Les résultats de l'enquête de la commission d'enquête, dépêchée d'Alger pour les besoins de l'affaire concernant les dépassements constatés dans la gestion du Centre de repos familial de la police à Annaba ont été, selon des sources concordantes, transmis au directeur général de la Sûreté nationale Ali Tounsi. Celui-ci aurait saisi à son tour la justice. Les investigations menées au niveau de cet établissement de détente réservé aux familles des fonctionnaires de police ont mis à nu, au début du mois en cours, divers délits liés à la gestion. Selon les mêmes sources, les enquêteurs ont mis au jour des malversations liées à la surfacturation des fournitures et des détournements sous diverses formes. 10 cadres et fonctionnaires de police avaient été auditionnés pour s'expliquer sur les dépassements constatés. Le directeur chargé des équipements était particulièrement ciblé par l'enquête tant les conclusions sont accablantes sur ces actes. Le mis en cause, un commissaire, qui a été suspendu de ses fonctions depuis, est accusé de falsification de documents comptables et de faux et usage de faux. Deux autres officiers sont également poursuivis dans cette affaire et seront déférés devant la justice nous confie-t-on. La génèse de ce scandale a été déclenchée suite à une plainte déposée par un fonctionnaire dudit complexe, au niveau de la direction générale de la police, qui à son tour a alerté la direction régionale de Constantine. Les résultats de l'enquête de la commission d'enquête, dépêchée d'Alger pour les besoins de l'affaire concernant les dépassements constatés dans la gestion du Centre de repos familial de la police à Annaba ont été, selon des sources concordantes, transmis au directeur général de la Sûreté nationale Ali Tounsi. Celui-ci aurait saisi à son tour la justice. Les investigations menées au niveau de cet établissement de détente réservé aux familles des fonctionnaires de police ont mis à nu, au début du mois en cours, divers délits liés à la gestion. Selon les mêmes sources, les enquêteurs ont mis au jour des malversations liées à la surfacturation des fournitures et des détournements sous diverses formes. 10 cadres et fonctionnaires de police avaient été auditionnés pour s'expliquer sur les dépassements constatés. Le directeur chargé des équipements était particulièrement ciblé par l'enquête tant les conclusions sont accablantes sur ces actes. Le mis en cause, un commissaire, qui a été suspendu de ses fonctions depuis, est accusé de falsification de documents comptables et de faux et usage de faux. Deux autres officiers sont également poursuivis dans cette affaire et seront déférés devant la justice nous confie-t-on. La génèse de ce scandale a été déclenchée suite à une plainte déposée par un fonctionnaire dudit complexe, au niveau de la direction générale de la police, qui à son tour a alerté la direction régionale de Constantine.