Le projet consiste à mener du 1er juin au 30 novembre 2009, un intense programme de formation au profit des familles des IMC, professionnels et auxiliaires de l'éducation pour qu'ils puissent préparer, dans des conditions acceptables, l'intégration scolaire des enfants IMC âgés entre 5 et 18 ans. Le projet consiste à mener du 1er juin au 30 novembre 2009, un intense programme de formation au profit des familles des IMC, professionnels et auxiliaires de l'éducation pour qu'ils puissent préparer, dans des conditions acceptables, l'intégration scolaire des enfants IMC âgés entre 5 et 18 ans. Les vingt et une daïras que compte la wilaya de Sétif seront toutes mobilisées pour mener à terme cette courageuse décision de rendre enfin le sourire aux enfants infirmes moteurs cérébraux (IMC), privés d'une scolarité normale. C'est presque un rêve inespéré de toutes les familles des IMC qui va connaître son aboutissement grâce à l'Association qui regroupe tous les parents des IMC de Sétif. Le projet, en effet, consiste à mener du 1er juin au 30 novembre 2009, un intense programme de formation au profit des familles des IMC, aux professionnels et auxiliaires de l'éducation pour qu'ils puissent préparer, dans des conditions acceptables, l'intégration scolaire des enfants IMC âgés entre 5 et 18 ans. «A cause de la complexité de leur handicap, ces enfants ont tous besoin d'une période de préparation aux structures éducatives, et, pour certains, d'un accompagnement à l'école, au moins à temps partiel». C'est ce que nous a indiqué le président de cette association, M. Saadaoui. C'est le travail, d'ailleurs, mené depuis maintenant dix années par le centre de jour de cette association, qui a joué le rôle et de la famille et de l'école, pour que la souffrance de ces enfants devienne supportable. Pour l'exercice 2008/2009, le centre a accueilli 60 enfants IMC, tous avec le besoin d'un suivi régulier. «L'équipe pluridisciplinaire du Centre de jour de l'APIMC assure cette préparation et ce suivi par plusieurs semestres de réadaptation fonctionnelle, initiation scolaire et informatique ou par une ou deux séances d'orthophonie par semaine ou lors des consultations mensuelles de suivi médico-social et guidance parentale», raconte encore le président qui précise que le centre «ne peut accueillir que des enfants de la commune de Setif en raison de l'exiguïté des locaux». Faut-il savoir que 40 enfants sont sur la liste d'attente pour une prise en charge de cette qualité, sachant qu'il n'existe aucune autre structure de ce type, publique ou privée, dans la wilaya de Sétif. Le projet donc, qui vient d'être mis en place, répond à cette problématique de prise en charge et en toute objectivité, il n' y a que la famille et l'école qui sont en mesure de s'adapter aux besoins de ces enfants, d'une manière permanente. Le centre sera, à priori, une référence sur laquelle vont s'appuyer les personnes qui vont être formées en conséquence. Ils sont, en effet, 160 enfants et leurs familles à être touchés par ce projet de formation et de sensibilisation, dont 40 enfants se trouvant en préscolaire. 210 enseignants (140 arabisant et 70 francisant) feront partie du groupe qui touche 90 écoles de la wilaya de Sétif. Ajouter à ceux-là 20 médecins de santé scolaire, 20 psychologues de santé scolaire et 40 auxiliaires de vie. Le projet sera mené avec la collaboration de plusieurs acteurs, à commencer par la DEW, la DSP, plusieurs PAPC et représentants des APE, l'Association de Lutte contre les Myopathies et l'Association Ibtissama de Beni-Ourtilane. Dans la wilaya de Setif, l'Association a recensé environ 2.400 enfants IMC (au sens large) et 100 nouveaux cas chaque année, dont 40 à 50 sans handicap mental. Bien qu'aucune étude statistique précise n'ait été réalisée dans notre pays, ce dernier, se base par référence