à ce centre de santé qui enregistrait une saturation avérée face à une affluence des patients. De l'avis des personnes qui recouraient aux offices de ce centre de santé, l'accueil, la prise en charge et les prestations sont satisfaisantes en dépit du nombre croissant des malades qui évoluent dans un site réduit et peu fonctionnel. Le plus aberrant, c'est l' état des lieux déplorable au grand dam des professionnels de la santé et des patients à savoir, toilettes bouchées dégageant des odeurs nauséabondes, murs décrépis,plafonds fissurés, portes non fonctionnelles, etc... Cette situation n'honore pas un secteur censé ètre un modèle irréprochable dans les volets hygiène, aseptie et salubrité. Il faut souligner que les pouvoirs publics ont alloué chaque année des enveloppes financières conséquentes destinées à la réhabilitation et à la restauration des unités sanitaires implantées dans les communes de la wilaya. D'aucuns s'interrogent sur les raisons de la marginalisation du centre de santé de la cité Gahdour, sis au chef-lieu de wilaya, qui offre un spectacle désolant ! De l'avis des citoyens qui se sont rapprochés du bureau du Midi libre, cette infrastructure sanitaire nécessite des travaux urgents de réhabilitation. Dans ce contexte, un appel pressant est lancé aux autorités locales afin que ce centre de santé puisse retrouver ses lettres de noblesse dans un avenir proche.