L'objectif de la rencontre est de dénoncer l'incapacité des Nations unies à travers le conseil de sécurité de mettre en œuvre ses résolutions pertinentes sur la question du droit à l'autodétermination du peuple sahraoui et les violations répétées des droits de l'Homme dans les territoires sahraouis occupés. L'objectif de la rencontre est de dénoncer l'incapacité des Nations unies à travers le conseil de sécurité de mettre en œuvre ses résolutions pertinentes sur la question du droit à l'autodétermination du peuple sahraoui et les violations répétées des droits de l'Homme dans les territoires sahraouis occupés. La task force coordination Européenne de Solidarité avec le Peuple Sahraoui (Eucoco), élargie à un groupe de travail de défense des droits de l'Homme dans les territoires Sahraouis occupés, s'est réunie, hier à staouéli (Alger), à l'effet de poursuivre les actions inscrites dans son agenda. L'objectif de la rencontre, qui se tient le jour même de la célébration de la Journée mondiale des réfugiés, est de dénoncer l'incapacité des Nations unies à travers le conseil de sécurité de mettre en œuvre ses résolutions pertinentes sur la question du droit à l'autodétermination du peuple sahraoui et les violations répétées des droits de l'Homme dans les territoires sahraouis occupés par les forces marocaines en l'absence d'un mécanisme de surveillance et de protection des Droits de l'Homme au Sahara Occidental sous l'égide des Nations unies. Pour Pierre Galand, président de la Coordination européenne de solidarité avec le peuple Sahraoui, la question sahraouie «est une question exemplaire des droits de l'Homme et des droits des peuples de disposer d'eux-mêmes». Le responsable de la coordination s'est réjoui de ce que le conseil de sécurité ait réaffirmé au peuple Sahraoui le droit à l'autodétermination. Il estime que le combat des Sahraouis «est un combat des droits des peuples à l'autodétermination». Il s'est félicité de ce que «les Droits de l'Homme au Sahara Occidental occupé, sont apparus dans la dernière résolution du conseil de sécurité» et dénonce le véto de la France sur cette résolution et la position ambiguë de l'Espagne ex-puissance occupante du territoire sahraoui. Il explique cette attitude des deux pays par «la protection des intérêts privilégiés qui les lient au Maroc». Toujours est-il qu'il n'est ni optimiste ni pessimiste sur l'évolution du conflit du Sahara Occidental. Pour lui, «un lobbying fort», des organisations et de la société civile permettra de faire basculer le rapport de force et de sortir de l'impasse dans laquelle se trouve la question du Sahara Occidental. Il rend responsable le Maroc concernant le blocage du processus de paix engagé entre le Front Polisario et la puissance occupante. Il loue les efforts du représentant personnel du secrétaire général de l'ONU, Christopher Ross, pour faire avancer le processus de paix et dénonce les entraves du Maroc, doublés d'une politique de répression des populations et violation des Droits de l'Homme. Et au président de l'Eucoco de s'interroger. Pourquoi, s'est-il demandé, la question des droits de l'Homme au Sahara Occidental ne peut-elle pas revenir à la Minurso, rappelant que «dans les accords d'association de l'UE, ces droits sont toujours dans la composante de ces accords». Il dit qu'une petite brèche a été ouverte dans la dernière résolution du conseil de sécurité de l'Onu et se réjouit de ce que «la dimension humaine ait été prise en compte». La venue de Barak Obama et le changement opéré dans la Commission européenne et le Parlement européen, lui laisse entrevoir des perspectives positives dans la recherche de la paix au Sahara Occidental. Le président de l'Eucoco ne fait pas confiance au ministre espagnol des Affaires étrangères, Luis Moratinos, qui prendra la direction de l'UE en 2010, mais, par contre, il est optimiste sur la présidence de la Suède pour faire pression sur le Maroc. Il est tout à fait réaliste et logique pour le premier responsable de l'Eucoco «de continuer à se battre». Si les choses n'évoluent pas, a-t-il souligné, «il faut toujours y croire», conditionnant cet espoir par «la présence d'une base-arrière forte». La task force coordination Européenne de Solidarité avec le Peuple Sahraoui (Eucoco), élargie à un groupe de travail de défense des droits de l'Homme dans les territoires Sahraouis occupés, s'est réunie, hier à staouéli (Alger), à l'effet de poursuivre les actions inscrites dans son agenda. L'objectif de la rencontre, qui se tient le jour même de la célébration de la Journée mondiale des réfugiés, est de dénoncer l'incapacité des Nations unies à travers le conseil de sécurité de mettre en œuvre ses résolutions pertinentes sur la question du droit à l'autodétermination du peuple sahraoui et les violations répétées des droits de l'Homme dans les territoires sahraouis occupés par les forces marocaines en l'absence d'un mécanisme de surveillance et de protection des Droits de l'Homme au Sahara Occidental sous l'égide des Nations unies. Pour Pierre Galand, président de la Coordination européenne de solidarité avec le peuple Sahraoui, la question sahraouie «est une question exemplaire des droits de l'Homme et des droits des peuples de disposer d'eux-mêmes». Le responsable de la coordination s'est réjoui de ce que le conseil de sécurité ait réaffirmé au peuple Sahraoui le droit à l'autodétermination. Il estime que le combat des Sahraouis «est un combat des droits des peuples à l'autodétermination». Il s'est félicité de ce que «les Droits de l'Homme au Sahara Occidental occupé, sont apparus dans la dernière résolution du conseil de sécurité» et dénonce le véto de la France sur cette résolution et la position ambiguë de l'Espagne ex-puissance occupante du territoire sahraoui. Il explique cette attitude des deux pays par «la protection des intérêts privilégiés qui les lient au Maroc». Toujours est-il qu'il n'est ni optimiste ni pessimiste sur l'évolution du conflit du Sahara Occidental. Pour lui, «un lobbying fort», des organisations et de la société civile permettra de faire basculer le rapport de force et de sortir de l'impasse dans laquelle se trouve la question du Sahara Occidental. Il rend responsable le Maroc concernant le blocage du processus de paix engagé entre le Front Polisario et la puissance occupante. Il loue les efforts du représentant personnel du secrétaire général de l'ONU, Christopher Ross, pour faire avancer le processus de paix et dénonce les entraves du Maroc, doublés d'une politique de répression des populations et violation des Droits de l'Homme. Et au président de l'Eucoco de s'interroger. Pourquoi, s'est-il demandé, la question des droits de l'Homme au Sahara Occidental ne peut-elle pas revenir à la Minurso, rappelant que «dans les accords d'association de l'UE, ces droits sont toujours dans la composante de ces accords». Il dit qu'une petite brèche a été ouverte dans la dernière résolution du conseil de sécurité de l'Onu et se réjouit de ce que «la dimension humaine ait été prise en compte». La venue de Barak Obama et le changement opéré dans la Commission européenne et le Parlement européen, lui laisse entrevoir des perspectives positives dans la recherche de la paix au Sahara Occidental. Le président de l'Eucoco ne fait pas confiance au ministre espagnol des Affaires étrangères, Luis Moratinos, qui prendra la direction de l'UE en 2010, mais, par contre, il est optimiste sur la présidence de la Suède pour faire pression sur le Maroc. Il est tout à fait réaliste et logique pour le premier responsable de l'Eucoco «de continuer à se battre». Si les choses n'évoluent pas, a-t-il souligné, «il faut toujours y croire», conditionnant cet espoir par «la présence d'une base-arrière forte».