Décidément, les verts ne cessent de nous faire rêver ! En allant vaillamment s'imposer par deux buts à zéro en terre Zambienne, les poulains de Rabah Saâdane nous indiquent le chemin tout tracé vers le mondial sud africain. Hier, la rue Didouche Mourad a été prise d'assaut par des dizaines voire, des centaines de fans des verts sortis spontanément exprimer leur joie dans la continuité de l'autre éclatant succès contre les Pharaons d'Egypte, il y a de cela une dizaine de jours. Sous les cris «Djich Chaâb mâak ya Saâdane!» ou encore le mythique «one, two three viva l'Algérie !», les algérois ont, dès les premiers instants qui ont suivi la fin du match, spontanément investi les rues d'Alger, crié et chanté à l'honneur des Ghezzal, Gaouaoui et compagnie. A bord de véhicules, sur des scooters ou carrément à pied, les centaines de fans des verts, ont tenu à fêter comme il se doit et à leur manière, cet énième succès qui nous projette, désormais, dans la voie du mondial. Des processions entières d'automobilistes se sont ainsi, au coup de sifflet final de l'arbitre, accaparées les principales artères de la capitale. A coups de pétards, de fumigènes …, les Algérois n'ont pas fini de savourer la victoire contre l'Egypte, que les voilà replongés dans une autre fête qui promet d'être haute en couleur. Tout au long de l'après-midi d'hier, les klaxons retentissaient et les supporteurs arborant fièrement l'emblème national, criaient et chantaient au grand plaisir des riverains agglutinés aux balcons pour admirer le spectacle. Les youyous ne tardèrent pas à fuser des "chaumières" algéroises. Tandis que les uns faisaient la fête, d'autres immortalisaient ces instants inoubliables par des photos via les téléphones portables. En fin de journée, les rues d'Alger ne désemplissaient toujours pas. C'était loin d'être fini ! Grâce à cette victoire acquise en terre Zambienne, Alger, à l'instar de toute les villes d'Algérie, n'a pas dormi cette nuit. On ne remerciera jamais assez Saâdane le technicien, Ziani l'artiste et Bougherra le fougueux. La capitale retrouve ainsi, en à peine une dizaine de jours, l'ambiance festive que seuls les poulains à Saâdane ont su jusque-là nous apporter. Que la fête continue ! Loin d'être repus de la retentissante et non moins historique victoire arrachée de haute lutte contre la bande à Shehata, les algérois en redemandent encore. Et ils ont raison. Toutefois, la joie ne semble pas avoir de limite chez ses «fous» de l'équipe nationale dont certains s'en sont pris à un bus de l'ETUSA, en plein cœur de la capitale, en grimpant dessus tandis que le chauffeur tentait, plutôt mal que bien, de «garer» le véhicule. Les policiers ont eu toutes les peines du monde à faire redescendre ces jeunes supporteurs qui ne reculent, décidément, devant rien ! Qu'à cela ne tienne, on leur pardonnera volontiers cette infraction qui, en temps normal, aurait été sévèrement sanctionnée… Décidément, les verts ne cessent de nous faire rêver ! En allant vaillamment s'imposer par deux buts à zéro en terre Zambienne, les poulains de Rabah Saâdane nous indiquent le chemin tout tracé vers le mondial sud africain. Hier, la rue Didouche Mourad a été prise d'assaut par des dizaines voire, des centaines de fans des verts sortis spontanément exprimer leur joie dans la continuité de l'autre éclatant succès contre les Pharaons d'Egypte, il y a de cela une dizaine de jours. Sous les cris «Djich Chaâb mâak ya Saâdane!» ou encore le mythique «one, two three viva l'Algérie !», les algérois ont, dès les premiers instants qui ont suivi la fin du match, spontanément investi les rues d'Alger, crié et chanté à l'honneur des Ghezzal, Gaouaoui et compagnie. A bord de véhicules, sur des scooters ou carrément à pied, les centaines de fans des verts, ont tenu à fêter comme il se doit et à leur manière, cet énième succès qui nous projette, désormais, dans la voie du mondial. Des processions entières d'automobilistes se sont ainsi, au coup de sifflet final de l'arbitre, accaparées les principales artères de la capitale. A coups de pétards, de fumigènes …, les Algérois n'ont pas fini de savourer la victoire contre l'Egypte, que les voilà replongés dans une autre fête qui promet d'être haute en couleur. Tout au long de l'après-midi d'hier, les klaxons retentissaient et les supporteurs arborant fièrement l'emblème national, criaient et chantaient au grand plaisir des riverains agglutinés aux balcons pour admirer le spectacle. Les youyous ne tardèrent pas à fuser des "chaumières" algéroises. Tandis que les uns faisaient la fête, d'autres immortalisaient ces instants inoubliables par des photos via les téléphones portables. En fin de journée, les rues d'Alger ne désemplissaient toujours pas. C'était loin d'être fini ! Grâce à cette victoire acquise en terre Zambienne, Alger, à l'instar de toute les villes d'Algérie, n'a pas dormi cette nuit. On ne remerciera jamais assez Saâdane le technicien, Ziani l'artiste et Bougherra le fougueux. La capitale retrouve ainsi, en à peine une dizaine de jours, l'ambiance festive que seuls les poulains à Saâdane ont su jusque-là nous apporter. Que la fête continue ! Loin d'être repus de la retentissante et non moins historique victoire arrachée de haute lutte contre la bande à Shehata, les algérois en redemandent encore. Et ils ont raison. Toutefois, la joie ne semble pas avoir de limite chez ses «fous» de l'équipe nationale dont certains s'en sont pris à un bus de l'ETUSA, en plein cœur de la capitale, en grimpant dessus tandis que le chauffeur tentait, plutôt mal que bien, de «garer» le véhicule. Les policiers ont eu toutes les peines du monde à faire redescendre ces jeunes supporteurs qui ne reculent, décidément, devant rien ! Qu'à cela ne tienne, on leur pardonnera volontiers cette infraction qui, en temps normal, aurait été sévèrement sanctionnée…