Comment la recherche scientifique pourrait contribuer au développement économique ? Cette question est semble-t-il la priorité du gouvernement qui, après avoir mis en place les infrastructures nécessaires et réunit le potentiel humain, se tourne vers l'essentiel. Souad Bendjaballah, ministre déléguée à la Recherche scientifique invitée de la Chaîne III hier, a expliqué justement le défi qui s'impose à la recherche scientifique aujourd'hui. "L'enjeu est d'accompagner les politiques publiques, qui sont mises en place, et notamment les politiques de relance industrielle. Accompagner les entreprises à travers la constitution de réseaux thématiques de chercheurs qui travaillent avec les entreprises en fonction de leurs objectifs, dans le cadre d'ateliers thématiques", a-t-elle déclaré. M. Bendjballah a indiqué, à ce sujet, que "la mise en relation des entreprises avec l'université est l'une des préoccupations du gouvernement sur instruction du président de la République". Pour rappel, le cadre de la recherche scientifique fixée par la loi 98/11 a défini 30 programmes nationaux de recherche qui touchent à tous les domaines. "Une évaluation prospective de ces programmes a été faite pour déterminer les domaines où nous avons investi et ce qui reste à faire", dira Souad Bendjaballah, qui a tenu à préciser que "des priorités sont à tirer de nos capacités de recherche et nos besoins à travers les programmes du président de la République". Ainsi, la ministre a mis en avant certaines priorités dont "les politiques agricole, industrielle, agricole et de santé". Pour elle, "les chercheurs qui travaillent ont besoin que leurs travaux soient valorisés". Le membre du gouvernement a rappelé, par ailleurs, que la politique nationale de recherche et les décisions des programmes de recherche sont centralisées de même que le financement. Interrogée sur le rôle du Conseil national de la recherche créé en 1992 et qui ne s'est réuni qu'une seule fois, l'hôte de la Radio rappelle que ce conseil est présidé par le chef du gouvernement, il se réunit à la demande du ministre de l'Enseignement supérieur et de ce fait il ne se "réunira que lorsque tous les travaux préparatoires seront achevés". Comment la recherche scientifique pourrait contribuer au développement économique ? Cette question est semble-t-il la priorité du gouvernement qui, après avoir mis en place les infrastructures nécessaires et réunit le potentiel humain, se tourne vers l'essentiel. Souad Bendjaballah, ministre déléguée à la Recherche scientifique invitée de la Chaîne III hier, a expliqué justement le défi qui s'impose à la recherche scientifique aujourd'hui. "L'enjeu est d'accompagner les politiques publiques, qui sont mises en place, et notamment les politiques de relance industrielle. Accompagner les entreprises à travers la constitution de réseaux thématiques de chercheurs qui travaillent avec les entreprises en fonction de leurs objectifs, dans le cadre d'ateliers thématiques", a-t-elle déclaré. M. Bendjballah a indiqué, à ce sujet, que "la mise en relation des entreprises avec l'université est l'une des préoccupations du gouvernement sur instruction du président de la République". Pour rappel, le cadre de la recherche scientifique fixée par la loi 98/11 a défini 30 programmes nationaux de recherche qui touchent à tous les domaines. "Une évaluation prospective de ces programmes a été faite pour déterminer les domaines où nous avons investi et ce qui reste à faire", dira Souad Bendjaballah, qui a tenu à préciser que "des priorités sont à tirer de nos capacités de recherche et nos besoins à travers les programmes du président de la République". Ainsi, la ministre a mis en avant certaines priorités dont "les politiques agricole, industrielle, agricole et de santé". Pour elle, "les chercheurs qui travaillent ont besoin que leurs travaux soient valorisés". Le membre du gouvernement a rappelé, par ailleurs, que la politique nationale de recherche et les décisions des programmes de recherche sont centralisées de même que le financement. Interrogée sur le rôle du Conseil national de la recherche créé en 1992 et qui ne s'est réuni qu'une seule fois, l'hôte de la Radio rappelle que ce conseil est présidé par le chef du gouvernement, il se réunit à la demande du ministre de l'Enseignement supérieur et de ce fait il ne se "réunira que lorsque tous les travaux préparatoires seront achevés".