à des études étrangères, sur une incidence de 3 pour 1.000 naissances vivantes, soit près de 2.000 nouveaux cas par an. Les 18 dernières années ayant enregistré 14.000.000 de naissances, le nombre de jeunes cérébro-lésés avoisinerait les 42.000, soit une prévalence de 120 pour 100.000 habitants. Les vingt et une daïras que compte la wilaya de Sétif seront toutes mobilisées pour mener à terme cette courageuse décision de rendre enfin le sourire aux enfants infirmes moteurs cérébraux (IMC), privés d'une scolarité normale. C'est presque un rêve inespéré de toutes les familles des IMC qui va connaître son aboutissement grâce à l'Association qui regroupe tous les parents des IMC de Sétif. Le projet, en effet, consiste à mener du 1er juin au 30 novembre 2009, un intense programme de formation au profit des familles des IMC, aux professionnels et auxiliaires de l'éducation pour qu'ils puissent préparer, dans des conditions acceptables, l'intégration scolaire des enfants IMC âgés entre 5 et 18 ans. «A cause de la complexité de leur handicap, ces enfants ont tous besoin d'une période de préparation aux structures éducatives, et, pour certains, d'un accompagnement à l'école, au moins à temps partiel». C'est ce que nous a indiqué le président de cette association, M. Saadaoui. C'est le travail, d'ailleurs, mené depuis maintenant dix années par le centre de jour de cette association, qui a joué le rôle et de la famille et de l'école, pour que la souffrance de ces enfants devienne supportable. Pour l'exercice 2008/2009, le centre a accueilli 60 enfants IMC, tous avec le besoin d'un suivi régulier. «L'équipe pluridisciplinaire du Centre de jour de l'APIMC assure cette préparation et ce suivi par plusieurs semestres de réadaptation fonctionnelle, initiation scolaire et informatique ou par une ou deux séances d'orthophonie par semaine ou lors des consultations mensuelles de suivi médico-social et guidance parentale», raconte encore le président qui précise que le centre «ne peut accueillir que des enfants de la commune de Setif en raison de l'exiguïté des locaux». Faut-il savoir que 40 enfants sont sur la liste d'attente pour une prise en charge de cette qualité, sachant qu'il n'existe aucune autre structure de ce type, publique ou privée, dans la wilaya de Sétif. Le projet donc, qui vient d'être mis en place, répond à cette problématique de prise en charge et en toute objectivité, il n' y a que la famille et l'école qui sont en mesure de s'adapter aux besoins de ces enfants, d'une manière permanente. Le centre sera, à priori, une référence sur laquelle vont s'appuyer les personnes qui vont être formées en conséquence. Ils sont, en effet, 160 enfants et leurs familles à être touchés par ce projet de formation et de sensibilisation, dont 40 enfants se trouvant en préscolaire. 210 enseignants (140 arabisant et 70 francisant) feront partie du groupe qui touche 90 écoles de la wilaya de Sétif. Ajouter à ceux-là 20 médecins de santé scolaire, 20 psychologues de santé scolaire et 40 auxiliaires de vie. Le projet sera mené avec la collaboration de plusieurs acteurs, à commencer par la DEW, la DSP, plusieurs PAPC et représentants des APE, l'Association de Lutte contre les Myopathies et l'Association Ibtissama de Beni-Ourtilane. Dans la wilaya de Setif, l'Association a recensé environ 2.400 enfants IMC (au sens large) et 100 nouveaux cas chaque année, dont 40 à 50 sans handicap mental. Bien qu'aucune étude statistique précise n'ait été réalisée dans notre pays, ce dernier, se base par référence à des études étrangères, sur une incidence de 3 pour 1.000 naissances vivantes, soit près de 2.000 nouveaux cas par an. Les 18 dernières années ayant enregistré 14.000.000 de naissances, le nombre de jeunes cérébro-lésés avoisinerait les 42.000, soit une prévalence de 120 pour 100.000 habitants.